Mauvaises nouvelles (suite)

Le matraquage fiscal n'aura même pas permis le redressement des comptes publics. Forcément puisque la dépense publique (€1.200 milliards) dépasse la valeur ajoutée du secteur marchand, c'est à dire que les dépenses publiques dépassent la base imposable. Toute hausse supplémentaire fait baisser d'autant l'activité économique, c'est à dire la base imposable. On devine l'ahurissement de nos énarques, champions de l'inspection des finances et de la cour des comptes, découvrant le signe 'Error 0' sur leur calculette made in Taiwan. Encore quelques décennies d'intense réflexion et les "meilleurs d'entre nous" finiront par découvrir ce que toute la population sait déja depuis longtemps : 100% d'imposition est le MA-XI-MUM. Il remettront par la même occasion leur graphique de courbe du chômage à l'endroit, pas d'inversion hélas.

Heureusement, ce n'est pas comme si le peuple souverain déléguait la gestion du pays à ces gens là.
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Non ?
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Dans ce cas, il est grand temps de déverrouiller le sytème électoral afin qu'il n'y ait pas que ces gens là qui puissent se présenter.
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Sinon, leur dernière chance est de nommer un ministre de l'intérieur qui tient la police ou un ministre de la défense qui tient l'armée comme premier ministre.
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Non ?
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Mais nous nous égarons, l'important est que Ségo rentre au gouvernment. Là est bien en effet l'essentiel !