Elias, Elias, Elias
Une mairie fautiveCette affaire Elias n’est pas seulement un drame privé, justifiant compassion et silence. C’est aussi un témoignage fort de la toxicité, pouvant aller jusqu’à la mort d’adolescents, d’une municipalité sous emprise de la « cancel culture », de la « dégentrification », de la haine des habitants, portée par des fanatiques mélangeant outrances post-soixante-huitardes, culte LGBT et écologisme anticapitaliste pénitentiel.
La municipalité du 14e arrondissement de Paris sous la direction de Mme Carine Petit a dérapé, dès son élection, dans la malveillance, la malfaisance et la maltraitance. Et la cupidité associée aux grandes opérations immobilières. Ce mélange entre goût de l’argent et urbanisme assassin est l’essence même d’une action toujours plus pénalisante pour les habitants, de la part d’une bande de provinciaux et de banlieusards qui a pris le pouvoir par la démagogie et développe une vision de la population locale parfaitement méprisante. Lorsqu’on voit Mme Carine Petit, petit fonctionnaire territorial, formée chez les communistes à Bagneux et originaire de Bourges a organisé sa liste électorale avec un communiste homosexuel mis en examen pour viol en réunion avec son conjoint sur un jeune militant communiste, et surtout avec Guillaume Durand (à ne pas confondre avec le journaliste homonyme), l’homosexuel fanatique de la « dégentrification » chargé par M. Belliard, également venu de l’est de la France de purger EELV à Paris de tous les non homosexuels mâles (Baupin, Placé, etc.).
On comprend mieux le mépris féroce pour les Parisiens et une absence totale de commisération pour ceux qui sont victimes des décisions destructrices accumulées dans le XIVe :
- Riverains qui souffrent depuis près de huit ans de travaux toujours renouvelés et particulièrement insanes et polluants ;
- Automobilistes contraints à des mobilités lentes et inconfortables,
- Malades et accidentés qui perdent l’accès rapide aux soins,
- Petits commerçants réduits à la faillite,
- Piétons accidentés.
- Cyclistes exténués par les travaux, les carrefours bloqués, les camionnettes qui pullulent et ne respectent pas plus les règles qu’eux-mêmes, les sols pleins de nids-de-poule, ou anormalement glissants ou irréguliers…
Le mépris pour la sécurité de cette municipalité est abyssal. La police municipale est détournée de son rôle normal de protection des populations, notamment contre les voyous. On préfère mobiliser une douzaine d’agents municipaux pour contrôler le respect des 30 km/h, sur le pont de cinq Martyrs du Lycée Buffon alors qu’une femme à 80 mètres de là vient de voir son collier arraché par un jeune noir, sans que qui que ce soit se croie obligé d’intervenir. La demande de caméras de surveillance sur une dalle proche de la gare, dont on sait les problèmes de sécurité, est systématiquement refusée. L’arrondissement est transformé sciemment en banlieue à problème. On multiplie les ghettos pour immigrés et on ouvre des mosquées. L’islamo-gauchisme s’en donne à cœur joie. Le gymnase de la rue Mouchotte est mis le samedi après-midi à la disposition d’une association de gauche chargée d’occuper une bande de voyous aux frais des honnêtes gens. Ils violentent la gardienne du seul immeuble d’habitation riverain (15 jours d’arrêt) et commencent à lui voler son téléphone. Les riverains demandent que le voyou qui a porté les coups (accompagné par les applaudissements de toute la bande à chaque brutalité) et qui a été identifié par une enquête… des riverains (la police ne se déplace pas pour si peu) soit exclu de ce service. Mme Petit refuse. Le voyou a continué à parader et faire des signes obscènes vers la loge de la gardienne. La justice n’a engagé aucune action connue depuis des mois. Personne ne veut rien dire de l’avancement de l’action judiciaire, dont la maire se contrefiche. Elle n’a pas cherché à changer le comportement de l’association concernée.
Un voyou, dans la mentalité municipale dévoyée, c’est mieux qu’un immeuble de sale bourgeois et que leur esclave « déconscientisée » par le salariat… Pire encore : ce n’est pas un voyou. Seulement un petit ange que la société aide à se nettoyer les ailes !
Dans cet esprit de « dégentrification », le conservatoire de musique de l’arrondissement a été renvoyé dans une zone dangereuse en bordure des boulevards extérieurs, alors qu’on sait que toute cette bordure sud est pourrie par la délinquance, les bandes, les trafics de drogue… Les populations « non bourgeoises » de la couronne doivent avoir l’avantage sur les enfants de bourgeois de centre-ville. L’ancien conservatoire en face de la mairie du 14e était d’accès parfaitement sûr. On l’a transféré. L’endroit choisi ne l’est plus. On s’en vantait et ridiculisait ces « C. de bourgeois frileux ». Jusqu’au meurtre d’un adolescent !
L’ancien local a été occupé par une association gauchiste toxique, et on essaie maintenant d’y implanter le service des jardins. L’agriculture avant la culture. De toute façon le piano et le violon, comme la danse classique, c’est bourgeois ! Vive le rap et le hip-hop !
Le meurtre du jeune Elias par deux adolescents criminels a eu justement lieu dans cette zone. On a alors appris qu’ils étaient des récidivistes du vol en réunion avec violence (comme la centaine de dealers et de voyous qui pourrissent le sud de l’arrondissement) et qu’ils étaient déjà suivis par la « justice » pour des actes similaires, au sein d’un groupe d’une douzaine de voyous du même acabit, bien répertoriés mais laissés libres, qui ont compris qu’une impunité totale leur était accordée. La maire connaissait les assassins et avait multiplié les actes bienveillants à l’égard de leurs deux familles. Pour ce genre de fanatiques, une famille criminelle doit être dorlotée, aidée, aimée, et protégée des réactions des victimes, afin que les « petits anges », bouleversés par tant d’humanité verte et socialiste, deviennent des exemples pour la communauté. L’ennui, c’est qu’ils finissent par tuer.
Qu’un salaud d’enfant de bourgeois du centre-ville, soit tué, n’a apparemment pour eux, aucune importance. C’est comme les écologistes quand un ours artificiellement réimplanté tue un cycliste qui passait par là. « On en a tué tellement qu’ils peuvent bien tuer un homme de temps en temps ». « Les vipères en tuent beaucoup plus ». « C’est nous les coupables par notre viol répété de notre mère la Nature ».
Lors de son passage devant les caméras, la maire a voulu bien marquer son territoire : elle a aimé la publicité donnée aux investissements sportifs du quartier et dénoncé la baisse des crédits de soutien aux délinquants. Autant de considération pour la famille de la victime que ce qu’on avait vu pour la pauvre « versaillaise » tuée au sortir de Dauphine dans le bois de Boulogne. Beaucoup de commentateurs ont été frappés par la froideur, l’indifférence du ton, la bêtise béate, et les propos « lunaires » de Madame Le Maire. Avoir de la peine pour le jeune Elias ? Ce serait nécessairement de la récupération digne de l’extrême droite nazie. Au moins n’a-t-elle pas proposé que la photo du cadavre soit punaisée sur un Mur des Cons, à la mairie. Là, c’est réservé aux magistrats « indépendants et conscientisés ».
Cette dame a commis naguère un livre sans intérêt intitulé « Ces douleurs que l'on cache ». Dans l’affaire Elias, elle a bien caché la sienne. Ce qu’elle n’avait pas fait peu avant, en inaugurant au milieu des sanglots une plaque commémorative pour les chevaux tués pendant la guerre de 14-18. Pauvre Elias, si seulement il avait été un cheval centenaire !
Tout a dysfonctionné dans l’affaire Elias, d’un bout à l’autre de la chaîne : la maire, la municipalité, la justice, la politique de sécurité, l’accès aux soins d’urgence et leur efficacité. Tout a été problématique. Il y avait des urgences beaucoup plus proches que l’hôpital des Enfants Malades qui n’est pas habitué des coups de couteau. Mme Petit a aidé M. Nadjovski, l’adjoint à la circulation de la mairie centrale, à verrouiller les traversées du 14e devenu impénétrable pour les véhicules, sauf embouteillages terrifiants. Elle a même mis sa « fierté » (sic) à créer dans un lieu déjà saturé un quasi de type Rungis en plein Montparnasse qui pourrit évidemment la vie de tous les riverains. Les hôpitaux n’ont pas cessé de fermer dans le 14e sans aucune réaction de la mairie. Auparavant il fallait 5 minutes pour aller à Cochin du lieu du drame. Combien de temps a-t-il fallu attendre une ambulance et combien de temps pour aller aux enfants malades dans le 15e, plusieurs fois plus loin ?
Il faut qu’une commission parlementaire se penche sur ces désordres. Elle a le pouvoir de contrôler les dysfonctionnements criminels de la chaîne pénale, d’investiguer les sales coups de la municipalité, de comprendre pourquoi la chaîne sanitaire a été si lente à intervenir et si inefficace.
Mme Carine Petit et son équipe municipale sont au cœur de ce drame. Sans les décisions qu’elles ont prises et celles qu’elles n’ont pas voulu prendre, ce meurtre odieux n’aurait pas eu lieu.
Pour le citoyen du 14e, victime permanente des exactions de cette municipalité malade de son idéologie anti-sécuritaire mortifère, et des décisions de la maire la plus insane de France (et il y a de la concurrence chez EELV), qui ne cache guère sa bêtise derrière un rire permanent de benêt, c’est la seule chose qui compte.
Tristes condoléances à la famille du petit Elias, un enfant de 12 ans.
Pendant ce temps là, faisant fi de toutes les règles de laïcité, Mme Carine Petit s'acharne à trouver un local de priére supplémentaire pour les musulmans qu'elle loge en masse dans les HLM qu'elle fait construire pour pérenniser sa clientèle électorale. Comme toujours elle ne répond à aucune des protestations qu'elle reçoit tous les jours. Il est vrai qu'imposer une mosquée dans un rez de chaussée d'immeuble habité par des résidents non immigrés lui donne des frissons de bonheur : les racisés ont tous les droits contre le français colonialiste et racistes structurel ! Pas de raison d'en tenir compte.
Ce qui est clair, c'est qu'en France la politique de la présidence de la République et du Parlement donne des hauts de coeur. Et celle d'une municipalité parisienne caricaturale fait carrément vomir, sur fond de meurtre et d'islamisation militante.
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