Des idées qui progressent
Catégorie : Actualité chaude - Concepts fondamentaux - Monnaies et changes - Histoire économique récente - Economie et politique
Depuis désormais plus de 20 ans nous défendons publiquement de façon constante une thèse fondamentale :
- Il n’y a pas de bon commerce sans bonne monnaie
- Il n’y a pas de bonne monnaie sans un équilibre relatif des balances de paiement.
Le système des changes flottants imposé par les Etats-Unis après l’effondrement des Accords de Bretton-Woods a conduit à l’abandon de règles fondamentales d’équilibre économique au profit d’un système spéculatif dont tous les rouages ne pouvaient que se gripper. Enormes excédents commerciaux et énormes déficits de balances de paiement ont transformé le monde en une économie baudruche dont la vocation était d’exploser un jour ou l’autre. Comme l’écrivait Maurice Allais, « ce qui doit arriver arrive ». C’est ainsi que nous avons défini la crise comme la composante de trois évolutions :
- Une baisse tendancielle du trend
- Une aggravation des récessions « décennales »
- Une montée permanente de la dette globale,
Et tenter de démontrer que cette crise avait une cause principalement monétaire.
Nous avons prévenu depuis 1977 : attention à la colère des peuples, car la stagnation économique, la baisse du pouvoir d’achat, et le chômage déstabilise les sociétés.
Il a fallu l’explosion de 2008, parfaitement annoncée et prévue, et la montée électorale des « populismes » pour que, soudain, ces réalités éclatent à la figure de dirigeants tétanisés mais englués dans la routine.
Nous avons prévenu, les premiers, sur les dangers du Tafta (pratiquement jamais commenté dans les medias français) et l’offensive américaine, qui s’appuyant sur les principes des statuts du FMI, entendait rétablir de force, avec des taxations lourdes, leurs équilibres extérieurs. C’était bien avant l’arrivée de Trump.
Le style cow-boy de Trump n’a fait que révéler un peu mieux les forces sous jacentes. Trump a parfaitement raison, comme l’avons déjà écrit ici, de considérer que les excédents Chinois sont extravagants et que les excédents allemands ne sont pas convenables. Là où il est incohérent est qu’il ne voit pas qu’ils sont largement la conséquence des énormes déficits extérieurs américains. Si on veut que le dollar soit la monnaie du monde alors le déficit américain est automatique puisque c’est lui qui alimente la liquidité mondiale. Il faut donc changer de système et proscrire toute monnaie mondiale qui soit une monnaie nationale. Là Trump n’est plus d’accord. C’est pourquoi nous professons que Trump « facilite le diagnostic mais complique la solution ».
Hier, c’est Macron, recevant son prix Charlemagne de bon élève du fédéralisme européen, qui a dénoncé publiquement, et en la présence même de Mme Merkel, les excédents allemands et suggéré qu’elle abandonne son « fétichisme » des excédents de balances de paiements, soulignant que cet excédent avait pour conséquence un dommage pour ses partenaires.
Voici donc les excédents extravagants de balances commerciales et de paiement politiquement et diplomatiquement mis en cause. Vingt ans que nous attendions ce moment.
La faiblesse de ces annonces est double :
- Il n’y a pas d’explication de la nocivité des ces déséquilibres et de lien causal effectué avec la récession explosive de 2008 et ses suites difficiles
- Il n’y a pas de schéma d’organisation proposé qui mette fin au double dysfonctionnement du système monétaire international et du système de l’Eurozone.
Dans notre premier livre sur le sujet, «L’Etrange Désastre », nous nous sommes attachés à répondre en détail à la première faiblesse.
Dans notre second livre à paraître, nous cherchons à dégager les lignes d’un nouvel ordre monétaire mondial congruent avec un nouveau système européen, en le replaçant dans l’histoire monétaire internationale des 100 dernières années.
Didier Dufau
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
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Le retour du mensonge économique décomplexé
Régression néonatale : Le professeur Minkowski ne serait vraiment pas content !
Budgets irresponsables : bataille instructive entre deux hauts fonctionnaires
Erreurs évitables et déficits abyssaux : la fin de la désinvolture ?
Enfin un prix "Nobel" d'économie qui le mérite
Quelques livres à lire sur la crise et ses solutions
Impôts et dépenses publiques : l'urgence absolue d'éviter le gouffre.
Que pensez du nouveau gouvernement Barnier ?
De la nuisance des « marchés administratifs » à la mésaventure du Gouvernement Barnier.
France et Europe : la fin de la désinvolture ou le début de la folie sans fin ?
Interdire d'urgence de monoxyde de dihydrogène ?
Quelques maximes pour les temps nouveaux
Le bel été 2024
La courbe de Dufau
Les scandaleuses décisions de l'Arcom et l'emprise antidémocratique de la haute fonction publique
France : conservatoire honteux de la violence révolutionnaire sacralisée
Quand les moteurs de recherche évoluent bizarrement ...
Eléments pour comprendre la descente aux enfers française
Pierre Manent et l’explication de la crise politique française
Le naufrage de l’extrême centre : le faux diagnostic de Jean-Louis Bourlanges
Brèves de comptoirs - Le samedi avant les résultats
Ils osent appeler cela « programmes »
Exiger la neutralité politique et idéologique des sujets des épreuves du BAC
Blessure narcissique, chantage, menaces, chaos : la descente aux enfers d'Emmanuel Macron.
Aux sources de l'écologie anticapitaliste et malhonnête - L'ozone et le Giec. (suite et fin)
Aux sources de l'écologie anticapitaliste et malhonnête. Première partie : 1970-1982/
Discrédit des hommes politiques : pourquoi ? Le triste exemple de Christophe Béchu.
Article de Jérôme Fourquet - Seconde partie 2000-2024
Le faux diagnostic de Jérôme Fourquet sur la fin du " modèle français" Décrire ne suffit pas.
Géopolitique et changes flottants
CEDH : Coup d’Etat Durablement Hostile (à la démocratie)
Petites observations témoignant de grandes transformations économiques
Les dégâts sociaux des peurs et des idolâtries manipulées.
Quel vote utile pour les Européennes ?
Quelle est l'orientation du Cercle des économistes e-toile dans le chaos actuel ?
La semaine de la honte - A conserver pour ceux qui feront un jour l'histoire de la période
Démographie : le carnaval des hypocrites
La « société durable » : le nouveau masque de l’anticapitalisme primaire
Pompes fiscales cachées et fausseté du taux de prélèvement
Dignité et indignation
L'économie française en proie aux harceleurs de médias
Une vision vécue de l’histoire récente de l’agriculture
Bienvenue au Paradis des Anges
La campagne électorale européenne signera-t-elle la mort de LR ?
Qu’aurait été l’année 2023 sans Emmanuel Macron ?
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Des voeux problématiques pour 2024
Les ONG maîtresses absolues des institutions européennes : un colloque révélateur et inquiétant
Les « États-Unis d’Europe » programmés à Bruxelles. Silence à Paris.
L'Union Européenne : une bureaucratie sans limite et dominée par les ONG
Le dernier livre d’Henri Guaino : forces et limites
Comment on empoisonne la vie des Français et on souille la République
Il y a des trous dans les mémoires politiques de Franz Olivier Giesbert
Après le serpent monétaire, le serpent énergétique. Il est venimeux
Climat : la fabrique de l'hystérie
La faiblesse actuelle de l'édition économique : un exemple.
Hystérie écologique : le retour de bâton est en cours
Comment comprendre la sanctification de Jacques Julliard par la presse classée à droite
Le double enterrement d'une illusion et d'une idée fausse
Une autre manière d'analyser la situation économique mondiale
Le retour de l'inquisition : exemple pratique , le "décret tertiaire".
Rôle du CO2 dans le réchauffement climatique (2). Liste des principaux scientifiques critiques
Rôle du CO2 dans le réchauffement :pourquoi de nombreux scientifiques résistent
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Qui est responsable des dérives de l’Union Européenne et que faire ?
Obsession du « Leader Maximo » et néant programmatique national : la nouvelle normalité ?
Les élites françaises ont-elles détruit la France ?
Ce blog a 15 ans jour pour jour. Opération spéciale anniversaire.
Petit résumé de l'état de la France
Une belle panne qui devrait inciter à réfléchir
Le retour des grandes lubies économiques
La nouvelle Saint-Barthélemy des propriétaires qui s’annonce
Grand Mensonge Écologique et bureaucratie délirante
Sortons-nous du Grand Mensonge ?
Un très grand livre :" Une contre histoire de la colonisation française" de Driss Ghali
La hiérarchie des causes de l’effondrement français
Une victoire tardive mais fort instructive
Deux articles très détonnants dans le Figaro du 3 avril 2023
Le livre d’Alexandra Henrion Caude
Ordonnance sur l'énergie : la Commission Européenne devient complètement folle
Le livre d’Éric Zemmour : suite ou fin ?
France 2023 : Rire ou Pleurer ?
Les non-dits fondamentaux de la réforme des retraites
Réconcilier Union Européenne et démocratie
Succès et chute du « néolibéralisme » ? Le type même d’une histoire falsifiée.
Un article formidablement révélateur du Financial Times
Désastre démographique : ils en parlent enfin !
Ce que veut dire « énarchie » sur un exemple concret
Pourquoi et comment le RPR et le PS ont-ils sombré ?
Pulsion d'autodestruction au LR
Désolés, pas de Bons Voeux possibles pour 2023 avec ceux qui nous dirigent vers le précipice.
L’effroyable passivité française face aux urgences énergétiques
Les trois sources scientifiques de la climatologie perturbées par l'obsession politique du CO2
Après le vote pour la présidence de LR quelle stratégie ?
Pourquoi les économistes doivent s'investir massivement sur la question écologique
Jours de travail perdus à la SNCF
Deux chiffres à conserver en mémoire
Steven Koonin : « La part d’incertitude ». L’artilleur.
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Couple franco-allemand et dysfonctionnement de l’Euro
L’option problématique du tout électrique
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Macron : une chance pour lui-même, pas pour la France
Octobre 2022 : le pic extatique des maîtres chanteurs
La bulle de sottise écologiste commence-t-elle enfin à percer ?
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Écologie délirante : entre boy scoutisme et bureaucratie
Quand le journal le Point divague avec des économistes socialistes
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Santé : Petite histoire d’une décadence programmée
L'écologie politique empêche de lutter contre les conséquences du réchauffement
Régime d’assemblée et Ve République - Il faut réformer d'urgence
La Nupes et Israël - L'indispensable antidote de Michel Onfray
Un sujet fondamental : pourquoi 87 à 90% des juifs français n'ont pas été dépôrtés et ont survécu.
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La dénatalité en Occident : la vraie solution pour sauver la planète ?
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Analyse sémantique de la posture écologiste
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Oh ce joli Week-End de mai !
Le dernier objet de mobilisation indignée : sauvez les Liminaires !
Le drame de la désindustrialisation en France
Passe-CO2 : le délire commence à se voir un peu trop !
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Affaire McKinsey : vrai et faux scandale
Premier chèque pour la Croix-Rouge sur le compte d'aide aux réfugiés Ukrainiens
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Emmanuel Macron : une démagogie sans limite et extrêmement dangereuse
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Invasion de l’Ukraine : la fin de la récréation en France.
Les Français qui s'opposent à Emmanuel Macron sont-ils vraiment des malades mentaux ?
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Avons-nous doublé le PIB français entre 1980 et 2021 ?
L'aspect essentiel de la crise des services publics français
Catherine Nay : un livre indispensable
Lettre persanne
Petit voyage au coeur de la grande désinformation
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La vraie question sur l'avenir de la France
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Le très révélateur rapport écolo de RTE
Sonnez Buccins,résonnez Trompettes : un nouveau service public est créé en date du 1er janvier 2022
L'ère du totalitarisme de l'imbécillité
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Plus les chiffres sont gros, mieux ça passe !
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Les nouveaux eldorados français sur argent public
Bernard Tapie et une exemplaire élite
La dépossession totale de la France de sa politique énergétique
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"Super Pinel" , Hyper Bureaucratie, Népotisme énarchique
En lisant Marianne…
La montée de l'intolérance
L'épouvantable article de Jacques Julliard dans le Figaro
Les limites du discours d’Éric Zemmour et les risques d’une candidature présidentielle
Les paniques émotionnelles provoquées, fléau d’une civilisation sur-désinformée.
Un anniversaire bâclé : la destruction des Accords de Bretton Woods.
Emmanuel Macron, la communication, la science et les Français
Le détestable "système Hidalgo"
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Le climat : un danger pour l’économie ? Moins que l’idée d’une économie totalement décarbonée !
Sortir du désastre présentation Video
De quelques tares de l’époque et de l’analyse du Pr Maffesoli
Un nouvel âge de déraison ?
Élections régionales : l’effondrement dans le ridicule et la honte !
Retour de l’inflation et assèchement administratif des liquidités
L'excellent livre du professeur Peyromaure
La fausse réforme de l’ENA
La fin d'une certaine idée de la France suite
La fin programmée d'une certaine idée de la france ?
Quelques paradoxes de l'époque
Pour ne pas l'oublier : petite histoire d'une semaine épatante (11 au 18 janvier 2021)
La France face au drame Macron
Les dures leçons de l’année 2020
Le livre de Michel Hau et Félix Torrès, « Le Virage Manqué », entre décapages et dérapages
Il y a 11 ans : le H1N1
Les exactions monétaires américaines continuent
Giscard et les aléas de la "modernité"
Les dures leçons de la crise sanitaire
Onfray, de Gaulle et Mitterrand, bonheur de lecture
Naufrage français et mal-gouvernance
Défausses et des fosses
France : le drame s'installe
Paris : la Capitale déclassée dans l'indifférence générale
Les banques centrales tentées par la monnaie numérique.
Covid : il n'y a plus de gouvernement ! Macron seul sur sa planète narcissique.
Retour de l’inflation ? Une possibilité sérieuse, si…
Harcèlement contre la médecine libérale
Un scandale honteux : quand la grande presse nationale baisse pavillon devant l'Enarchie
La France est-elle en train de créer une magnifique industrie de l'éolienne ?
La farce du "Ségur de la santé"
La France peut-elle redémarrer ? Le poids des tares anciennes
La France peut-elle redémarrer ? L’empêchement écologique.
La France peut-elle redémarrer ? Une vue d'en-bas.
Le piano et le tabouret
Quelques leçons de la plonge dans les restaurants parisiens
Dégringolade
Le « système » français est-il structurellement « corrompu » ?
Les Enarques face à la contestation de la bureaucratie française
Revenu moyen des Français : le même qu'en 1980
Quelles leçons tirer de la crise pour les Agences régionales de santé ?
La défaillance française de production médicale
Le gouffre
Pensées et attitudes françaises à mi chemin du confinement
Emmanuel Macron : le vide et le Covid !
L’Union Européenne et l’exploitation du virus Sars-cov-2
Sauvy ! Reviens ! La réflexion démographique se meurt, comme la natalité française !
L’Etat Moloch français, impuissant et dépassé. Pourquoi ?
L’étonnante convergence des idées économiques et monétaires saugrenues
Supplique d'un Parisien
« Le socialisme immobilier », plaie de Paris
La campagne municipale à Paris : vers une nouvelle redistribution des votes ?
2019 : L’année du Grand Ressentiment ?
Le mystère de Macron’s Island
Un bilan de l'entrée de la Chine dans l'OMC
La France et l'Argentine
Un SCHEMA explicatif fondamental
Comment on a démoralisé les Français
En regardant les défilés qui passent
« Il pleut de la boue »
Un cycle infernal français : démagogie, dépenses publiques, dettes, communication niaiseuse,
Hommage à Sylvie Kaufmann
Pourquoi il faut interdire la LIBRA
Pik(pock)etty – saison 2
Actualité saisissante d'un livre de 1934
Pompidou, Chirac, Giscard et la naissance de l'Enarchie Compassionnelle (suite)
Jacques Chirac et l'Enarchie Compassionnelle
Octobre 2019. Quelques Instantanés (Suite)
Octobre 2019 : quelques instantanés significatifs
Monnaie : les analyses désespérantes des économistes appelés par les médias
Le journal Le Monde face à l’éclatement des dogmes économiques
Le grand tournis monétaire et l'hélicoptère à fumiste
L’appel d’Alain Minc à un sursaut de la réflexion économique
Greta Thunberg : l'interview fondamentale.
Un spectacle rare : l’explosion en plein vol d’une idée dominante trompeuse et abusive
Désarroi et controverses sur le système monétaire
Unibail sur Seine – Quand Paris n’est plus Paris
Le 75ème Anniversaire des Accords de Bretton Woods
Ça pleurniche de partout.
Chassez la monnaie, elle revient au galop !
Nouveau livre de Didier Dufau : La Monnaie du Diable 1919-2019. Opération spéciale en avant-première
Loi Elan : le grand bond (immobilier) en arrière
Elections européennes -Synthèse des résultats
Monnaie et commerce : quand l’ignorance effondre le débat public !
Quand l’Allemagne dit non… à l’Euro !
Que s'est-il passé en France de 2012 à 2019 ?
« Contre le Libéralisme » d’Alain de Benoist
Haro sur le libre échange !
Enarchie Compassionnelle – Le faux projet de réforme
La Monnaie du Diable : le sommaire
Les trois manières de voir l’Europe, dont deux sont actuellement caduques
Une campagne pour les Européennes totalement décalée des enjeux
Annonce du prochain livre de Didier Dufau : La monnaie du Diable
Quelques leçons du phénomène des Gilets Jaunes
Psychodrame autour de Jean Monnet et des "pères" de "l'Europe des Etats-Unis"
Le Grand Débat : Un exemple au cœur de la « démocratie de l’informe ».
L'affligeant spectacle médiatique de certains économistes universitaires français
Les prochaines élections européennes en dix questions
L’opportune confession d’un haut fonctionnaire macroniste
La leçon de Thiberville
2018 : l’explosion des contradictions !
Craquements
Gilets jaunes, urbanistes, géographes et sornettes
Trois Vœux dans l’esprit du temps
Gilets Jaunes Supplique N°2
L'Eurosystème : 20 ans (et pas toutes ses dents).
La faute première d’Emmanuel Macron
Ce qui doit arriver arrive
La première défaite de l’Énarchie Compassionnelle
Supplique
Faut-il traiter la Chine en interlocuteur "normal" ?
L’histoire contemporaine : disruption ou continuité ?
Gilets Jaunes et Énarchie Compassionnelle
Agnès Verdier-Molinié : « en marche vers l’immobilisme »
Laurent Obertone, et la fin programmée de la France blanche
Éric Zemmour, le destin français et l’économie
Hidalgo : la prise en grippe (espagnole)
L’effondrement de la gouvernance politique
Impôts à la source : une réforme mal intentionnée ; le symbole d’une France perdue ;
Macron : une politique économique obscurcie par l’électoralisme
La fin de l'économie politique française ?
Un anniversaire saumâtre : le déclenchement de la Grande Récession
Rachat d’actions par les entreprises en économie baudruche
Le New York Times est-il devenu socialiste ?
Deux expériences socialistes très pédagogiques
Défis de la réforme de l’enseignement de l’économie au lycée
Commerce extérieur français en déficit : une surprise ?
Nature du Bitcoin et avenir des jetons Internet
Ce blog a dix ans
Trois exemples de ce qui ne va pas en France.
Le Monde : un article "collectif" d'économistes officiels décalés des vraies réalités et problèmes
Le rapport Landau : du lait aseptisé pour bébés
Macron : la difficile levée des hypothèques électoralistes
Grandes écoles : une enseignement économique problématique
Avis aux jeunes socialistes, vraiment socialistes
Monnaie et libre échange
L’impuissance de M. Macron dans l’affaire Trump
Deux mots à Paul Tucker, ancien banquier central.
Des maux d’origine monétaire traités comme des gros mots
Petit rappel en passant
La France en plein syndrome albanais
Le TFTEA est entré en action. Les Etats-Unis ont gagné
Une présentation (très) troublante
Argentine : monnaie et mensonges
Des idées qui progressent
Mai 1968 et la monnaie
La prétendue « sécession » des « zélites mondialisées »
L'Administration française à l'épreuve de la digitalisation
Macronisme : un curieux fond de sauce
La maladie de la cagnotte
Le droit de propriété immobilière en déshérence
Observations sur la répression des inégalités de salaires "genrées"
Retour de l’ambiance des années trente ?
Les causes du drame de la SNCF
Le péché originel d’Emmanuel Macron
Une erreur récurrente des écologistes
Du transistor à la TNT et à Internet : histoire d’un abaissement médiatique consternant
Hommage à Agnès Verdier Molinié
L’étrange année 2017
Les Intouchables d’État de Vincent Jauvert - Robert Laffont
En écoutant Louis Gallois
L’Énarchie en (in) action
Un aspect du drame français : l'agriculture
Crypto-monnaies : entre hystérie et innovation.
Vous avez dit « expérimentation » ?
Les leçons des difficultés d’Uber
Quand les économistes anglo-saxons viennent à nos thèses
Le cycle décennal a-t-il disparu ?
“Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.”
À propos du livre « Déflagration » de Patrick Stefanini
L’émotion passe à droite
La pauvreté et immigration de pauvreté
Réponse à une question sur la vocation de ce blog
"Plus cela change, plus c'est la même chose"
Emmanuel Macron et la CEDH : hauteur nécessaire ou rafistolage ?
Les Énarques compassionnels : de sacrés fortiches
En écoutant Éric Zemmour
Le racisme social hystérique, une dimension bien française
Un Fonds Monétaire Européen, pour quoi faire ?
Alerte rouge sur le Bitcoin
La diagonale du flou.
Les Républicains : quelles orientations dans une France plus étatisée que jamais ?
Macron : prisonnier de son conseiller économique ?
La lancinante question européenne
L'économie vue par des nuls. L'exemple de Libération.
Le désastre Hidalgo. Le livre "Notre Drame de Paris" est en dessous de la vérité
Plan Macron : accords et désaccords
Le retour du complexe de Zorro
Le régime des travailleurs détachés : un psychodrame révélateur
Lord Adair Turner : l’erreur comme un grand art politico social
France : encore des statistiques accablantes.
Anniversaire du blocage financier de 2007 : toujours les mêmes erreurs
En relisant « La mondialisation heureuse » d’Alain Minc
Note de conjoncture - juin 2017
Edmund Phelps : « La Prospérité de Masse » - Odile Jacob
La minirébellion de trois économistes bien en cour
Pris au piège de la démagogie
L'économiste, la démographie, le planning familial et l'avortement
Deux lois bien intentionnées mais loin du compte : 1 – la pureté des Parlementaires
Deux lois bien intentionnées mais loin du compte : 2 – la nouvelle loi sur le travail
Le vrai problème de la France
Enarchie : le sinistre retour aux vieilles habitudes
L'équilibre des retraites privées retardé de 20 ans
Le "macronisme" vu d'un pays voisin
Échec de l’économisme ou échec de l’économie ?
Saint Macron : de l’ivresse électorale aux conséquences de la démagogie
Statistiques : éviter le fétichisme autour des chiffres annoncés dans la presse
Une merveille de pronunciamiento !
Les impôts - Histoire d'une folie française de Jean Marc Daniel
Premier bilan des présidentielles
L’Euro : le mistigri de la campagne présidentielle
Un débat présidentiel ? Vraiment ?
Les vraies causes de l'asthénie française
Présidentielles : un vote modéré, mais...
Le journalisme bananier
La réforme fondamentale (fin)
La réforme fondamentale : les déséquilibres intra zone euro
La réforme fondamentale (suite)
La réforme fondamentale, base de toute diplomatie de la prospérité
Démocratie de basse saison
Présidentielles 2017 : Les quatre propositions démagogiques les plus basses
Brice Teinturier et les noirs reflets de la démocratie française.
Le coût délirant des erreurs monétaires
La seconde explosion du pseudo système international des paiements et des échanges
L’organisation de l’Europe, clé du débat présidentiel ?
Non au gouvernement des juges !
Deux mots à Charles Gave sur son rapport prônant la destruction de l’euro
Le moral des Français en 2017
Que penser du programme Macron ?
Comprendre les dangers et l'incongruité du TFTEA Clarifions certains points.
Pire que le CETA, le TFTEA
La tragique actualité d'Alfred Sauvy
Trump : une dénonciation raisonnable des énormes déséquilibres mondiaux ?
Des chiffres catastrophiques
L'Enarchie contre la République
Le livre de J. Généreux : la DéCONnomie
Le dernier livre de l'IFRAP : "Ce que doit faire le (prochain) président"
Guy Sorman : "J'aurais voulu être français"
En écoutant Patrick Artus.
En finir avec la banque universelle française
Socialisme : la décomposition délirante
Un petit exercice d'économie amusante
Quand l'Allemagne s'inquiète pour son Mittelstand…
Les naissances françaises en chute libre
Une hystérie bien française : la santé gratuite !
Macron : une anguille à la sauce hollandaise ?
Qui doit créer la monnaie ?
La grande surprise des récentes élections
Changer la "globalisation" ?
Les charges sociales dans la tourmente des élections présidentielles
Attention à la colère des peuples !
La grande valse des tabous économiques
Le livre d’Aude Lancelin : plongée profonde chez les journalistes morts-vivants.
Le CETA c'est assez !
En écoutant Christine Lagarde
En écoutant Claudia Buch
Vous avez dit "libéralisme" ?
Trois conseils aux candidats qui sont trois avertissements aux électeurs
La droite de gouvernement au feu des primaires
L'économiste "mainstream" et le garde rose
L'économiste et le garde noir
OMC : une erreur tragique de diagnostic
La crise en riant !
Bruno Lemaire : le concept problématique de "contrat présidentiel"
Le faux combat entre Keynes et Milton Friedman
Le million de lectures dépassé sur ce site
La tentation toxique de la pensée "animiste" en économie
Le Baltic Dry Index ne mentait pas
Faut-il supprimer l'ENA ?
Le libre-échange remis en cause ?
Joseph Stiglitz et l’Euro
La prospérité s’organise
Rencontres économiques d’Aix en Provence : une certaine pusillanimité.
Stagnation économique mondiale : l’impatience monte au Figaro !
Les Américains commenceraient-ils à réaliser que la crise existe ?
La France face à la crise - les 8 dernières années
Economie et médias : dix souverains poncifs.
La subsidiarité : un faux concept et un vrai évitement.
Michel Rocard : l’enterrement d’une illusion
La fin de la vision rooseveltienne du monde ?
France et Royaume-Uni : des situations similaires
Réformer le droit de grève en France
Hommage à Raghuram Rajan
A propos du Brexit : la Liberté se chérit mais les libertés s'organisent
Blocage accidentel du site
Place de l'économie dans les élections présidentielles
Programme économique présidentiel et méthode associée
Le PIB : le pire indicateur de conjoncture (2)
La droite étouffée par la droite
Monnaie et commerce international : les deux règles fondamentales
France : les mots qui tuent l'action
Hollande : une sinistre fin de règne
Jean Tirole : un prix Nobel pour rien ?
En lisant Jacques de Larosière
Le système de change actuel ruine la société...
J. Peyrelevade : un éclair déchire le ciel bleu de l’Enarchie
France 1974-2015 : les leçons d'un désastre.
Crise : un meilleur diagnostic officiel ? Enfin ?
Retour sur le chômage structurel en France
La sortie de crise n'est pas pour tout de suite
Economie, primaires de la droite et élections présidentielles
Du Canard enchaîné au cygne martyrisé
Des chiffres terrifiants mais significatifs
Expédients
Deux mots à Bruno Lemaire
Quelques aspects cachés de l'indemnisation du chômage
L’inaction : une maladie française ?
Une question
Le journal Les Echos analyse la crise.
Attention ! Ce qui doit arriver arrive.
Hollande et Sarkozy entre pathos et achat de vote
La France, entre blocage et utopies.
Le Club Périclès et les « cent premiers jours »
L'action du Cercle des Économistes E-toile en 2016
Que faire du privilège EDF-GDF du 1% ?
Christine Lagarde doit-elle être reconduite à la tête du FMI ?
Statistiques du site
Baltic index : Est-il significatif ?
In Memoriam
Le Baltic dry index au plus bas historique
"C dans l’air" : l’art de commenter sans jamais expliquer
Anatomie du pathétique en économie
Sus aux « contractionnistes » !
2015 : une nouvelle année « Hollandibilis ».
Deux leçons perdues des accords de Bretton-Woods
L'Etrange Désastre -Presentation au Presse-Club de France
Après les "Européennes", quelles chances politiques d'un redressement économique ?
Une folie : la non garantie des comptes bancaires
Ben Bernanke : Des "Mémoires de crise" sans aucun intérêt
Ce qu'on disait en 1947.
La banque de dépôt en pleine tourmente
Commande du livre "L'etrange desastre" de Didier Dufau
Les économistes américains découvrent (enfin) les méfaits de la dette massive
Suzeraineté américaine et mentalités
Deux illusions tenaces
Neuf mois après « l’alignement des planètes »…
L'émission Zemmour & Naulleau en grand danger
Retour sur ce que disait l'Express en septembre 2009 pour juguler la crise
Pour une diplomatie de la prospérité !
Une erreur majeure de perspectives
Une pétition déshonorante
"FAIRE", le livre programme de François Fillon , dans la conjoncture politique actuelle.
En Grèce : La victoire électorale de Tsipras
Une émission stupide et malhonnête sur Arte
Parution du livre de Didier Dufau : L'étrange désastre - Le saccage de la prospérité
La fonctionnarisation de la France depuis 1973 : une fausse solution.
Economie du désespoir et désespoir de l'économie
Trois chiffres
Fiscalité politicienne et Constitution
Comment on enseigne n'importe quoi !
Les changes à nouveau en folie.
Pour une chancellerie de la zone Euro
En relisant les mémoires de J. Chirac
Que faire de la zone Euro ?
Ce qui doit arriver arrive !
Vous avez dit démocratie
L'art de dépouiller le citoyen
Economie et politique (2) : les socialistes
Grèce : Zeus aveugle ceux qu’il veut perdre.
Economie et politique (1): Les Républicains
L'étrange malédiction de Valéry Giscard d'Estaing
Une réforme radicale de l'école
« C dans l’air » en apesanteur économique
Note de conjoncture
En finir avec la banque universelle ?
Retour vers le futur : 1987 !
Quand Le Monde prend un bon virage
Après l’Argentino, l’Ellenikos ?
Mixité, Parité, Gratuité : attention danger !
Roustes électorales et fiscalité
Faut-il le leur dire en vers ?
Le bilan économique de 2014 s'affine
Deux mots sur la dette française
Réflexion sur le SMIC (suite)
Le rapport sur la dette du cabinet McKinsey
Réflexion sur le SMIC
Un chiffre à connaître...et à méditer
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2015 : pour qui sonne le glas ?
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2015, entre euphorie et ressentiment
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Profil conjoncturel de la crise
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SNCF : une déliquescence tragique.
Une autre erreur économique commune
La fausse "exemplarité" du marché des devises
François Hollande : de la désinvolture à la transgression.
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Aphorisme fiscal
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Explosion du lectorat de ce blog : 336.000 lectures cumulées
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Remarques sur quelques propos récents d'économistes
Châteaux en Espagne
Les thèses du Pr. Antal Fekete
Economie et politique
Le chômage structurel en France
L'oeuf, la poule, la crise et les droits de l'homme
Palmarès des incapables : deux mots à Franz Olivier Giesbert (FOG)
La panique s'installe
Une analyse brève du scrutin présidentiel français
La crise ? Connais pas !
Elections, sociologie et nécessités nationales (2)
Elections, sociologie et nécessités nationales (1)
Les deux non-dits du premier tour
Collectif d'économistes en faveur de Hollande : opportunisme ou imposture ?
Monnaies et banques centrales
Crise, Etats, Nation.
Pendant les élections la crise continue (bis)
Ce que mon commentaire expose est aussi valable pour celui- ci et je le reproduis donc à nouveau. Si le lecteur répond au choix que je lui laisse (entre l'imaginaire qui nous guide aujourd'hui et le réel qui est en vrai le nôtre) en faveur du réel : il deviendra alors aisé de comprendre que les crises et les problèmes de ce monde ne sont pas financiers.
Reproduction de mon commentaire sur le billet précédent, avant que ne suive l'argumentation des erreurs de visions de notre hôte.
Il est vrai que bien des blogs nous parlent de sentiment de ressentiments, en fait d’opinion plus que des idées capables de faire évoluer notre monde.
Il est vrai aussi que les blogs qui se disent économie ne nous parlent peu du mécanisme de la monnaie se contentant d’en faire des boucs émissaires.
Il est vrai que ce blog tente de réfléchir sur cette problématique et qui depuis bien des temps me préoccupe. Au point de critiquer ceux qui en parlent sans avoir passé du temps à y réfléchir. Alors, quand on m’accuse de n’avoir pas suffisamment réfléchi sur le sujet : je ne peux que m'insurger et retourner le''compliment''.
Il ne suffit de me répondre comme Didier Dufau
« Oui, nous aimons réfléchir aux systèmes monétaires, les analyser et proposer des réformes.
La monnaie est peut être un voile, mais ce voile est aussi problématique que le voile islamique.
Cela n’empêche pas qu’in fine la production, l’investissement et la consommation soient des grandeurs essentielles de l’économie, avec la dette, le chômage, la productivité, la pollution, l’épuisement des ressources réelles, la pauvreté, etc.
Donc, cher lecteur, nous continuerons à parler de monnaie, de monnaies, de systèmes monétaires régionaux, de systèmes monétaires mondiaux. Autant que nous le jugerons bon. »
Ou comme le blogueur DvD
'' Comprendre les dysfonctionnements des systèmes monétaires actuels est une condition nécessaire à toute tentative de résolution des problèmes économiques du moment.
C’est précisément l’intérêt majeur du blog de Monsieur Dufau que d’expliquer patiemment et sous des angles divers et variés ces questions monétaires si essentielles, si mal comprises et si peu traitées ailleurs.''
Vos réponses ne démontrent pas que ce que je dis n’est pas la réalité de notre vie en société nationale.
Pour démontrer une erreur il faut l’argumenter.
Certes l’économie étant holistiques elle ne peut se traiter par bribe ce qui fait que quand j’expose une idée nouvelle, un vison de la réalité de notre vie en société, qui existe sous le voile de la monnaie et ses dérivés telles que les valeurs qu’elle matérialise, je suis trop long et l’effort à faire trop important pour comprendre que votre savoir de références n’est pas une réalité vrai mais, un savoir appris qu’a force de répétition est devenue une réalité incontournable qui en fait jette un voile sur la réalité vraie.
Pour faire court, j’aimerai avoir votre critique qui démontre que je suis dans l’erreur en exposant ce qui suit.
L’impôt sur les sociétés, le salaire, la charge sociale, la charge patronale, la taxe sur la valeur ajoutée, la contribution sociale généralisé, les quatre taxes qui ont remplacé la taxe professionnelle, la taxe foncière des entreprises, et tout autres prélèvements dont vous dite être payé par l’entreprise ou par le salarié : ne sont telles pas le fruit de l’imagination de nos élites au cours du temps ?
Donc des imaginations qui sont devenus réalités : des réalités qui cachent la vraie réalité de notre vie en société nationale.
Revenir aux vrais réalités est alors possible dans la mesure ou vous comprenez que toutes ces imaginations, issues de nos élites, vous ont formaté, par l’intermédiaire de notre Éducation Nationale à un modèle où le prix de la consommation se composent de tout les éléments imaginés par notre élite.
En fait l’éducation nationale vous formate à la technique de construction du prix des choses alors que la réalité de notre vie sociétale, dans la nation, est qu’à partir du prix des choses, c’est-à-dire des consommations se partager ces dernières :
- Soit entre les temps d’activité des actifs avec leur rétribution (40 % de la consommation nationale) et temps d’inactivité avec des attributions aux inactifs (60 % de la consommation nationale)
- Mais encore les mêmes 100 % de consommation nationale sont partagés par l’ensemble de la population à raison de 13 % en usage mutuel, 32 % en usage collectif et 55 % en usage familial (22 % pour activité et 33 % pour inactivité)
Là aussi le prix des consommations en fonction de l’usage est la somme des composantes comprenant
a) les rétributions des actifs qui subissent des prélèvements pour des contributions à des consommations mutuelles ou collectives.
b) les attributions faites aux inactifs qui subissent des prélèvements pour des contributions à des consommations mutuelles ou collectives.
À partir du prix de nos consommations nous pouvons avoir deux visions différentes.
Une vision issue de notre imaginaire : la technique de construction des choses, qui n’est pas rationnelle, puisque changeante suivant le type de consommation.
Une vision issue de nos observations où on considère l’usage du prix des choses qui se transforme, en rétributions attributions et contributions, avec pour finalité de se partager nos consommations nationales qui, comme chacun sait, se compose de notre production nationale moins nos exportations plus nos importations.
Sauf à démontrer que toutes nos imaginations : l’impôt sur les sociétés, le salaire, la charge sociale, la charge patronale, la taxe sur la valeur ajoutée, la contribution sociale généralisé, les quatre taxes qui ont remplacé la taxe professionnelle, la taxe foncière des entreprises, et tout autres prélèvements dont vous dite être payé par l’entreprise ou par le salarié et qui compose le prix des choses ne se transforme pas en rétributions des actifs, attributions des inactifs et en contributions mutuelles ou collectives. Avec pour finalité se partager notre consommation nationale :
Soit entre les temps d’activité des actifs avec leur rétribution (40 % de la consommation nationale) et temps d’inactivité avec des attributions (60 % de la consommation nationale)
Mais encore les mêmes 100 % de consommation nationale sont partagés par l’ensemble de la population à raison de 13 % en usage mutuel, 32 % en usage collectif et 55 % en usage familial (22 % pour activité et 33 % pour inactivité) ; vous avez le choix entre
a) rester sous le voile de la technique de construction, IMAGINE et APPRISE, du prix des choses.
b) ou regarder la réalité de notre vie sociétale, OBSERVÉE, l’usage du prix des choses qui correspond à une réalité de notre vie sociétale le partage de nos consommations nationales.
Je vous soumets une idée qui n’est pas enseigné par nos économistes et notre Éducation nationale : à défaut d'une idée plus réaliste que la mienne, votre opinion m'intéresse :
Préférez-vous l’imaginaire ou la réalité ?
C’est votre réponse qui va déterminer l’avenir que nous laissons à nos enfants, pour l’instant, par ignorance de la réalité, nous ne pouvons pas être fier de ce que nous leur laissons.
Ange LERUAS 11 mai 2018
'Énormes excédents commerciaux et énormes déficits de balance de paiement ont transformé le monde en une économie baudruche dont la vocation était d’exploser un jour ou l’autre.”
Si nous voulons que l’économie devienne une science : il nous faut rester rigoureux c’est ce que fait le narrateur quand il parle de -balance de paiement et non de balance commerciale qui, elle, n’est qu’une partie de la balance de paiement, par contre il ne l'est plus quand il parle d' ''Énormes excédents commerciaux (et y ajoute) ET énormes déficits de la balances de paiement », puisque les excédents commerciaux sont déjà un élément de la balance de paiement.
Il n'est pas plus rigoureux en disant '' que le déficit de la balance de paiement ont transformé le monde…'', puisque par définition la balance des paiements est un document comptable qui retrace sous forme comptable l'ensemble des échanges de biens, services et de capitaux pendant une période donnée entre les agents économiques résidents d'un pays et le reste du monde.
Un document comptable comme toutes les statistique que PIKETTY utilisent, n'est qu'un thermomètre qui, comme tout thermomètre, n'est pas la cause du mal. Ce qui importe ce sont les vrais causes qui font monter le déficit de la balance de paiement.
Pour rechercher ces causes : il faut, encore et encore de la rigueur et ne pas prendre des imaginations pour des réalités. Dans le commentaire précédent vous avez été invité à regarder la réalité vraie où le prix des choses devenant nos consommations avez pour usage de devenir des rétributions d'actifs ou des attributions pour inactifs, ou des contributions à des consommations mutuelles ou collectives des actifs et des inactifs. Et là aucun de vous ne peut nier cette réalité.
Si bien, comme dit Adam SMITH, que toutes ces choses agréables et utiles à la vie qui deviennent nos consommations nationales ne sont que nos productions nationales (dont chacune à un prix) moins nos exportations (dont chacune à un prix) plus nos importations (dont chacune à un prix).
Pour que notre balance de paiement ne soit pas affecté par la composante des échanges commerciaux il suffit que la valeur des exportations égale la valeur des importations. Dans ces conditions (dite de balance commerciale équilibrée) la valeur des productions nationale n'est capable que d'acquérir PAS PLUS et PAS MOINS que nos consommations nationales qui vont se faire suivant trois usages : familial, mutuel et collectif. C'est à dire que nous avons les moyens de payer à 100 % nos consommations familiales, nos consommations mutuelles, nos consommations collectives. Pouvez vous démontrez le contraire ?
Avoir les moyens est une chose ; utiliser ces moyens en est une autre. La preuve notre élite dès l'élaboration de son budget prévisionnel refuse d'utiliser ces moyens et décide d'un déficit de son budget et emprunte pour couvrir ce déficit. On peut l'envisager pourquoi pas !
Mais, alors la rigueur exige de dire, à la population nationale, cette année nous allons dépenser pour nos consommations mutuelles et collectives plus que vos contributions le permettent et pour cela nous vous demandons de restreindre vos consommations familiales et nous prêter vos rétributions et attributions que vous n'aurez pas utilisées : puis nous vous les rendrons plus tard. C'est à dire : on vous demande de différer une consommation pour la récupérée plus tard. Alors chacun, en pleine connaissance de cause, s'exécute, la consommation familiale est remplacée, pour parti, par une consommation mutuelle ou collective et nous avons les moyens de payer à 100 % nos consommations familiales, nos consommations mutuelles, nos consommations collectives et nous avons toujours notre balance commerciale équilibrée.
Hélas on ne vous dit la réalité qu'impose un budget de la nation en déficit. Alors ce déficit PROGRAMME arrive : l'Etat emprunte et nous avons davantage de moyen qu'il nous faut pour acquérir nos consommations nationales à balance commerciale équilibré. Nous importons plus que nous exportons et notre balance commerciale est en déficit.
Ne l'est-elle pas à chaque fois que nos budgets le sont ?
Si notre balance commerciale est en déficit c'est bien le fait d'un comportement de notre élite et de comportement de la population ignorante de la réalité de notre vie en société nationale dans laquelle chacun consommant la production des autres doit produire autant pour les autres que les autres produisent pour lui, ce qui, au niveau national, se traduit par toute nation doit produire pour les autres autant que les autres produisent pour elles, bon ans, mal ans.
Nous avons en France un GRAVE de chez GRAVE déficit éducatif qui se manifeste chez ceux qui trouvent normal que nous empruntions pour boucler le budget de l’État, pendant plus de quarante ans aujourd'hui et sans discontinuer (c'est à dire dans la réalité consommer plus que produit, parce que d'autres consomment moins que produit) puis de s'étonner de la dette et la mettre sur le dos de la mondialisation ou de la scélérate finance.
Arrêtez d’élucubrer ; regardez la réalité en face, cela fait quarante ans que nous demandons à d'autres nations de produire plus qu'elles ne consomment pour nous permettre de consommer plus que nous produisons. Nous nous comportons en esclavagiste: C'est notre incivilité collective qui nous fait risquer la crise de la dette souveraine comme d'autres nations l'ont subit. Quand donc serons-nous capables de produire pour les autres un surplus afin de leur rendre les productions que nous leur avons subtilisées ce qui nous permettra le rembourser la dette ?
Quand l'élite d'une nation prévoit, durant quarante ans et chaque année, une ligne d'emprunt et aucune ligne pour le remboursement d'emprunt qui est responsable de la dette ?
Il est facile d'accuser des boucs émissaires, la finance, la mondialisation sachant qu'elles se répondront jamais à votre provocation, puis en absence de leurs réactions prendre vos élucubrations pour des réalités que relais notre Éducation nationale pour faire de nous des décroisant dans le classement PISA.
En plus de cette incivilité nationale, ne faut-il pas accuser l'incivilité individuelle de ceux qui comme les nations années aprés années demandent des emprunts qu'ils remboursent par des emprunts pour, chaque année, consommer plus que produit s'exposant ainsi à la crise des subprimes ?
Où est la cause, chez les autres ou dans l'incivilité de demander aux autres de différer des consommations pour égoïstement consommer plus sans aprés, par équité, leur rendre cette consommation ?
Tous ces comportements ne peuvent trouver de circonstances atténuantes du fait de l'ignorance des réalités ; si ce n'est, peut-être : celle d'ignorer que notre vie en société n'est que la somme des comportements de chacun de ceux qui la composent.
Vous ne pouvez qu'observer que ces crises ne sont aucunement financières mais uniquement comportementale, ce qui est aussi valable pour la crise de 2008 dont la cause n'est pas de surconsommation mais sous consommation suite à une psychose. Je vous laisse quelque temps pour découvrir ce phénomène psychotique qui s'est traduit par une modification de la vitesse de la circulation de la monnaie permettant d'arrêter la circulation de la production et là ce n'est pas, mon plus, l'arrêt de circulation qui est cause mais la psychose.
L'économie, sous son voile de la finance que vous accusez, est bien plus simple à comprendre dès lors que vous comprenez qu'elle n'a pour finalité que les productions deviennent consommation et notre seul PB est l'équité de la production et de la consommation par chacun de nous seuls responsable de ce que la société est.
Sans vos préjugés, expliquer, face à face, l'économie, demande une heure pour les plus assoiffés de réalité et un peu plus pour les autres et jamais pour ceux qui sont à l'aise dans leurs préjugés qui ne sont que de l'imaginaire élevé au titre de vérité.
Ange LERUAS 11mai 2018
''J’ai clairement démontré que ce que vous dites n’est pas la réalité.
Vous affirmez que la monnaie est un voile neutre qui recouvre les transactions réelles.
C’est une condition de validité de votre affirmation que, pour être neutre par rapport aux transactions réelles, le volume de monnaie et sa vitesse de circulation doivent être tous deux constants relativement au volume de la production réelle.
J’ai montré que cette condition n’était pas remplie dans la réalité, car le système de crédit a la possibilité réglementaire de faire varier le taux de couverture des dépôts en monnaie de base, c’est-à-dire que le système bancaire a la possibilité de créer / détruire de la monnaie par accroissement / raréfaction du crédit provenant de la variation de son ratio de liquidité. Possibilité qu’il utilise dans la pratique. Telle est la réalité.
La chose et dite et bien dite mais une fois de plus vous manquez de rigueur, ce qui en économie est proscrit.
Vous dites que ce que moi j'affirme est vérifié si '“le volume de monnaie et sa vitesse de circulation sont tous deux constants relativement au volume de la production réelle.”'
C'est la que vous manquer de rigueur vous confondez production avec consommation. Toute production qui ne devient pas consommation est inutile. Il vous faut dire '“relativement au volume de la consommation”' et alors vous comprenez que suivant cette vitesse de consommation en parallèle de la circulation de la monnaie en sens inverse, qui ne dépend que de l'humeur des consommateurs (la production ayant déjà agit pour donner des rétributions aux actifs et des attributions aux inactifs et des contributions pour des dépenses mutuelles ou collectives) le blocage des rétributions et des attributions dans l'épargne des consommateurs empêche la vente des productions et le retour dans les caisses des organes de production des sommes avancés par elles.
C'est un risque financier énorme pour les entreprises qui ont fait l'avance de la monnaie qui dort dans les porte-monnaies des consommateurs (comportement) à cause de psychose que des oiseaux de mauvaise augures, économistes et politiques, ont répandus sous prétexte d'avenir incertain (comportement) à cause de la crise des subprime (comportement), de la crise de la dette souveraine (comportement), de faillite de banque parce que des intérêts politique (comportement) ne les ont pas soutenus dans leur difficulté.
Devant ces difficultés des entreprises et des banques : ces dernières doivent être aidées suites à tous ces comportements qui bloque la circulation de la monnaie utile à la consommation ; bien sur il faut que les gouvernements et banques interviennent de concert pour par des COMPORTEMENTS positifs d'intérêt général il neutralise tous les effets négatifs des comportements individuels.
Grâce à ces comportements positifs, matérialisé par des prêts (ne faudrait-il pas dire préemption de l’épargne des consommateurs qui ne consomment plus ?) la confiance revient et la circulation des productions devient consommation, alors l'épargne préempté, revenus dans les caisses des entreprises, est rendus aux consommateurs qui avaient cessé de consommer et se remettent à consommer.
Nous venons d'analyser la crise de 2008 où les comportements négatifs des citoyens a été la cause de la crise et le comportement de l'élite gouvernementale et des banques (pour une fois) a été dans le sens de l'intérêt général et a permis de s'en sortir avec moindre mal : non pas à cause de notre modèle social qui demande à régler des prélèvements avant que les productions deviennent consommation pour aggraver la crise, mais par des comportements d'intérêt général.
A défaut de reconnaître cette réalité ; J'attends que vous me démontriez que le mécanisme de la crise de2008 n'est pas été cette réalité qui confirme que la monnaie n'est que l'outil de circulation des productions (fonction circulation) ou de partage des consommations (fonction partage).
Ange LERUAS 11 mai 2018
Toute production qui n'est pas consommée devient épargne. L'épargne est un investissement. L'investissement crée la production de demain. La dynamique économique est un monde qui vous est totalement étranger. Comme conseillée précédemment, relisez les manuels de comptabilité nationale et essayer aussi quelques autres livres de base en économie. Vous verrez c'est très intéressant.
DvD n’est pas Didier Dufau (DD). Vous manquez de rigueur.
Et vous vous enfoncez dans la confusion.
Par ex, toute production qui ne devient pas (immédiatement) consommation, loin d’être inutile comme vous dites, est une considération fondamentale. La production non consommée devient l’investissement, qui améliore la prospérité future s’il est profitable et qui la détériore s’il s’avère générer des pertes. C’est donc une notion fondamentale dans la dynamique économique. C’est précisément sur ce segment que les conditions monétaires (création monétaire, taux d’intérêt) ont la plus grande influence amplificatrice et là que s’enchevêtre le plus nettement la dynamique réelle et la dynamique monétaire.
Exclure l’épargne et l’investissement d’un trait de plume pour ne retenir que la consommation, comme vous le faites, est totalement arbitraire et infondé.
Ange part de la prémisse que la monnaie est un voile neutre qui recouvre les transactions réelles. A partir de là, il entreprend de nous faire partager sa conception du système économique.
Comme le disait le mathématicien Bertand Russell, si nous supposons qu’une proposition fausse est vraie, alors nous pouvons démontrer n’importe quoi.
C’est ce que fait Ange. Son affirmation que la monnaie est neutre est fausse, comme nous l’avons clairement démontré. A partir de là, tout le reste du raisonnement est entaché. Ce n’est donc pas une question de conventions différentes mais une question de raisonnement non rigoureux reposant sur une prémisse fausse.
Votre prémisse que « la monnaie cache la réalité » (économique) et que par conséquent « il ne faut pas parler de la monnaie mais de la réalité » est fausse.
La monnaie interfère avec la réalité économique et, ce faisant, la modifie.
L’histoire regorge d’exemples : hyperinflations, déflations, envolée des cours des actifs, effondrements des cours des actifs, « miracles économiques » liés à l’expansion du crédit qui virent aux cauchemars quand reflue le crédit. Sur tous les continents : Europe de l’Ouest, Europe de l’Est, Amérique du Nord, Amérique du Sud, Asie, Afrique. A toutes les époques. Autant de faits avérés strictement impossible à expliquer sans une création monétaire élastique et déconnectée de la production et des revenus réels.
La première étape de la rigueur est l’observation des faits.
Nier l’effet de la dynamique monétaire sur la dynamique de l’économie réelle, c’est nier les faits. C’est partir d’un postulat arbitraire, non fondé et contraire à l’observation. Ce n’est pas rigoureux.
Il vous faut reprendre votre raisonnement depuis le début en tenant compte du fait observé partout et à toute époque que la monnaie interfère avec les transactions réelles et, ce faisant, en modifie le cours de façon plus ou moins marquée.
Une banque qui a de la marge de manœuvre sur son ratio de liquidité peut créer de la monnaie, par exemple en vous octroyant un prêt, à partir de rien d’autre qu’une écriture comptable. Dans le système de crédit à réserves fractionnaires généralisé depuis 3-4 siècles, cette capacité à créer de la monnaie à partir de rien explique que, dans une certaine mesure qui peut s’avérer matérielle, la création monétaire soit déconnectée de la production et des revenus.
Maintenant, j’ai suffisamment perdu de temps avec vous. Pensez ce que vous voulez, ça me convient parfaitement. Mais de grâce, cessez de prendre vos grands airs de penseur rigoureux quand vous ne comprenez manifestement pas comment fonctionne le système monétaire. Et pensez à soigner la clarté et la concision. Merci