Mai 1968 et la monnaie
Catégorie : Concepts fondamentaux - Crise systémique - Zone Euro - Crise mondiale - Crise financière - Histoire économique récente
Cette question n’a jamais été réellement posée jusqu’ici, mais ne manque pas d’importance.
En mai 1968, les autorités n’ont réussi à terminer la grève quasi générale qu’en lâchant les accords de Grenelle qui ont eu pour conséquences immédiates la dévaluation du Franc, afin de reprendre le plus vite possible les avantages intenables qui avaient été concédés et ne pas mettre totalement hors-jeu l’industrie et l’emploi français.
Épreuve écrite :
Que se passerait-il dans des circonstances similaires du fait qu’on ne peut plus dévaluer une monnaie nationale ?
Vous avez quatre heures.
Épreuve orale :
Depuis 1967 de Gaulle ferraillait dur contre le dollar et le Gold Exchange Standard et pour qu’on en revienne à l’étalon-or. Les évènements de mai allaient le mettre immédiatement hors course. S’en était définitivement fini d’une revendication française en matière de système monétaire international. Certains complotistes ont vu dans ces manifestations l’effet de la CIA justement pour pérenniser le rôle du dollar.
Que se serait-il passé si la situation était restée normale ? De Gaulle et Rueff auraient-ils pu provoquer une réforme du système monétaire international et éviter l’explosion de 1971 ?
Vous avez une heure.
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
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Analyse sectorielle
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Texte fondateur
Zone Euro
Le retour du mensonge économique décomplexé
Régression néonatale : Le professeur Minkowski ne serait vraiment pas content !
Budgets irresponsables : bataille instructive entre deux hauts fonctionnaires
Erreurs évitables et déficits abyssaux : la fin de la désinvolture ?
Enfin un prix "Nobel" d'économie qui le mérite
Quelques livres à lire sur la crise et ses solutions
Impôts et dépenses publiques : l'urgence absolue d'éviter le gouffre.
Que pensez du nouveau gouvernement Barnier ?
De la nuisance des « marchés administratifs » à la mésaventure du Gouvernement Barnier.
France et Europe : la fin de la désinvolture ou le début de la folie sans fin ?
Interdire d'urgence de monoxyde de dihydrogène ?
Quelques maximes pour les temps nouveaux
Le bel été 2024
La courbe de Dufau
Les scandaleuses décisions de l'Arcom et l'emprise antidémocratique de la haute fonction publique
France : conservatoire honteux de la violence révolutionnaire sacralisée
Quand les moteurs de recherche évoluent bizarrement ...
Eléments pour comprendre la descente aux enfers française
Pierre Manent et l’explication de la crise politique française
Le naufrage de l’extrême centre : le faux diagnostic de Jean-Louis Bourlanges
Brèves de comptoirs - Le samedi avant les résultats
Ils osent appeler cela « programmes »
Exiger la neutralité politique et idéologique des sujets des épreuves du BAC
Blessure narcissique, chantage, menaces, chaos : la descente aux enfers d'Emmanuel Macron.
Aux sources de l'écologie anticapitaliste et malhonnête - L'ozone et le Giec. (suite et fin)
Aux sources de l'écologie anticapitaliste et malhonnête. Première partie : 1970-1982/
Discrédit des hommes politiques : pourquoi ? Le triste exemple de Christophe Béchu.
Article de Jérôme Fourquet - Seconde partie 2000-2024
Le faux diagnostic de Jérôme Fourquet sur la fin du " modèle français" Décrire ne suffit pas.
Géopolitique et changes flottants
CEDH : Coup d’Etat Durablement Hostile (à la démocratie)
Petites observations témoignant de grandes transformations économiques
Les dégâts sociaux des peurs et des idolâtries manipulées.
Quel vote utile pour les Européennes ?
Quelle est l'orientation du Cercle des économistes e-toile dans le chaos actuel ?
La semaine de la honte - A conserver pour ceux qui feront un jour l'histoire de la période
Démographie : le carnaval des hypocrites
La « société durable » : le nouveau masque de l’anticapitalisme primaire
Pompes fiscales cachées et fausseté du taux de prélèvement
Dignité et indignation
L'économie française en proie aux harceleurs de médias
Une vision vécue de l’histoire récente de l’agriculture
Bienvenue au Paradis des Anges
La campagne électorale européenne signera-t-elle la mort de LR ?
Qu’aurait été l’année 2023 sans Emmanuel Macron ?
Europe 100 % fédérale : E. Macron la prépare ; le danger se rapproche
Des voeux problématiques pour 2024
Les ONG maîtresses absolues des institutions européennes : un colloque révélateur et inquiétant
Les « États-Unis d’Europe » programmés à Bruxelles. Silence à Paris.
L'Union Européenne : une bureaucratie sans limite et dominée par les ONG
Le dernier livre d’Henri Guaino : forces et limites
Comment on empoisonne la vie des Français et on souille la République
Il y a des trous dans les mémoires politiques de Franz Olivier Giesbert
Après le serpent monétaire, le serpent énergétique. Il est venimeux
Climat : la fabrique de l'hystérie
La faiblesse actuelle de l'édition économique : un exemple.
Hystérie écologique : le retour de bâton est en cours
Comment comprendre la sanctification de Jacques Julliard par la presse classée à droite
Le double enterrement d'une illusion et d'une idée fausse
Une autre manière d'analyser la situation économique mondiale
Le retour de l'inquisition : exemple pratique , le "décret tertiaire".
Rôle du CO2 dans le réchauffement climatique (2). Liste des principaux scientifiques critiques
Rôle du CO2 dans le réchauffement :pourquoi de nombreux scientifiques résistent
Impuissance des électeurs. La question des fuites démocratiques
Qui est responsable des dérives de l’Union Européenne et que faire ?
Obsession du « Leader Maximo » et néant programmatique national : la nouvelle normalité ?
Les élites françaises ont-elles détruit la France ?
Ce blog a 15 ans jour pour jour. Opération spéciale anniversaire.
Petit résumé de l'état de la France
Une belle panne qui devrait inciter à réfléchir
Le retour des grandes lubies économiques
La nouvelle Saint-Barthélemy des propriétaires qui s’annonce
Grand Mensonge Écologique et bureaucratie délirante
Sortons-nous du Grand Mensonge ?
Un très grand livre :" Une contre histoire de la colonisation française" de Driss Ghali
La hiérarchie des causes de l’effondrement français
Une victoire tardive mais fort instructive
Deux articles très détonnants dans le Figaro du 3 avril 2023
Le livre d’Alexandra Henrion Caude
Ordonnance sur l'énergie : la Commission Européenne devient complètement folle
Le livre d’Éric Zemmour : suite ou fin ?
France 2023 : Rire ou Pleurer ?
Les non-dits fondamentaux de la réforme des retraites
Réconcilier Union Européenne et démocratie
Succès et chute du « néolibéralisme » ? Le type même d’une histoire falsifiée.
Un article formidablement révélateur du Financial Times
Désastre démographique : ils en parlent enfin !
Ce que veut dire « énarchie » sur un exemple concret
Pourquoi et comment le RPR et le PS ont-ils sombré ?
Pulsion d'autodestruction au LR
Désolés, pas de Bons Voeux possibles pour 2023 avec ceux qui nous dirigent vers le précipice.
L’effroyable passivité française face aux urgences énergétiques
Les trois sources scientifiques de la climatologie perturbées par l'obsession politique du CO2
Après le vote pour la présidence de LR quelle stratégie ?
Pourquoi les économistes doivent s'investir massivement sur la question écologique
Jours de travail perdus à la SNCF
Deux chiffres à conserver en mémoire
Steven Koonin : « La part d’incertitude ». L’artilleur.
Bécassine et la méga bassine.
Monnaie : une erreur qui devient agaçante !
Couple franco-allemand et dysfonctionnement de l’Euro
L’option problématique du tout électrique
Comment analyser les grèves actuelles ?
Macron : une chance pour lui-même, pas pour la France
Octobre 2022 : le pic extatique des maîtres chanteurs
La bulle de sottise écologiste commence-t-elle enfin à percer ?
Le cauchemar du Dr Choronchon
Écologie délirante : entre boy scoutisme et bureaucratie
Quand le journal le Point divague avec des économistes socialistes
Et voici l’écologie pénitentielle coercitive. Elle ne s’arrêtera plus
Santé : Petite histoire d’une décadence programmée
L'écologie politique empêche de lutter contre les conséquences du réchauffement
Régime d’assemblée et Ve République - Il faut réformer d'urgence
La Nupes et Israël - L'indispensable antidote de Michel Onfray
Un sujet fondamental : pourquoi 87 à 90% des juifs français n'ont pas été dépôrtés et ont survécu.
Christian Gerondeau : l'indispensable trilogie sur la religion écologique
Enfin un livre de vérité sur la guerre d'espagne - Pio Moa- les mythes de la guerre d'espagne
Quelle statégie pour LR ? suite
Les effets pervers de l’impôt progressif
Quelle stratégie pour LR ?
La dénatalité en Occident : la vraie solution pour sauver la planète ?
Les effets imprévus et dommageables du concept erroné de « transition »
Analyse sémantique de la posture écologiste
La fin de la souveraineté française
La France, future Sri Lanka ?
Oh ce joli Week-End de mai !
Le dernier objet de mobilisation indignée : sauvez les Liminaires !
Le drame de la désindustrialisation en France
Passe-CO2 : le délire commence à se voir un peu trop !
L’article de Jean Peyrelevade sur la « renaissance de la social-démocratie ».
Un livre indispensable et à lire absolument : Laurent Toubiana Covid
Les dix sujets nationaux critiques
Quelles leçons de l'échec d'Eric Zemmour ?
Et voilà le passe-CO2 ! Merci qui ?
Banques centrales, vertu et inflation !
Bilan sinistre de la présidentielle 2022
Affaire McKinsey : vrai et faux scandale
Premier chèque pour la Croix-Rouge sur le compte d'aide aux réfugiés Ukrainiens
Les prélèvements ont cru 20% plus vite que le PIB en 2021 !
Dignité et indignation
Emmanuel Macron : une démagogie sans limite et extrêmement dangereuse
Opération Solidarité avec les réfugiés ukrainiens
Connaissez vous le ZAN ?
Impuissance de la vérité ?
Invasion de l’Ukraine : la fin de la récréation en France.
Les Français qui s'opposent à Emmanuel Macron sont-ils vraiment des malades mentaux ?
La Suisse et la crise sanitaire. Petite comparaison avec la France.
Bureaucratie française malfaisante : une exemple pédagogique pour les incrédules
La France en mode « avatar ».
Une facilité condamnable : décharger et défiscaliser des revenus sans toucher à la dépense.
Comprendre la destruction bureaucratique de la France
Avons-nous doublé le PIB français entre 1980 et 2021 ?
L'aspect essentiel de la crise des services publics français
Catherine Nay : un livre indispensable
Lettre persanne
Petit voyage au coeur de la grande désinformation
Pourquoi ne pas réformer le droit de grève
Les services publics à la française, Moloch impuissant et ruineux. Pourquoi ?
LR - Zemmour. Pour qui sonne le glas ?
La vraie question sur l'avenir de la France
Architecture, énarchite et bureaucratie délirante
Sélection LR : les aspects regrettables du débat sur BFM
Un commentaire sur le livre "Sortir du Désastre"
Le très révélateur rapport écolo de RTE
Sonnez Buccins,résonnez Trompettes : un nouveau service public est créé en date du 1er janvier 2022
L'ère du totalitarisme de l'imbécillité
Quand l’indécence bureaucratique et énarchique s’étale sans vergogne
Plus les chiffres sont gros, mieux ça passe !
Elections : Le retour des énormités dans l’argumentation économique
Les nouveaux eldorados français sur argent public
Bernard Tapie et une exemplaire élite
La dépossession totale de la France de sa politique énergétique
Le duel Minc-Zemmour symbole de la tourmente française
"Super Pinel" , Hyper Bureaucratie, Népotisme énarchique
En lisant Marianne…
La montée de l'intolérance
L'épouvantable article de Jacques Julliard dans le Figaro
Les limites du discours d’Éric Zemmour et les risques d’une candidature présidentielle
Les paniques émotionnelles provoquées, fléau d’une civilisation sur-désinformée.
Un anniversaire bâclé : la destruction des Accords de Bretton Woods.
Emmanuel Macron, la communication, la science et les Français
Le détestable "système Hidalgo"
LR : comment empêcher le retour de la « machine à perdre » ?
Le climat : un danger pour l’économie ? Moins que l’idée d’une économie totalement décarbonée !
Sortir du désastre présentation Video
De quelques tares de l’époque et de l’analyse du Pr Maffesoli
Un nouvel âge de déraison ?
Élections régionales : l’effondrement dans le ridicule et la honte !
Retour de l’inflation et assèchement administratif des liquidités
L'excellent livre du professeur Peyromaure
La fausse réforme de l’ENA
La fin d'une certaine idée de la France suite
La fin programmée d'une certaine idée de la france ?
Quelques paradoxes de l'époque
Pour ne pas l'oublier : petite histoire d'une semaine épatante (11 au 18 janvier 2021)
La France face au drame Macron
Les dures leçons de l’année 2020
Le livre de Michel Hau et Félix Torrès, « Le Virage Manqué », entre décapages et dérapages
Il y a 11 ans : le H1N1
Les exactions monétaires américaines continuent
Giscard et les aléas de la "modernité"
Les dures leçons de la crise sanitaire
Onfray, de Gaulle et Mitterrand, bonheur de lecture
Naufrage français et mal-gouvernance
Défausses et des fosses
France : le drame s'installe
Paris : la Capitale déclassée dans l'indifférence générale
Les banques centrales tentées par la monnaie numérique.
Covid : il n'y a plus de gouvernement ! Macron seul sur sa planète narcissique.
Retour de l’inflation ? Une possibilité sérieuse, si…
Harcèlement contre la médecine libérale
Un scandale honteux : quand la grande presse nationale baisse pavillon devant l'Enarchie
La France est-elle en train de créer une magnifique industrie de l'éolienne ?
La farce du "Ségur de la santé"
La France peut-elle redémarrer ? Le poids des tares anciennes
La France peut-elle redémarrer ? L’empêchement écologique.
La France peut-elle redémarrer ? Une vue d'en-bas.
Le piano et le tabouret
Quelques leçons de la plonge dans les restaurants parisiens
Dégringolade
Le « système » français est-il structurellement « corrompu » ?
Les Enarques face à la contestation de la bureaucratie française
Revenu moyen des Français : le même qu'en 1980
Quelles leçons tirer de la crise pour les Agences régionales de santé ?
La défaillance française de production médicale
Le gouffre
Pensées et attitudes françaises à mi chemin du confinement
Emmanuel Macron : le vide et le Covid !
L’Union Européenne et l’exploitation du virus Sars-cov-2
Sauvy ! Reviens ! La réflexion démographique se meurt, comme la natalité française !
L’Etat Moloch français, impuissant et dépassé. Pourquoi ?
L’étonnante convergence des idées économiques et monétaires saugrenues
Supplique d'un Parisien
« Le socialisme immobilier », plaie de Paris
La campagne municipale à Paris : vers une nouvelle redistribution des votes ?
2019 : L’année du Grand Ressentiment ?
Le mystère de Macron’s Island
Un bilan de l'entrée de la Chine dans l'OMC
La France et l'Argentine
Un SCHEMA explicatif fondamental
Comment on a démoralisé les Français
En regardant les défilés qui passent
« Il pleut de la boue »
Un cycle infernal français : démagogie, dépenses publiques, dettes, communication niaiseuse,
Hommage à Sylvie Kaufmann
Pourquoi il faut interdire la LIBRA
Pik(pock)etty – saison 2
Actualité saisissante d'un livre de 1934
Pompidou, Chirac, Giscard et la naissance de l'Enarchie Compassionnelle (suite)
Jacques Chirac et l'Enarchie Compassionnelle
Octobre 2019. Quelques Instantanés (Suite)
Octobre 2019 : quelques instantanés significatifs
Monnaie : les analyses désespérantes des économistes appelés par les médias
Le journal Le Monde face à l’éclatement des dogmes économiques
Le grand tournis monétaire et l'hélicoptère à fumiste
L’appel d’Alain Minc à un sursaut de la réflexion économique
Greta Thunberg : l'interview fondamentale.
Un spectacle rare : l’explosion en plein vol d’une idée dominante trompeuse et abusive
Désarroi et controverses sur le système monétaire
Unibail sur Seine – Quand Paris n’est plus Paris
Le 75ème Anniversaire des Accords de Bretton Woods
Ça pleurniche de partout.
Chassez la monnaie, elle revient au galop !
Nouveau livre de Didier Dufau : La Monnaie du Diable 1919-2019. Opération spéciale en avant-première
Loi Elan : le grand bond (immobilier) en arrière
Elections européennes -Synthèse des résultats
Monnaie et commerce : quand l’ignorance effondre le débat public !
Quand l’Allemagne dit non… à l’Euro !
Que s'est-il passé en France de 2012 à 2019 ?
« Contre le Libéralisme » d’Alain de Benoist
Haro sur le libre échange !
Enarchie Compassionnelle – Le faux projet de réforme
La Monnaie du Diable : le sommaire
Les trois manières de voir l’Europe, dont deux sont actuellement caduques
Une campagne pour les Européennes totalement décalée des enjeux
Annonce du prochain livre de Didier Dufau : La monnaie du Diable
Quelques leçons du phénomène des Gilets Jaunes
Psychodrame autour de Jean Monnet et des "pères" de "l'Europe des Etats-Unis"
Le Grand Débat : Un exemple au cœur de la « démocratie de l’informe ».
L'affligeant spectacle médiatique de certains économistes universitaires français
Les prochaines élections européennes en dix questions
L’opportune confession d’un haut fonctionnaire macroniste
La leçon de Thiberville
2018 : l’explosion des contradictions !
Craquements
Gilets jaunes, urbanistes, géographes et sornettes
Trois Vœux dans l’esprit du temps
Gilets Jaunes Supplique N°2
L'Eurosystème : 20 ans (et pas toutes ses dents).
La faute première d’Emmanuel Macron
Ce qui doit arriver arrive
La première défaite de l’Énarchie Compassionnelle
Supplique
Faut-il traiter la Chine en interlocuteur "normal" ?
L’histoire contemporaine : disruption ou continuité ?
Gilets Jaunes et Énarchie Compassionnelle
Agnès Verdier-Molinié : « en marche vers l’immobilisme »
Laurent Obertone, et la fin programmée de la France blanche
Éric Zemmour, le destin français et l’économie
Hidalgo : la prise en grippe (espagnole)
L’effondrement de la gouvernance politique
Impôts à la source : une réforme mal intentionnée ; le symbole d’une France perdue ;
Macron : une politique économique obscurcie par l’électoralisme
La fin de l'économie politique française ?
Un anniversaire saumâtre : le déclenchement de la Grande Récession
Rachat d’actions par les entreprises en économie baudruche
Le New York Times est-il devenu socialiste ?
Deux expériences socialistes très pédagogiques
Défis de la réforme de l’enseignement de l’économie au lycée
Commerce extérieur français en déficit : une surprise ?
Nature du Bitcoin et avenir des jetons Internet
Ce blog a dix ans
Trois exemples de ce qui ne va pas en France.
Le Monde : un article "collectif" d'économistes officiels décalés des vraies réalités et problèmes
Le rapport Landau : du lait aseptisé pour bébés
Macron : la difficile levée des hypothèques électoralistes
Grandes écoles : une enseignement économique problématique
Avis aux jeunes socialistes, vraiment socialistes
Monnaie et libre échange
L’impuissance de M. Macron dans l’affaire Trump
Deux mots à Paul Tucker, ancien banquier central.
Des maux d’origine monétaire traités comme des gros mots
Petit rappel en passant
La France en plein syndrome albanais
Le TFTEA est entré en action. Les Etats-Unis ont gagné
Une présentation (très) troublante
Argentine : monnaie et mensonges
Des idées qui progressent
Mai 1968 et la monnaie
La prétendue « sécession » des « zélites mondialisées »
L'Administration française à l'épreuve de la digitalisation
Macronisme : un curieux fond de sauce
La maladie de la cagnotte
Le droit de propriété immobilière en déshérence
Observations sur la répression des inégalités de salaires "genrées"
Retour de l’ambiance des années trente ?
Les causes du drame de la SNCF
Le péché originel d’Emmanuel Macron
Une erreur récurrente des écologistes
Du transistor à la TNT et à Internet : histoire d’un abaissement médiatique consternant
Hommage à Agnès Verdier Molinié
L’étrange année 2017
Les Intouchables d’État de Vincent Jauvert - Robert Laffont
En écoutant Louis Gallois
L’Énarchie en (in) action
Un aspect du drame français : l'agriculture
Crypto-monnaies : entre hystérie et innovation.
Vous avez dit « expérimentation » ?
Les leçons des difficultés d’Uber
Quand les économistes anglo-saxons viennent à nos thèses
Le cycle décennal a-t-il disparu ?
“Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.”
À propos du livre « Déflagration » de Patrick Stefanini
L’émotion passe à droite
La pauvreté et immigration de pauvreté
Réponse à une question sur la vocation de ce blog
"Plus cela change, plus c'est la même chose"
Emmanuel Macron et la CEDH : hauteur nécessaire ou rafistolage ?
Les Énarques compassionnels : de sacrés fortiches
En écoutant Éric Zemmour
Le racisme social hystérique, une dimension bien française
Un Fonds Monétaire Européen, pour quoi faire ?
Alerte rouge sur le Bitcoin
La diagonale du flou.
Les Républicains : quelles orientations dans une France plus étatisée que jamais ?
Macron : prisonnier de son conseiller économique ?
La lancinante question européenne
L'économie vue par des nuls. L'exemple de Libération.
Le désastre Hidalgo. Le livre "Notre Drame de Paris" est en dessous de la vérité
Plan Macron : accords et désaccords
Le retour du complexe de Zorro
Le régime des travailleurs détachés : un psychodrame révélateur
Lord Adair Turner : l’erreur comme un grand art politico social
France : encore des statistiques accablantes.
Anniversaire du blocage financier de 2007 : toujours les mêmes erreurs
En relisant « La mondialisation heureuse » d’Alain Minc
Note de conjoncture - juin 2017
Edmund Phelps : « La Prospérité de Masse » - Odile Jacob
La minirébellion de trois économistes bien en cour
Pris au piège de la démagogie
L'économiste, la démographie, le planning familial et l'avortement
Deux lois bien intentionnées mais loin du compte : 1 – la pureté des Parlementaires
Deux lois bien intentionnées mais loin du compte : 2 – la nouvelle loi sur le travail
Le vrai problème de la France
Enarchie : le sinistre retour aux vieilles habitudes
L'équilibre des retraites privées retardé de 20 ans
Le "macronisme" vu d'un pays voisin
Échec de l’économisme ou échec de l’économie ?
Saint Macron : de l’ivresse électorale aux conséquences de la démagogie
Statistiques : éviter le fétichisme autour des chiffres annoncés dans la presse
Une merveille de pronunciamiento !
Les impôts - Histoire d'une folie française de Jean Marc Daniel
Premier bilan des présidentielles
L’Euro : le mistigri de la campagne présidentielle
Un débat présidentiel ? Vraiment ?
Les vraies causes de l'asthénie française
Présidentielles : un vote modéré, mais...
Le journalisme bananier
La réforme fondamentale (fin)
La réforme fondamentale : les déséquilibres intra zone euro
La réforme fondamentale (suite)
La réforme fondamentale, base de toute diplomatie de la prospérité
Démocratie de basse saison
Présidentielles 2017 : Les quatre propositions démagogiques les plus basses
Brice Teinturier et les noirs reflets de la démocratie française.
Le coût délirant des erreurs monétaires
La seconde explosion du pseudo système international des paiements et des échanges
L’organisation de l’Europe, clé du débat présidentiel ?
Non au gouvernement des juges !
Deux mots à Charles Gave sur son rapport prônant la destruction de l’euro
Le moral des Français en 2017
Que penser du programme Macron ?
Comprendre les dangers et l'incongruité du TFTEA Clarifions certains points.
Pire que le CETA, le TFTEA
La tragique actualité d'Alfred Sauvy
Trump : une dénonciation raisonnable des énormes déséquilibres mondiaux ?
Des chiffres catastrophiques
L'Enarchie contre la République
Le livre de J. Généreux : la DéCONnomie
Le dernier livre de l'IFRAP : "Ce que doit faire le (prochain) président"
Guy Sorman : "J'aurais voulu être français"
En écoutant Patrick Artus.
En finir avec la banque universelle française
Socialisme : la décomposition délirante
Un petit exercice d'économie amusante
Quand l'Allemagne s'inquiète pour son Mittelstand…
Les naissances françaises en chute libre
Une hystérie bien française : la santé gratuite !
Macron : une anguille à la sauce hollandaise ?
Qui doit créer la monnaie ?
La grande surprise des récentes élections
Changer la "globalisation" ?
Les charges sociales dans la tourmente des élections présidentielles
Attention à la colère des peuples !
La grande valse des tabous économiques
Le livre d’Aude Lancelin : plongée profonde chez les journalistes morts-vivants.
Le CETA c'est assez !
En écoutant Christine Lagarde
En écoutant Claudia Buch
Vous avez dit "libéralisme" ?
Trois conseils aux candidats qui sont trois avertissements aux électeurs
La droite de gouvernement au feu des primaires
L'économiste "mainstream" et le garde rose
L'économiste et le garde noir
OMC : une erreur tragique de diagnostic
La crise en riant !
Bruno Lemaire : le concept problématique de "contrat présidentiel"
Le faux combat entre Keynes et Milton Friedman
Le million de lectures dépassé sur ce site
La tentation toxique de la pensée "animiste" en économie
Le Baltic Dry Index ne mentait pas
Faut-il supprimer l'ENA ?
Le libre-échange remis en cause ?
Joseph Stiglitz et l’Euro
La prospérité s’organise
Rencontres économiques d’Aix en Provence : une certaine pusillanimité.
Stagnation économique mondiale : l’impatience monte au Figaro !
Les Américains commenceraient-ils à réaliser que la crise existe ?
La France face à la crise - les 8 dernières années
Economie et médias : dix souverains poncifs.
La subsidiarité : un faux concept et un vrai évitement.
Michel Rocard : l’enterrement d’une illusion
La fin de la vision rooseveltienne du monde ?
France et Royaume-Uni : des situations similaires
Réformer le droit de grève en France
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A propos du Brexit : la Liberté se chérit mais les libertés s'organisent
Blocage accidentel du site
Place de l'économie dans les élections présidentielles
Programme économique présidentiel et méthode associée
Le PIB : le pire indicateur de conjoncture (2)
La droite étouffée par la droite
Monnaie et commerce international : les deux règles fondamentales
France : les mots qui tuent l'action
Hollande : une sinistre fin de règne
Jean Tirole : un prix Nobel pour rien ?
En lisant Jacques de Larosière
Le système de change actuel ruine la société...
J. Peyrelevade : un éclair déchire le ciel bleu de l’Enarchie
France 1974-2015 : les leçons d'un désastre.
Crise : un meilleur diagnostic officiel ? Enfin ?
Retour sur le chômage structurel en France
La sortie de crise n'est pas pour tout de suite
Economie, primaires de la droite et élections présidentielles
Du Canard enchaîné au cygne martyrisé
Des chiffres terrifiants mais significatifs
Expédients
Deux mots à Bruno Lemaire
Quelques aspects cachés de l'indemnisation du chômage
L’inaction : une maladie française ?
Une question
Le journal Les Echos analyse la crise.
Attention ! Ce qui doit arriver arrive.
Hollande et Sarkozy entre pathos et achat de vote
La France, entre blocage et utopies.
Le Club Périclès et les « cent premiers jours »
L'action du Cercle des Économistes E-toile en 2016
Que faire du privilège EDF-GDF du 1% ?
Christine Lagarde doit-elle être reconduite à la tête du FMI ?
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Baltic index : Est-il significatif ?
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Le Baltic dry index au plus bas historique
"C dans l’air" : l’art de commenter sans jamais expliquer
Anatomie du pathétique en économie
Sus aux « contractionnistes » !
2015 : une nouvelle année « Hollandibilis ».
Deux leçons perdues des accords de Bretton-Woods
L'Etrange Désastre -Presentation au Presse-Club de France
Après les "Européennes", quelles chances politiques d'un redressement économique ?
Une folie : la non garantie des comptes bancaires
Ben Bernanke : Des "Mémoires de crise" sans aucun intérêt
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Les économistes américains découvrent (enfin) les méfaits de la dette massive
Suzeraineté américaine et mentalités
Deux illusions tenaces
Neuf mois après « l’alignement des planètes »…
L'émission Zemmour & Naulleau en grand danger
Retour sur ce que disait l'Express en septembre 2009 pour juguler la crise
Pour une diplomatie de la prospérité !
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Une pétition déshonorante
"FAIRE", le livre programme de François Fillon , dans la conjoncture politique actuelle.
En Grèce : La victoire électorale de Tsipras
Une émission stupide et malhonnête sur Arte
Parution du livre de Didier Dufau : L'étrange désastre - Le saccage de la prospérité
La fonctionnarisation de la France depuis 1973 : une fausse solution.
Economie du désespoir et désespoir de l'économie
Trois chiffres
Fiscalité politicienne et Constitution
Comment on enseigne n'importe quoi !
Les changes à nouveau en folie.
Pour une chancellerie de la zone Euro
En relisant les mémoires de J. Chirac
Que faire de la zone Euro ?
Ce qui doit arriver arrive !
Vous avez dit démocratie
L'art de dépouiller le citoyen
Economie et politique (2) : les socialistes
Grèce : Zeus aveugle ceux qu’il veut perdre.
Economie et politique (1): Les Républicains
L'étrange malédiction de Valéry Giscard d'Estaing
Une réforme radicale de l'école
« C dans l’air » en apesanteur économique
Note de conjoncture
En finir avec la banque universelle ?
Retour vers le futur : 1987 !
Quand Le Monde prend un bon virage
Après l’Argentino, l’Ellenikos ?
Mixité, Parité, Gratuité : attention danger !
Roustes électorales et fiscalité
Faut-il le leur dire en vers ?
Le bilan économique de 2014 s'affine
Deux mots sur la dette française
Réflexion sur le SMIC (suite)
Le rapport sur la dette du cabinet McKinsey
Réflexion sur le SMIC
Un chiffre à connaître...et à méditer
Comment réformer les systèmes monétaires dysfonctionnels ?
Quand la BCE finit de manger son chapeau allemand
2015 : pour qui sonne le glas ?
Les Français ont bougé. La France bougera-t-elle ?
Contresens sur le concept de "zones monétaires optimales"
2015, entre euphorie et ressentiment
Tuez le chèque gratuit ? Pas seulement...
La France et les deux faces du Dieu Hermès
Profil conjoncturel de la crise
Mammouth étatique et hyper fiscalité : qui nous en débarrassera et comment ?
Une leçon de la chute des prix du pétrole
SNCF : une déliquescence tragique.
Une autre erreur économique commune
La fausse "exemplarité" du marché des devises
François Hollande : de la désinvolture à la transgression.
L'état du monde en octobre 2014
A propos de deux succès de librairie (Zemmour-Treirweiler)
Aphorisme fiscal
Faut-il vomir les « élites » ?
Xavier Fontanet : « Pourquoi pas nous ? »
Expédients ou vraies solutions ?
Scènes de la vie parisienne
Pantalonnade
Trois drames en cours.
La France au bord de la falaise grecque ?
Rentrée 2014 : les Français sidérés.
M. Hollande : "J'aime la droite". Vers un gouvernement Valls 3 ?
Le Grand Mensonge Immobilier
L'économie baudruche
Les propos de Paul Volker sur l'esprit de Bretton Woods
Langue de bois à la BRI et économie-baudruche.
L'économie à l'abandon
La croissance en (faux) procès
Nouvelle poussée du lectorat de ce blog
Crise économique, guerres et révolutions.
Le faux effondrement de la productivité
Une erreur économique commune mais profonde
Le grand tournant de 1988 !
Pénibilité intermittente et intermittents pénibles
Conjoncture mondiale flageolante
Vent de panique à Bercy ?
Les élections au Parlement Européen en 10 questions
Eloge de l'écluse
Effectif municipal comparé Paris et Tokyo
Crises périodiques et inégalités
Indécrottables ?
BCE : le mille-feuilles après le champagne !
L'Euro et le déficit d'organisation de l'Euroland
L'Union Européenne et le déficit démocratique
L'exonération de charges : une fausse solution
Mario Draghi et le cours de l'Euro
Sociologie du nouveau gouvernement
Mauvaises nouvelles (suite)
Prévoir les crises ou bâtir des scénarios ?
Sexe des anges bancaires européens et risques systèmiques
Croissance, vous avez dit croissance ?
Paris : un déclin programmé ?
Mauvaises nouvelles
Le coût économique en Occident du socialisme violent
Chomage : le pire est arrivé. Pourquoi ?
Devises : un faux marché !
Dépenses publiques : les cinq non-dits
Big bang ou big flop ?
500.000 lectures sur ce blog
RSA : la double escroquerie
2013 : l'« annus hollandibilis »
Le blocage incompris du marché interbancaire Chinois
Quand Mario Draghi joue à Trichet...
Un très grand livre
Un article imbécile mais typique
L'importance négligée de l'Ukraine
Paul Krugman : brutale arrivée au "terminal des prétentieux" !
Europe : la farce de la subsidiarité !
Des idées qui font leur chemin ?
Voltaire et l'éco-taxe
Le centenaire oublié
Désastreuse unanimité !
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Le FMI : pyromane devenu pompier ? Même pas !
Hollandisme : l'analyse de Louis Pauwels !
La "gratuité" de la vie instaurée en France. Enfin...
François Hollande : trois fautes qui augurent mal de la suite
Dettes : requête à l'Insee, à Eurostat et au FMI
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Le hollandisme : sinueux ou destructeur ?
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Mondialisation et fiscalité : éviter l'hystérie nationaliste !
Fréquentation de juin 2012 à juillet 2013
Qu'est-ce qu'une monnaie électronique ?
Bêtise et sottises
La France est mal arrivée
Les Frac et les lois de Parkinson
Le démon du bien
Mai 2013 : note d'ambiance
ISF : ils avaient bien menti !
La triomphale première année de M. Hollande
L'étrange nature du dépôt bancaire
Que faire de la SNCM ?
La crise, les experts et la télé
Margaret Thatcher, Jacques Delors et l’Euro : le malentendu
Le démagogue et la PME
En lisant M. Lemaire
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Choc à Chypre !
Super-Mario vs super-Mariolle ?
La terrible réalité française
La France : un pays socialiste ?
L'impayable Monsieur Peillon !
Zbig Brataniec : "Je suis inquiet pour la France"
Quelle organisation nouvelle pour la zone Euro ?
Changes et libre échange
Honni soit qui Mali pense ?
Une poussée de lectures significative (2)
Bilan 2012 – Perspectives 2013
Une fausse réforme bancaire
François Baroin : léger, léger, léger…
Nouvelle supplique à l'INSEE
Le mensonge
Champagne à la Kaiserstrasse !
Deux mots à la revue Commentaire
Laurent Mauduit et les "économistes imposteurs"
Les craques des "Gracques"
UMP : une tension normale
Le voyage au bout de la nuit
Cotisations sociales : charges ou salaires ?
La Chine et l'or
Le cycle : mythe ou réalité ?
Jour de Vérités
La transcription des débats de Bretton Woods retrouvée
Un billet d'humeur
Un débat et une prévision de 2009 vus avec quatre ans de recul
Le TSCG : nécessaire mais insuffisant !
Contradictions
Un début de révolte des économistes officiels ?
Deux mots à M. François Fillon
Enrichissements abusifs et richesses légitimes
Eviter la dépression : VITE !
Une nouvelle erreur à la mode
Fonctionnaires : une victoire à la Pyrrhus ?
Taxation des transactions financières : la farce continue !
ISF : la névrose fiscale qui détruit le Pacte Républicain Français
En relisant Raymond Barre
Un document explicite de mai 2007 : la crise était bien prévue !
Euphorie, inconscience et procrastination
Explosion du lectorat de ce blog : 336.000 lectures cumulées
La science économique en défaut ?
Hommage à Christian Saint-Etienne
Les limites de la méthode Hollande
Remarques sur quelques propos récents d'économistes
Châteaux en Espagne
Les thèses du Pr. Antal Fekete
Economie et politique
Le chômage structurel en France
L'oeuf, la poule, la crise et les droits de l'homme
Palmarès des incapables : deux mots à Franz Olivier Giesbert (FOG)
La panique s'installe
Une analyse brève du scrutin présidentiel français
La crise ? Connais pas !
Elections, sociologie et nécessités nationales (2)
Elections, sociologie et nécessités nationales (1)
Les deux non-dits du premier tour
Collectif d'économistes en faveur de Hollande : opportunisme ou imposture ?
Monnaies et banques centrales
Crise, Etats, Nation.
Pendant les élections la crise continue (bis)
Mai 1968 aurait donc été un grand moment de lucidité partagée ?
La naïveté coûte cher : collectivement, les manifestants de mai 1968 n’auront effectivement pas « perdu leur vie à la gagner », laissant plutôt derrière eux des trilliards de dettes aux générations futures ; la CIA comprendra mais un peu tard que le « privilège exorbitant » du dollar était en fait un « fardeau exorbitant » qui avait enfoncé les Etats-Unis dans la dette du fait de déficits extérieurs permanents. La plus faramineuse accumulation de dettes jamais connue dans l’histoire en un demi-siècle de paix. Bravo !
Un message d’espoir : vu qu’il sera difficile (mais pas impossible) de faire pire, les jeunes générations ont toutes les chances de faire collectivement mieux que leurs aînés inconséquents.
Pour preuve celui qui dit
'“que se passerait- il si les économistes cessaient leurs délires avec la politique monétaire et cessaient de faire joujou avec les monnaies ?”'
Vous devriez comprendre que la monnaie est devenue, à tort, le principal sujet des marxistes et des anti marxistes. Ils ne se mettront jamais d’accord sur ce thème sauf à écouter ce que Karl Marx disait à son propos.
'“La monnaie cache la réalité”'
Si la monnaie cache la réalité il ne faut pas parler de la monnaie, mais de la réalité et là Karl Marx nous dit que cette réalité c’est : « la production et la vitesse de circulation''
Alors parlons de la production et de sa vitesse de circulation qui se fait en parallèle de la circulation de la monnaie, à la même vitesse mais en sens inverse.
Sans production la monnaie ne circule pas ou circule pour rien puisque elle n’est qu'un outil qui tantôt sert
- à la circulation de la production dans le circuit de son élaboration dont le seul but est que cette production devienne notre consommation pour assouvir nos besoins matériels ou ludiques : '“ces choses agréables et utiles à la vie”' disait Adam SMITH
- au partage de la consommation entre nous tous qui voulons satisfaire nos besoins.
Quel est l’économiste qui vous parle de l’usage de la monnaie et de ces deux fonctions qu’elle a : les marxistes ou les anti Marxiste ?
Aucun ! Les deux sont dans le dénie de la réalité : la production qui devient consommation où la monnaie n'est que l'accessoire de la circulation ses productions ou du partage des consommations, c'est à dire une fiction, un imaginaire utile à la réalité (la production et la consommation) et seule cette réalité est à discuter. Ce qui fait que le partage des productions n'est pas proportionnel à la monnaie mais à la quantité et la qualité des productions.
Notre souci majeur se limite donc à l’équité dans la production et l’équité dans le partage de ces choses agréables et utiles à la vie entre nous tous qui
- lors de nos temps d’activité nous produisons pour les autres et consommons les productions des autres
- lors de nos temps d’inactivité ne faisons que consommer les productions des autres.
N’y a-t-il pas comme réalité celle de partager notre vie
- en temps d’activité pendant lesquels ce temps d’activité mérite une rétribution qui permet à l’actif de consommer ?
- en temps d’inactivité où ce temps d’inactivité par solidarité nationale des actifs envers les inactifs permettent de déterminer des attributions à faire aux inactifs pour consommer ?
N’y a-t-il pas comme réalité sociétale celle de l’équité
- de produire dans notre vie pour les autres l’équivalent que les autres produisent pour nous ?
- de produire dans sa vie active l’équivalent de ce que nous consommons dans votre vie d’activité et notre vie d’inactivité ?
N’y a-t-il pas comme réalité sociétale celle :
- de solidarité des actifs envers les inactifs ?
- de solidarité par la consommation mutualisée et la consommation collective en sus de la consommation familiale ?
- de solidarité des ménages les plus aptes à capter les progrès de la société envers les ménages les moins actes à le faire ?
Nous voyons alors que nous n’avons aucun problème de monnaie, mais de production puis de deux partage à 100 % de notre consommation nationalement en
- à 100 % entre actifs et inactifs en fonction de leurs temps d’activité et de temps d’inactivité
- à 100 % entre les trois modes de consommation : familial, mutuel, collectif le mode mutuel et collectifs étant,.
en quelque sorte, un revenu universel alors que les attributions faites aux inactifs est un revenu social et les retributions à l'actif un revenu du travail.
L’expression des solidarités qui sont les nôtres font que statistiquement :
- les actifs consomment 40 % de la consommation nationale et les inactifs 60 % et que les actifs et inactifs partagent la consommation nationale à raison de 13 % mutuellement, 32 % collectivement et 22 % familialement (actifs) 33 % familialement (inactifs).
Nous ne faisons exprimer que la réalité de vie en société nationale qui, en finalité consiste, à partager en % le gâteau national, la consommation nationale, entre actifs et inactifs, en différent pourcentage indépendamment des monnaies, ce qui nous demande que de regarder l’équité :
- dans les rétributions entre actifs physiques, intellectuels, financiers d’une part
-dans les rétributions faites aux ayant-droits à des temps d’activités choisis d’autre part
Seul ces pourcentages ont de l’importance : la monnaie n’étant qu’accessoire puisque la matérialisation de la valeur des choses qui peut avoir deux usages (nous revenons à ce que nous avons déjà dit)
- à la circulation de la production dans le circuit de son élaboration dont le seul but est que cette production devienne notre consommation pour assouvir nos besoins matériels ou ludiques : '“ces choses agréables et utiles à la vie”' disait Adam SMITH
- au partage de la consommation entre nous tous qui voulons satisfaire nos besoins.
Les déboires que nous connaissons, manque de compétitivité, besoins de délocalisation, besoin optimisation fiscale, de déficit de balance commerciale, de déficit public ou social, de dette, de crise, ne sont dus qu'au fait d'ignorer la mise en garde de Karl Marx : ''la monnaie cache la réalité''.
La réalité est simple, elle est faite de production et de consommation où la consommation nationale , nous dit Adam SMIT '' c'est notre production nationale moins nos exportations plus nos importations.
Cette simple équation de niveau élémentaire, permet de comprendre qu'avec la valeur de nos productions nous sommes capables de régler nos consommations, si notre balance commerciale est équilibré.
Si notre balance commerciale est déficitaire c'est que nous demandons à d'autres nations de produire plus pour nous que nous produisons pour ces autres nations Alors : notre dette n'est pas financière elle est matérielle nous devons rendre aux autres nations les biens et services équivalents à ceux que ces autres nations, en différant leurs consommations, nous permettent de consommer plus que produit.
La lecture de ces réalités devrait vous convaincre que disserter sur la réalité avec efficacité et espoir d’avenir meilleurs, demande moins de temps que de parler de la monnaie et surtout de la fiscalité qui est pure imaginations puisque nous n’avons besoin, pour parfaire le partage de notre gâteau, la consommation nationale, que d'un lexique restreint : rétributions pour actifs, des attributions pour inactifs et des contributions, à partir d’attributions et de rétributions, pour des consommations mutuelles et des consommations collectives.
Si à cela vous ajoutez que
- les productions circulent en valeur de circulation dans la nation et entre nation
- les consommations nationales se partagent dans UNE SEULE Nation en valeur de partage
- que l’économie se limite à trois composantes l’économie de production, l’économie patrimoniale, et entre ces deux composantes l’interface Épargne.
Comprendre l’intégralité de l’économie à partir des réalités, permet de trouver des consensus et ne demande que quelques pages et une paire d’heure alors que les milliers de pages de Piketty, du cercle des économistes, des économistes atterrés, des économistes en herbe que chacun prétend être, et de nos Nobels, ne font que diviser et s’opposer les marxistes et les anti marxistes sur la monnaie et les détenteurs de cette monnaie pour oublier l’essentiel : l’équité dans la production et l'équité dans le partage de la consommation.
Mais comme de bien entendu ce que je dis étant contraire à vos préjugés vous n'en tiendrez pas compte de qui nous met sur un pied d'égalité : nous parlons et écrivons que pour nous même sans soucis du monde que nous allons laisser à nos enfants.
Nous sommes devenus des irresponsables puisque la faute ce sont les autres, oubliant de ce fait que notre société n'est que la somme des comportements de chacun de nous qui composons cette société nationale.
A vingt ans nous nous sommes forgé nos propres vérités et passé ce grand age nous ne faisons plus d'effort pour rechercher la vérité. Louis le prince Ringuet .
La chose la plus difficile à comprendre c'est l'impôt sur le revenu. Einstein.
Seule les idées qui bouleversent les idées reçus sont susceptibles d’avenir. Einstein.
Toute théorie reste vrai jusqu’à ce qu'il soit démontré une seule fois qu'elle est fausse. Prégine
Alors : au travail démontrez-moi que ma réalité exposée ici est fausse et que votre réalité de lutte des classes est apte à permettre des consensus sur la réalité ?
Ange le RUAS 7 mai 2018
Merci d'avoir enfourché ce dada pour quelques minutes.
L'idée d'une monnaie voile qu'il s'agirait d'éliminer pour voir la réalité sous-jacente seule véritable n'est pas neuve et a eu son rôle historique en tentant de détourner les Etats de leurs manipulations monétaires.
La monnaie joue un rôle économique essentiel depuis quelques millénaires. Elle est née d'un croisement fertile entre le sabre et le goupillon et n'avait pas le soutien des grands commerçants de l'époque, les Phéniciens qui n'en voyaient pas l'intérêt. Si Alexandre le Grand créait des fonderies de monnaies à chaque étape de ses conquêtes, ou si les Romains ont ravagé la montagne espagnole, c'est qu'ils pensaient que la monnaie comptait.
L'histoire du capitalisme ne se distingue pas de celle de la monnaie. La conjoncture est rythmée depuis au moins 250 ans par des crises monétaires. Ce qu'on appelle la grande dépression, de 1873 à la guerre de 1914, est liée aux réformes monétaires qui ont largement éliminé le numéraire en argent. La guerre de 1914 a vu la création de flots de liquidités fiduciaires qui ont fini par provoquer la crise de 1929, dont les causes monétaires ne sont plus guère discutées. Le système de Bretton Woods a été le cadre d'une croissance unique dans l'histoire économique mondiale. Son effondrement a conduit à la situation de crise que nous connaissons (baisse du trend, crises périodiques de plus en plus grave, croissance de la dette, envolée du chômage). Nous sortons de la récession de 2008-2009 avec une situation monétaire des plus complexes. Les Grecs savent désormais ce qu'une crise monétaire veut dire : lorsqu'on interdit de sortir ses avoirs en banque,sinon pour de toute petite somme, la monnaie devient une vraie préoccupation.
Aujourd'hui nous voyons des pays en pleine folie monétaire : Le chavisme monétaire aboutit à une inflation de 18000% qui ruine radicalement un ancien pays très prospère, le Vénézuela. L'Argentine est à nouveau saisie par ses démons. Le sort de la livre turque est une difficulté. L'impossibilité d'ajuster les balances des paiements par la dévaluation impacte fortement la situation des pays de l'Union Monétaire Européenne. La question de l'emploi international du dollar est posée depuis que les Etats-Unis considèrent que leur droit interne s'applique à tout utilisateur à travers le monde.
Les jetons cryptés utilisés sur le net et présentés de façon trompeuse comme des crypto-monnaies, avec la mode intense d'ICO en jetons (voir Instagram et le Gram) posent des questions de principes et de pratiques particulièrement difficiles.
Oui, nous aimons réfléchir aux systèmes monétaires, les analyser et proposer des réformes.
La monnaie est peut être un voile mais ce voile est aussi problématique que le voile islamique.
Cela n'empêche pas qu'in fine la production, l'investissement et la consommation soient des grandeurs essentielles de l'économie, avec la dette, le chômage, la productivité, la pollution, l'épuisement des ressources réelles, la pauvreté etc.
Donc, cher lecteur, nous continuerons à parler de monnaie, de monnaies, de systèmes monétaires régionaux, de systèmes monétaires mondiaux. Autant que nous le jugerons bon.
L’idée que la monnaie est un voile neutre qui ne sert que de médiateur à des transactions réelles qui seules déterminent la dynamique économique serait correcte uniquement si la masse monétaire et sa vitesse de circulation restaient constantes relativement à la production de biens. Dans ce cas, les choses se passeraient effectivement comme décrites dans le commentaire d’Ange.
Mais, dans la réalité du système monétaire actuel, ni la création monétaire ni la vitesse de circulation de la monnaie ne sont constantes relativement à la production. Cela a échappé à Ange qui n’a visiblement pas « perdu assez de temps » à se pencher sur les modalités du système monétaire tel qu’il fonctionne réellement. Il en découle des conclusions très différentes de celles énoncées par Ange sur la dynamique économique réelle.
Dans le système monétaire actuel, la monnaie peut être crée et détruite dans des proportions tout à fait variables relativement à la production. Le système de crédit à réserve fractionnaire permet en effet de créer de la monnaie ex-nihilo par simple jeu d’écritures bancaires et d’augmenter ainsi le volume de crédit plus vite que la production de biens. Il devient dès lors possible d’acheter sans payer, en promettant simplement de payer plus tard, sans que ce crédit corresponde à une épargne pré-existante de quelqu’un d’autre, le crédit correspondant simplement à une baisse de ratio de liquidité du système bancaire. Cette expansion du crédit, en dopant le pouvoir d’achat de l’économie concernée, va stimuler la croissance de la production, au prix d’un accroissement de la dette. Cette dynamique peut - et de fait c’est presque tout le temps le cas - s’auto-renforcer tant que la capacité d’endettement de l’économie concernée n’est pas saturée au niveau des taux d’intérêt en vigueur. Mais, si la dette augmente constamment plus vite que la production (comme c’est le cas dans le monde réel depuis la fin des années 1970, ce qui ne pourrait pas se produire si le système monétaire fonctionnait comme Ange pense qu’il fonctionne), il arrive inévitablement un moment où le service de la dette absorbe une part trop importante du revenu des débiteurs, les forçant alors à restreindre leurs dépenses, provoquant ainsi un ralentissement économique. Au même moment, les créanciers se trouvent un peu trop engagés compte tenu de la dégradation de leur ratio de liquidité durant la phase d’expansion du crédit alors que l’économie montre des signes de ralentissement. Les banques rationnent donc le crédit pour restaurer leur liquidité et préserver leur solvabilité. Ce rationnement du crédit prolonge et accentue le ralentissement économique, cette dynamique pouvant elle aussi s’auto-renforcer à la baisse, créant des dépressions économiques profondes (1929-1932, 2008-2009 pour la plupart des pays occidentaux).
On remarque au passage à l’attention de Jaxing que, pour l’essentiel, ce ne sont pas les économistes qui font joujou avec les monnaies mais les banquiers. Celui de votre agence du coin de la rue, entre autres.
Loin d’être neutre, la dynamique monétaire vient donc amplifier la dynamique économique réelle, d’autant plus que la vitesse de circulation de la monnaie est elle aussi pro-cyclique, augmentant quand la conjoncture est bonne et diminuant quand elle mauvaise.
Ce rôle déstabilisateur de la monnaie-crédit dans un cadre national est encore aggravé internationalement dans le cadre de relations commerciales déséquilibrées. Déséquilibres internes et externes se cumulent et se capitalisent en dettes compte tenu de l’élasticité permise par le système de crédit, aucun pays ni déficitaire ni créditeur ne voulant prendre le risque de voir ralentir sa croissance domestique.
Les dysfonctionnements du sytème monétaire (domestiquement avec le système de réserve fractionnaire et internationalement avec le système commercial et monétaire international déséquilibré axé autour du dollar américain) sont au cœur des déséquilibres économiques actuels (ralentissement du trend de croissance, aggravation et persistance des déséquilibres de balances commerciales et des balances d’emplois entre pays, persistance et aggravation des déséquilibres de répartition de revenus à l’intérieur de beaucoup de pays, crises aiguës de la dette nécessitant des taux d’intérêt réels artificiellement maintenus à des niveaux négatifs à la fois dans les pays déficitaires et dans les pays excédentaires tels que Japon et Chine).
Comprendre les dysfonctionnements des systèmes monétaires actuels est une condition nécessaire à toute tentative de résolution des problèmes économiques du moment.
C’est précisément l’intérêt majeur du blog de Monsieur Dufau que d’expliquer patiemment et sous des angles divers et variés ces questions monétaires si essentielles, si mal comprises et si peu traitées ailleurs.
Il confirme ce que Louis le prince Ringuet disait dans les années 1970 et qui se confirme encore au 21 siècles.
Ce que je retiendrai de votre réaction, c’est que l’analyse de ce que vous observez est vérifié, mais étant qu’observation ne peut servir d’argument à ce que l’économie comme les nombres complexes en mathématiques se compose d’une partie dite réelle et d’une partie imaginaire : la partie imaginaire n’étant là que pour expliquer les effets d’une modification d’un terme de la partie réelle mais la partie imaginaire n’est en aucun cas un cause des effets constatés dans la partie réelle dont les causes sont incluses dans la modification d’un des termes de la partie réelle.
Ce qui fait que la partie imaginaire (la monnaie en économie) n’a aucune influence sur la partie réelle (la production vouée à devenir consommation en économie) les causes se trouvent dans les comportements de humains qui font, par ignorance de la réalité de la monnaie, des usages inutiles que l’on considère comme des causes du fait qu'on associe ces comportements à des boucs émissaires sans être capable de trouver des liens de causalité.
Ce qui est à reprocher aux économistes c’est de préférer l'imaginaire à la réalité de tous les jours : satisfaire les besoins de la population d'une nation. Vous en êtes conscient puisque vous rechercher à '“lever le voile de la finance, autant énigmatique que le voile de l’Islam,”' qui impacterait notre production et nos consommations.
Victime de préjugés, comme à l’époque de Galilée, Vous n’arrivez pas à changer votre point de vision pour voir la réalité. C’est en changeant de point de vision que vous serait capable de lever le voile qui opacifie la monnaie, laquelle cache la réalité.
Puisque vous affirmez : Oui, nous aimons réfléchir aux systèmes monétaires, les analyser et proposer des réformes
Ne perdez pas de temps à proposer des réformes du système monétaire alors que la monnaie ne dépend que de l’usage que nous en faisons et cet usage ne dépends que de la vision que nous portons sur la monnaie qui n’est qu'un thermomètre des effets réels.
Pour le comprendre il faut peu de page mais l’écrit n’est pas le meilleur des moyens de comprendre quand il faut explique une science dynamique qu’est l’économie qui est rationnelle mais sujette à des comportements humains seuls responsables des effets que vous appelez crise financières et qui n’en sont pas.
Aujourd’hui 8 mai je ne peux pas passer plus de temps avec vous, peut-être que jeudi j’aurai plus de temps à consacrer pour vous expliquer pourquoi nous observons ces crises, ces dettes, ces déficits … Mais avant consacrez un peu de temps pour vous conceptualiser la différence entre production mondiale et consommation nationale, fonction de la monnaie (circulation) partage, la différenciation entre monnaie et création de valeur ou effacement de valeur (la monnaie n’étant que matérialisation de valeur). Essayez de conceptualiser l’économie de production, et l’économie patrimoniale et indépendant ment de ces économies l'interface épargne lieu de circulation de la monnaie. Essayer de préparer le terrain qui va vous permettre de mieux comprendre la réalité qui sur les points que vous rechercher à résoudre ne demande que deux pages, trois au plus.
Je ne sais plus qui disait : ''le plus grand progrès de l’humanité viendra quand l’un pensera que l’autre a peut être raison''
Ange LERUAS 8 mai 2018
Aujourd'hui, on nous apprend que le France a connu son pire trimestre depuis 2012 en ce qui concerne la production manufacturière et industrielle.
Je rappelle que ce blog a annoncé une croissance record pour 2018.
Patientons...
En revanche, nous sommes en désaccord avec les idéologues de l'écologie politique sur plusieurs points. Les deux principaux sont bien connus de ceux qui nous lisent :
- Nous ne croyons pas que la conjoncture soit pilotée par la contrainte écologique. Ceux qui ont associé la crise de 2008 à des questions écologiques se trompent.
- Nous ne croyons pas qu'une perte de productivité conduise à plus d'emplois.
Dans cet esprit nous récusons absolument une explication de la mollesse conjoncturelle du premier trimestre 2018 par des faits écologiques.
Pour ce qui est du cycle, nous avons écrit que "normalement" il devait basculer en 2016-2017 si les rythmes traditionnels se conservaient et qu'il y aurait donc une mini crise (de type 2001-2002)
dans la foulée. Dans les faits cela ne s'est pas produit. Deux hypothèses :
- la crise de 2008 a été si profonde que la reprise de fin de cycle est en retard de 2 à 3 ans. Et le mini crash l'est aussi. Milite en ce sens le retournement actuel aux Etats-Unis et au RU. S'il se confirme, nous devrions en voir l'extension ou en 2018 ou en 2019. Certains parlent de 2020 seulement.
- les mesures prises pour étouffer les banques ont eu de l'effet et une explosion bancaire est devenue impossible. Donc la perspective d'une crise autre que politique est faible.
Là sont les termes du débat conjoncturel global.
Pour la France, l’assommoir fiscal a toujours des conséquences. La hausse de la CSG (+40% sur la CSG déductible) a un effet direct sur la consommation et la hausse a été brutale tout autant que celles à prétexte écologique qui ont lourdement impacté le coût d'achat et d'usage des voitures en même temps que la hausse des prix immobiliers asséchait le marché. La perspective d'une très lourde taxe sur les maisons secondaires tue ce marché. Il est donc normal que la situation conjoncturelle s'alourdisse en France en même temps que le climat infect, façon Commune de Paris 1870, qui empuantit les médias inquiète. La reprise qui était guidée par le marché immobilier et l'automobile perd ses deux soutiens les plus importants. Le tourisme a été freiné par 5 mois de mauvais temps sauf dans les stations de sport d'hiver. Il avait été limité par les attentats. La hausse constatée est du type rattrapage. Les grèves pèsent sur le PIB.
La hausse du pétrole, importante, n'est pas liée à des pénuries mais à des phénomènes politiques et spéculatifs.
Au passage, le but de ce fil était de comprendre ce qui se passerait si des évènements de type 68 se produisaient aujourd'hui en France, compte tenu du fait que des solutions types "accords de grenelle" ne sont plus possibles dans le cadre des traités européens et surtout dans le cadre de l'euro.
Si la coagulation des luttes se produit, compte tenu des positions de Mélenchon sur l'Europe, quel débouché ? La sérénité de Macron ne vient-elle pas justement, comme la Grèce en a fait la démonstration, que le blocage des comptes bancaires par la BCE suffira à calmer aussitôt les esprits les plus enflammés ?
M. Le Pen a sombré sur des questions monétaires mal assimilées. la contradiction où se trouve Mélenchon, s'il pousse trop loin son avantage n'aboutira-t-elle pas à la même impasse ?
La posture "révolutionnaire" de Rufin est elle une posture ou une imposture ?
Macron a compris tout cela. Et il rigole. Comme Bismark rigolait devant les palinodies parisiennes en 1970.
Pas nous.
En effet, le thème central du blog de Monsieur Dufau est précisément d'expliquer "la crise", définie comme la baisse du trend de croissance, la montée de la dette et la répétition périodique de récessions de plus en plus sévère depuis 1974.
Avec un argument portant effectivement sur la variation d'une grandeur représentant 1% de la production française annuelle (un mois - 1/12 - de production industrielle représentant elle-même 14% de l'économie française) dans un sens contraire au thème principal du blog, Jaxing est un peu léger.
S’agissant de l’épuisement des ressources, il faudra peut être que Jaxing patiente encore longtemps. C’est en effet un thème qui remonte au moins à Malthus en 1798. C’est peu dire que Malthus s’est lourdement trompé : sur les 220 années écoulées depuis la publication de son « Essai sur le principe de population », la population mondiale a été multipliée par 8.3x (de 900 millions à 7.5 milliards, soit près de +1% par an) et la production par tête a été multipliée par 26.5x (environ +1.5% par an) du fait des gains de productivité, c’est à dire que la production mondiale totale a été multipliée par environ 220x en volume (8.3 x 26.5, soit environ +2.5% par an). Grâce à la diffusion de la révolution agricole et industrielle et aux effets cumulatifs des progrès techniques, la hausse des niveaux de vie et la prospérité de l’humanité ont spectaculairement progressé pendant ces 220 années, plus que pendant tous les millénaires antérieurs réunis de l’histoire de l’humanité. Ce, sans aucune limitation de matières premiers, dont l’abondance a au contraire elle aussi explosé sous l’effet des innovations et des améliorations continues, la vapeur laissant progressivement place au charbon comme source principale d’énergie, puis au pétrole, maintenant au gaz, peut être demain à l’éolien et au solaire. Il est heureux que l’humanité ait ignoré Malthus et ait continué d’embrasser la révolution industrielle en se fiant instinctivement à ses vrais héros, les inventeurs, entrepreneurs, producteurs, commerçants qui n’ont eu de cesse d’étendre les ressources et d’en améliorer continûment la qualité et l’efficacité, pour leur plus grand profit et celui de l’humanité. Comme le dit Monsieur Dufau, la clé c’est la productivité. Gageons que l’humanité continuera encore longtemps d’ignorer les doctrinaires malthusiens (qui n’ont pas encore eu le temps en 220 ans de se pencher sur le léger écart entre la réalité et leur théorie) et d’améliorer l’efficacité des resources en se fiant à ses vrais héros, les pragmatiques créatifs.
L’idée que la monnaie est un voile neutre qui ne sert que de médiateur à des transactions réelles qui seules déterminent la dynamique économique serait correcte uniquement si la masse monétaire et sa vitesse de circulation restaient constantes relativement à la production de biens. Dans ce cas, les choses se passeraient effectivement comme décrites dans le commentaire d’Ange.
Cependant il ne croit pas en cette réalité, et son erreur à des répercutions sur tous les problèmes ''financiers'' dont il parle, les crises, la croissance, la dette et c’est cette erreur qui voile la réalité à savoir pour en parler avec le langage de la réalité.
Pour lever ce voile : il suffit de considérer l’économie suivant trois composantes qui ne se mélangent pas mais suivent des trajectoires différentes, très distinctes entre elle, même s’il y a pour une trajectoire, dans l’une de ces composantes, qui produit dans une autre une trajectoire concomitante.
Si vous arriver à conceptualiser que la concomitance ne vaut cause que dans la trajectoire concomitante et non dans la trajectoire originelle : Chaque trajectoire a ses causes dans son domaine propre alors que la trajectoire concomitante est dans un autre domaine : vous aurez fait un grand pas dans la recherche de la réalité économique.
En résumé il vous est recommandé de ne pas mélanger entre eux les trois domaines de l’économie :
A) l’Économie de production consommation. Souvent appelé économie active
B) l’Économie patrimoniale
C) l’Épargne qui n’est qu’une interface entre l’économie de production et l’économie patrimoniale.
Dans l’économie patrimoniale qui se compose de patrimoine en entier ou en part (dite sociale) mais où se trouvent aussi les dettes et créances qui s’annulent, le tout détenu par un individu ou groupe d’individus (toutes institutions ou société n’étant que fictives) la seule ACTIVITÉ possible est un changement de main entre un individu ou un groupe d’individus vers un individu ou groupe d’individus.
Dans l’économie de production l’essentiel est l’ACTIVITE d’un certain nombre d’individus qui vont produire ce qui va devenir la consommation de toute une nation aprés échange d’exportation contre des importations. Alors : ces consommations nationales sont mises à la disposition de la population pour que chacun des individus qui la compose puisse satisfaire ses besoins en biens et services lesquels biens et services ont pour finalité :
a) circuler lors de la production ou d’échange entre nations.
b) et en toute finalité se partager entre les individus de la nation.
Que se soit en circulant ou en se les partageant : les biens et les services changent de main dans le domaine de l’économie de production, comme les patrimoines changent de main dans l’économie patrimoniale et ceci n’est qu’une similitude qui n’inclus aucunement une relation directe entre ces deux économies et des causes ou effets que l’un des domaines peut avoir sur l’autre.
Ces deux économies ont en commun un changement de main et ce changement de main, dans notre vie que nous avons désiré d’être sociale, ne peut se faire qu’avec un changement de main de monnaie dans le domaine de l’épargne qui n’est alors qu’une interface imaginée, nécessaire et utile à notre vie en société nationale.
Nous voyons là que l’activité dans le domaine patrimonial comme dans le domaine de la production n’est pas consécutive à l’interface épargne mais par la seule volonté des individus.
Pour que la monnaie circule : il faut un changement de main dans le domaine du patrimoine ou dans le domaine de la production : tout changement de main dans le seul domaine de l’Épargne (domaine imaginé) sans changement concomitant dans le domaine patrimonial et de production (domaines réels) est sans effet dans le réel où chaque individu recherche à satisfaire ses besoins lesquels sont produits par les autres. Ceci implique que chacun doit produire pour les autres autant que les autres produisent pour lui et comme nous sommes des sociétés nationales qui vivons en société mondiale avec les autres sociétés nationales : ceci implique une autre règle d’équité: comme c'est le cas pour un individu dans une nation, toutes nations doit produire pour les autres autant que les autres nations produisent pour elle.
En prenant soin de ne pas mélanger ces trois domaines on s’aperçoit que ce n’est pas dans les changements de main dans le domaine patrimonial que se créent les biens et services qui satisfont les besoins d’une population ; c’est uniquement dans le domaine de la production que peut se satisfaire les besoins et jouissances qui demandent sans cesse à être renouvelés.
La masse des productions nationales, pour partie échangée avec des importations, devient la masse des consommations nationales, on comprend alors que ne peut se partager que l’équivalent de ce que produit la nation et ce n’est pas la finance qui décide de qui sera le plus ou moins productif en besoins réellement en attente de la population, ni de qui, dans le partage du gâteau à consommer, sont ceux qui en seront exclus ou s’en exclus et qui profitera au-delà de ce qu’ils produisent pour les autres. Ce sont les règles que décident nos élites ont qui sont causes ce qui demande à les réviser pour avoir plus d’équité dans la production et dans la consommation.
Si nous n’y arrivons pas aujourd’hui c’est que notre éducation nationale nous a formaté à des idéologies qui mettent la monnaie en exergue alors que seule la production et son partage permet de satisfaire nos besoins matériels ou ludique.
Vous n’arriverez pas par le prélèvement et la fiscalisation, ni par plus ou moins de dépenses collectives à résoudre les trois problèmes que notre société a à résoudre :
a) plus de production pour plus se partager
b) quelle est la partie (%) de consommation nationale à réserver aux actifs en rapport de leurs temps d’activité et quelle est la partie (%) de production à réserver aux non actifs suivant les différents temps d’inactivité que nous décidons puis à chacun des ayants-droits dans chacun de ces temps d’inactivité, et comme de bien entendus de façon équitable c’est-à-dire sans corporatisme.
c) quelles sont les parties de consommation nationale les actifs et inactifs décident de soustraire à leurs consommations familiales : avec (%) pour leur consommation mutuelle et (%) pour leurs consommations collectives.
Vous ne vous êtes certainement pas rendu compte que, à partir, du prix des choses, actuellement, ces partages b) et c) existent pour nous donner deux partage de la consommation nationale :
1) 40 % pour nos temps d’activités et 60 % pour nos temps d’inactivité.
2) Puis actifs et inactifs partagent la consommation nationale à raison de 13 % mutuellement, 32 % en consommation collectivement, 22 % en consommation familiale pour activité et 33 % en consommation familiale pour inactivité.
Le sachant :
a) imaginer un peu que les temps d’activités, des actifs physiques, intellectuels ou financier, reçoivent des rétributions, comme aujourd’hui : alors, la valeur des choses est donc la somme des rétributions et les biens et service peuvent circuler dans une nation ou entre nation avec cette valeur des choses (rétributions) en fonction circulation.
b) imaginer que nous somme en France laquelle partage sa consommation à raison de 40 % pour les actifs ce qui donne au prix des choses une valeur de circulation égale aux rétributions des actifs ; alors ces mêmes choses devenus consommation nationale (aprés échange exportation contre importation) ont vocation de se partager entre actifs et inactif à raison de 40 % et 60 %. Résultat : la valeur des choses doit devenir une valeur de partage en ajoutant à la valeur de circulation une TVA (sur la rétribution des actifs) qui devient les attributions faites aux divers ayants droits aux divers temps d’inactivité répertorié : ces attributions permettant la consommation de 60 % de la consommation nationale.
Puis par prélèvement sur attributions et rétributions, de 13 % se règlent les consommations collectives et de 32 % les consommations collectives.
Ceci n'est que la réalité que nous vivons au présent. Une réalité où l'économie n'a pour lexique que celui restreint a : production, consommation, valeur de circulation, valeur de partage, rétribution, attribution, contribution, tous des mots qui expriment des réalités de notre vie sociétale alors que TVA, fiscalité, impôts charges patronale, charges salariales, les trucmuches et les jeanpasses ne sont que pures inventions de l'esprit : des imaginations qu'ont nous OBLIGE à considérer comme vérités alors qu'elles ne sont pas.
Nous vivons dans une société où les individus se doivent de vivre en solidarité ce qui implique des devoirs avant des droits.
1) solidarité par le partage par les actifs de leurs productions envers les inactifs ce qui implique des attributions aux inactifs,
2) solidarité par la mise en commun de consommations mutualisées ou collectivisées ce qui implique des contributions.
3) solidarité des ménages plus captatif de progrès de la société envers les ménages handicapés dans cette captation ce qui implique une contribution d’équité.
Ce regard sur la réalité lève le voile sur la monnaie roi qui sous son voile dirige le monde et ce voile levé permet, enfin, de voir que c’est notre élite qui par la fiscalité, des entreprises, par exemples, est responsable du besoin de se délocaliser, de rechercher l’optimisation fiscale et au passage créer du chômage ; qui en incluant dans le prix de nos exportations une part de valeur qui ne doit être que nationale (utile seulement au partage de nos consommations nationales) font que nos prix manquent de compétitivité et les prix de nos importations sont plus attractifs ; qui en décidant VOLONTAIREMENT un déficit du budget décide du déficit de la balance commerciale ; qui en refusant VOLONTAIREMENT, de rembourser les emprunts passés, créent la dette souveraine, qui en taxant le patrimoine … : trouvez les implications ?
Les crises financières n’existent pas ce ne sont que le comportement de notre élite et quelque fois du peuple qui par la quantité les créent. Cela peut être le sujet d’une autre intervention si certain veulent en savoir plus, mais à conditions d'un minimum de participation à rechercher la réalité et pour vous y aider :
Retenez que l’emprunt n’est pas essentiellement un problème financier de dettes et créances mais en tout premier lieu l’usage que nous faisons de l’emprunt : celui
a) pour l’individu de consommer plus qu’il n’a de rétributions ou d’attribution en main et cela n’est possible que parce que un autre ou des autres diffèrent une consommation ce qui implique que l’emprunteur doit plus tard, par équité, permettre par une privation de consommation de rendre à l’autre l’équivalent de la consommation que cet autre avait différé.
b) pour une nation de consommer plus que ses productions ce qui lui est permis grâce à un différé de consommation d’autres nations, dans l’espoir que plus tard, par équité, la nation sur consommatrice se prive de consommation pour les rendre aux nations qui avaient permis cette surconsommation.
Voilà ce qu’est la réalité de notre vie sociétale dont aucun économiste et de fait l’éducation nationale, vous parle pour cacher la vérité sous le voile de la finance. Ce qui explique aussi leur la réticence à lever ce voile pour ne pas scier la branche sur laquelle ils se sont assis ainsi que tous ceux qui profitent de l’ignorance de la réalité pour dans sa vie active et inactive profiter plus que ce que leurs productions envers les autres ne leur permettent. L’iniquité n'est pas dans la finance mais dans le comportement de ceux qui profitent d'un système. Autant ceux qui dans le partage des rétributions se gavent aux delà de leur mérite, que ceux qui dans le partage des attributions se voient attribuer plus que ses productions pour les autres le permettent en fonction de ses capacités et handicaps.
Ange LERUAS 10 mai 2018
qui explique que DvD à bien compris l'objet de ma démarche mais il ne croit pas à ma présentation de notre vie en société que je précise donc dans ma réponse.
Si nous connaissons sans arrêt des crises c'est à cause des théories délirantes des économistes sur la monnaie.
Nous verrons bien si vos prédictions se réalisent...
Heureusement que l'INSEE est là pour trafiquer les chiffres...
Ce serait bien !
Il est vrai aussi que les blogs qui se disent économie ne nous parlent peu du mécanisme de la monnaie se contentant d’en faire des boucs émissaires.
Il est vrai que ce blog tente de réfléchir sur cette problématique et qui depuis bien des temps me préoccupe. Au point de critiquer ceux qui en parlent sans avoir passé du temps à y réfléchir. Alors, quand on m’accuse de n’avoir pas suffisamment réfléchi sur le sujet : je ne peux que m'insurger et retourner le''compliment''.
Il ne suffit de me répondre comme Didier Dufau
« Oui, nous aimons réfléchir aux systèmes monétaires, les analyser et proposer des réformes.
La monnaie est peut être un voile, mais ce voile est aussi problématique que le voile islamique.
Cela n’empêche pas qu’in fine la production, l’investissement et la consommation soient des grandeurs essentielles de l’économie, avec la dette, le chômage, la productivité, la pollution, l’épuisement des ressources réelles, la pauvreté, etc.
Donc, cher lecteur, nous continuerons à parler de monnaie, de monnaies, de systèmes monétaires régionaux, de systèmes monétaires mondiaux. Autant que nous le jugerons bon. »
Ou comme le blogueur DvD
'' Comprendre les dysfonctionnements des systèmes monétaires actuels est une condition nécessaire à toute tentative de résolution des problèmes économiques du moment.
C’est précisément l’intérêt majeur du blog de Monsieur Dufau que d’expliquer patiemment et sous des angles divers et variés ces questions monétaires si essentielles, si mal comprises et si peu traitées ailleurs.''
Vos réponses ne démontrent pas que ce que je dis n’est pas la réalité de notre vie en société nationale.
Pour démontrer une erreur il faut l’argumenter.
Certes l’économie étant holistiques elle ne peut se traiter par bribe ce qui fait que quand j’expose une idée nouvelle, un vison de la réalité de notre vie en société, qui existe sous le voile de la monnaie et ses dérivés telles que les valeurs qu’elle matérialise, je suis trop long et l’effort à faire trop important pour comprendre que votre savoir de références n’est pas une réalité vrai mais, un savoir appris qu’a force de répétition est devenue une réalité incontournable qui en fait jette un voile sur la réalité vraie.
Pour faire court, j’aimerai avoir votre critique qui démontre que je suis dans l’erreur en exposant ce qui suit.
L’impôt sur les sociétés, le salaire, la charge sociale, la charge patronale, la taxe sur la valeur ajoutée, la contribution sociale généralisé, les quatre taxes qui ont remplacé la taxe professionnelle, la taxe foncière des entreprises, et tout autres prélèvements dont vous dite être payé par l’entreprise ou par le salarié : ne sont telles pas le fruit de l’imagination de nos élites au cours du temps ?
Donc des imaginations qui sont devenus réalités : des réalités qui cachent la vraie réalité de notre vie en société nationale.
Revenir aux vrais réalités est alors possible dans la mesure ou vous comprenez que toutes ces imaginations, issues de nos élites, vous ont formaté, par l’intermédiaire de notre Éducation Nationale à un modèle où le prix de la consommation se composent de tout les éléments imaginés par notre élite.
En fait l’éducation nationale vous formate à la technique de construction du prix des choses alors que la réalité de notre vie sociétale, dans la nation, est qu’à partir du prix des choses, c’est-à-dire des consommations se partager ces dernières :
- Soit entre les temps d’activité des actifs avec leur rétribution (40 % de la consommation nationale) et temps d’inactivité avec des attributions aux inactifs (60 % de la consommation nationale)
- Mais encore les mêmes 100 % de consommation nationale sont partagés par l’ensemble de la population à raison de 13 % en usage mutuel, 32 % en usage collectif et 55 % en usage familial (22 % pour activité et 33 % pour inactivité)
Là aussi le prix des consommations en fonction de l’usage est la somme des composantes comprenant
a) les rétributions des actifs qui subissent des prélèvements pour des contributions à des consommations mutuelles ou collectives.
b) les attributions faites aux inactifs qui subissent des prélèvements pour des contributions à des consommations mutuelles ou collectives.
À partir du prix de nos consommations nous pouvons avoir deux visions différentes.
Une vision issue de notre imaginaire : la technique de construction des choses, qui n’est pas rationnelle, puisque changeante suivant le type de consommation.
Une vision issue de nos observations où on considère l’usage du prix des choses qui se transforme, en rétributions attributions et contributions, avec pour finalité de se partager nos consommations nationales qui, comme chacun sait, se compose de notre production nationale moins nos exportations plus nos importations.
Sauf à démontrer que toutes nos imaginations : l’impôt sur les sociétés, le salaire, la charge sociale, la charge patronale, la taxe sur la valeur ajoutée, la contribution sociale généralisé, les quatre taxes qui ont remplacé la taxe professionnelle, la taxe foncière des entreprises, et tout autres prélèvements dont vous dite être payé par l’entreprise ou par le salarié et qui compose le prix des choses ne se transforme pas en rétributions des actifs, attributions des inactifs et en contributions mutuelles ou collectives. Avec pour finalité se partager notre consommation nationale :
Soit entre les temps d’activité des actifs avec leur rétribution (40 % de la consommation nationale) et temps d’inactivité avec des attributions (60 % de la consommation nationale)
Mais encore les mêmes 100 % de consommation nationale sont partagés par l’ensemble de la population à raison de 13 % en usage mutuel, 32 % en usage collectif et 55 % en usage familial (22 % pour activité et 33 % pour inactivité) ; vous avez le choix entre
a) rester sous le voile de la technique de construction, IMAGINE et APPRISE, du prix des choses.
b) ou regarder la réalité de notre vie sociétale, OBSERVÉE, l’usage du prix des choses qui correspond à une réalité de notre vie sociétale le partage de nos consommations nationales.
Je vous soumets une idée qui n’est pas enseigné par nos économistes et notre Éducation nationale : à défaut d'une idée plus réaliste que la mienne, votre opinion m'intéresse :
Préférez-vous l’imaginaire ou la réalité ?
C’est votre réponse qui va déterminer l’avenir que nous laissons à nos enfants, pour l’instant, par ignorance de la réalité, nous ne pouvons pas être fier de ce que nous leur laissons.
Ange LERUAS 11 mai 2018
A ma connaissance l'épargne est la différence entre la production et la consommation. Elle fait donc partie de l'économie réelle, comme masse de biens non détruits, accumulés dans des stocks ou dans la formation de capital fixe. Séparer l'épargne de l'économie réelle paraît donc un poil spécieux. Ce n'est pas une interface. Mais une "réalité" et un sous ensemble de la production. Assoir des raisonnements sur des concepts inexacts peut conduire à des résultats disons aventurés. Cela dit en toute gentillesse.
Souvent la définition des choses est conventionnelle et demande à chacun de s'entendre sur la chose pour en discuter positivement.
Pour moi l'épargne n'est pas la différence entre la production et la consommation cette différence est communément appelée le stock et dans le sens où vous l'entendez : l'offre de consommation.
L'épargne n'est ni bien, ni service, mais de la monnaie en disponibilité afin de pouvoir acquérir l'offre de consommation dans l'économie de production (active si vous voulez) ou un patrimoine dans l'économie patrimoniale et en ce sens c'est bien une interface entre ces deux composantes de l'économie puisque ce n'est que parallèlement à la circulation de la monnaie que circule biens et services dans l'économie de production et les patrimoines changent de main dans l'économie patrimoniale. Dans l'épargne la monnaie n'en sort pas elle change de main et en changeant de main elle perd sa valeur dans l'une et en prend dans l'autre : la monnaie scripturale ou papier n'étant que matérialisation des valeurs impalpables.
Ignorer des réalités n'est pas préjudiciable dans la mesure ou l'effort de comprendre permet de les abolir. Ce qui préjudiciable est de rester avec des préjugés, j'en ai peut-être, certainement, et on ne peut compter que sur les autres pour les remplacer par des réalités, j'espère que vous serez un de ceux-là.
Ange LERUAS 11 mai 2018l
Les définitions sont les définitions. On ne peut pas s'en abstraire pour les besoins de la conversation.
L'épargne est la différence entre la production et la consommation. La production non détruite ne va pas que dans les stocks mais aussi dans la formation brute de capital fixe, c'est à dire dans les usines et les machines, ainsi que dans l'immobilier.
J’ai clairement démontré que ce que vous dites n’est pas la réalité.
Vous affirmez que la monnaie est un voile neutre qui recouvre les transactions réelles.
C’est une condition de validité de votre affirmation que, pour être neutre par rapport aux transactions réelles, le volume de monnaie et sa vitesse de circulation doivent être tous deux constants relativement au volume de la production réelle.
J’ai montré que cette condition n’était pas remplie dans la réalité car le système de crédit a la possibilité réglementaire de faire varier le taux de couverture des dépôts en monnaie de base, c’est à dire que le système bancaire a la possibilité de créer / détruire de la monnaie par accroissement / raréfaction du crédit provenant de la variation de son ratio de liquidité. Possibilité qu’il utilise dans la pratique. Telle est la réalité. Si vous ne me croyez pas, appeler la Banque de France qui vous le confirmera.
Ce que vous dites n’est donc pas conforme à la réalité. CQFD
L’élasticité du système de crédit à réserve fractionnaire génère des cycles d’expansion du crédit qui font un temps croire à des miracles économiques, suivies de vagues de contraction du crédit qui plonge l’économie en récession. La monnaie n’est pas neutre, elle a sa dynamique propre qui interfère avec la dynamique réelle en amplifiant les variations conjoncturelles.
Un patrimoine n'est pas épargne mais un bien acquis avec des valeurs qui sont utilisée pour acquérir ce patrimoine: un biens de consommations ou de jouissance qui dure dans le temps que ce bien soit mobilier immobilier en entier ou partie, le patrimoine peut être une créance ( prêt de valeur à un particulier ou à un organisme). dans tout les cas le patrimoine n'aura de valeur qu'au moment de sa cession
Tant qu'un bien est patrimoine il n'est plus valeur disponible pour une acquisition, contrairement à l'épargne qui reste disponible. ( voir les différentes définitions de l'épargne et du patrimoine.)
Démontrer moi le contraire!
référence de la convention de définition liant l'épargne à une production
Quelles sont vos sources :
Ange le RUAS
Il y a de nombreux manuels et livres de comptabilité nationale. Cette identité : Production égale consommation + épargne y est largement expliquée.
La macroéconomie a bien des défauts. Mais sur ce point précis elle est inattaquable.
En physique vous pourriez affirmer que l'eau n'est que l'image virtuelle de la pierre, et qu'en vérité elle ne coule pas, elle donne l'illusion de couler, et qu'on éteindrait mieux les incendies en mettant directement des pierres sur le feu, vous ne convaincriez ni les physiciens ni les pompiers.
Bien amicalement.
L’épargne, en tant que flux sur une période donnée (par ex. une année), est :
Pour les ménages, le revenu non consommé, soit revenu - consommation
Pour les entreprises, le profit non distribué, soit profit - dividende
Pour le secteur public, le solde budgétaire, soit recette - dépense fiscale
L’épargne nationale est la somme de l’épargne des ménages, des entreprises et du secteur public.
Au niveau national agrégé, l’épargne (en tant que flux) est donc en effet la partie non consommé du revenu, c’est à dire production - consommation. Siem a raison.
Ce flux d’épargne ainsi défini s’investit chaque période. Typiquement, les entreprises investissent directement dans des biens de production, l’épargne négative de l’Etat vient gonfler la dette publique et les ménages investissent typiquement dans des biens immobiliers résidentiels ou dans des titres d’entreprises (c’est à dire indirectement dans des biens de production) ou dans des titres de dette publique.
Le stock d’épargne accumulée au cours du temps constitue la base d’actifs ou la base de capital ou encore le patrimoine.