La bulle de sottise écologiste commence-t-elle enfin à percer ?
L’histoire de l’hystérie générée par Greenpeace et d’autres associations du même tabac, encadrées par quelques milliardaires en mal d’un rôle en rapport avec leur fortune délirante, sera un jour contée dans les écoles pour montrer aux enfants comment le monde peut devenir fou non pas pour de mauvais sentiments mais pour de bons. Cette vaccination sera aussi utile et peut-être plus que celle contre le Covid ou n’importe laquelle de ses variantes.
Comme toujours c’est un drame qui permet soudain aux yeux de se dessiller et au voile rose sur les consciences de se déchirer. Comme toujours l’opération est délicate. La femme envoûtée un temps par le gourou et qui se retrouve un soir, violée et ruinée au bord du chemin, sait ce qu’est un grand moment de solitude. Pour les peuples ce n’est guère plus réjouissant. La guerre classique d’envahissement imposé par un tyranneau nourri à l’impérialisme soviétique et au nationalisme slave, provoque la prise de conscience d’une évidence : sans énergie pas de prospérité ! Et en fait, rien que d’incommensurables ennuis !
Emmanuel Macron, dans la lignée du PS, associé aux Verts pour des raisons électoralistes est entièrement responsable de la destruction du potentiel énergétique de la France. Le gouvernement allemand, pour les mêmes raisons d’association électoraliste avec les Grünen, a décidé de supprimer l’électricité nucléaire et de faire le pari de l’éolienne associé au gaz russe. On voit aujourd’hui la pertinence de ce choix.
Tous les gouvernements européens occidentaux, pour masquer leur aveuglement et leurs inconséquences, ont décidé de jouer la carte écologique pour se dédouaner des conséquences d’une crise énergétique sévère qui provoque inflation démesurée et pénuries. « C’est au nom de la survie de la terre qu’il va falloir vous priver ! Et attendez : ce n’est qu’un début, parce qu’il va falloir que vous soyez extrêmement frugaux pour échapper à pire et pendant longtemps ».
Le calcul politicien rejoint l’hystérie mensongère venue de l’ONU, amplifiée par des organes internationaux irresponsables comme la Commission Européenne de la va-t-en-guerre Van der Leyen qui se croit présidente d’une union européenne qui ne cherche qu’à multiplier ses pouvoirs. Pendant longtemps, ce délire de faux bons sentiments n’a fait que ricaner. Communier dans une fausse religion, quand cela ne vous coûte rien, n’a qu’une importance secondaire. Le rôle des grandes fortunes du net a été et reste délirant. Ces milliardaires, qui ne savent même plus quoi faire de leurs dizaines de milliards de dollars, veulent prouver qu’ils ne sont pas totalement illégitimes. Alors ils matraquent la bonne parole.
Quand on constate que Microsoft, producteur de jeux addictifs, inflige aux centaines de millions de personnes qui jouent au Solitaire 20 second de morale bidon mais agressive dispensée par des membres de minorités LGBT + sans qu’il soit possible de passer outre, c’est pire que le Muezzin hurlant du haut de son minaret.
Pas une banque qui ne prêche la vertu verte de son activité. Pas un vendeur de voitures qui ne mette en scène une jolie blonde séduite par un noir au volant d’un engin polluant mais vertueux. La vertu, dans sa version occidentale du moment, est désormais servie par des milliards déversés partout. Et pas question qu’une parole contraire s’exprime sur les médias « main stream » !
Le seul problème : les opinions ne suivent plus autant et commencent à se cabrer, malgré le matraquage général.
Supprimer les baignoires, pisser sous la douche, supprimer la lumière dans les lieux publics, geler dans un appartement mal chauffé, est une chose : perdre son emploi, sa voiture, son logement, ses moyens d’existence, ses possibilités de consommer, de voyager, de produire, en est une autre. Vivre sous la férule d’une propagande qui s’insinue dans tous les replis de votre vie personnelle et de vos choix les plus élémentaires et sous la menace de sanctions de plus en plus injustifiables et perverses, l’affaire est saumâtre et inacceptable, même dans un pays de « veaux », comme la France à certains moments de son histoire.
Alors la bulle menace d’éclater. Simplement parce que personne n’a envie d’être ruiné pour rien !
Il y a un an, lorsque d’une conférence sur l’état du pays, j’ai pu constater que le seul fait de présenter quelques calculs éclairant la difficulté écologique, des multiplications du niveau de l’examen de sixième, engendrait des réactions totalement extravagantes de rejet, de dégoût, de mépris, comme si vous aviez émis les pires insanités. Pour être clair rappelons les deux calculs (légèrement modifiés pour tenir compte des dernières informations connues) qui avaient provoqué cette fureur assez générale et totalement outrancière :
- 41 millions de véhicules circulent en France. Le prix moyen d’une voiture électrique pour une puissance comparable au parc actuel est de 50 000 euros. Le remplacement du parc coûte donc plus 2 000 milliards. Ce qui est impossible à financer.
- La quantité d’essence consommée en France par l’automobile actuellement chaque année est de 60 millions de m3. Sachant qu’un litre d’essence permet d’obtenir de 11 à 12 kWh, il est assez facile de calculer la quantité d’énergie à produire pour basculer vers le tout électrique. C’est plus que ce que nous produisons actuellement d’électricité. Or on sait qu’il est impossible de doubler la production électrique et de la distribuer au point de charge sans investissements colossaux, déclarés comme impossibles par RTE qui annonce que la production électrique en 2035 sera à peine supérieure à celle d’aujourd’hui.
Depuis, le chiffrage de l’effet sur les températures de la suppression des voitures à moteur thermique a été révélé par Christian Gérondeau et jamais contesté. Baisser d’un dix millième du stock actuel les rejets de CO2 n’aura strictement aucun effet sur la température moyenne du globe. Aucun !
Le bon Français, ahuri, voit aujourd’hui se préparer des dépenses colossales qui, si on les chiffrait correctement, dépasseraient certainement pour la France les quatre mille milliards d’Euros, des chiffres qui rendent l’affaire impossible, pour des gains en température nuls.
En même temps les mesures coercitives commencent à tomber, comme l’obligation de diagnostics thermiques incertains dans leur calcul mais odieux dans leurs conséquences, comme l’interdiction d’appliquer le contrat signé avec un locataire immobilier éventuel. Des voitures sont désormais interdites d’accès dans certaines villes et cela va se généraliser. On doit changer de chaudière, de voiture, de mode de vie, et tout cela pour… rien ou pour compenser les décisions destructrices prises par quelques dirigeants félons aux intérêts de la nation.
Face à ces réalités, l’attention aux discours moralisateurs se dilue et la colère monte. La bulle de soumission aux âneries écologistes s’effrite et va se déchirer au fur à mesure que les « passes-co2 » et la coercition vont monter avec les coûts, les dépenses forcées, et les pénuries.
Les injonctions contradictoires c’est bien, mais attention au retour de bâton. La bonne volonté des gens a ses limites.
Dire qu’il ne faut aller vers un emploi quasi exclusif de l’électricité et ne plus avoir d’électricité ou à des prix extravagants, cela pose tout de même question. Faudra-t-il arrêter en 2023 les voitures électriques, bloquer les vélos électriques, suspendre le service des bus électriques, ralentir les TGV à 120 km/h, demander aux malheureux qui ont été séduits par le chauffage électrique de ne pas se chauffer entre 18 et 22 heures ?
On a démontré ces derniers jours que les microparticules donnent le cancer. Mais où sont les microparticules en densité dangereuse : dans le métro et les transports en commun, sacralisés et désormais dysfonctionnels la plupart du temps, à peu près partout. Que ceux qui en doute se penche sur la desserte du plateau de Saclay !
On demande d’arrêter toute construction dans les zones dites naturelles par la loi dite de « zéro artificialisation nette », mais on fait venir par millions des immigrés qui ne peuvent que s’entasser dans ou sur le bâti existant. Sauf si on les envoie à la campagne ce qu’a demandé le génie de la mesure extravagante, Emmanuel Macron. On se souvient que l’Abbé Grouas, dit Pierre, avait exigé que l’on construise sur un terrain lui appartenant sa future cité radieuse. Le terrain était insalubre et en pente. Il n’y avait pas de transports publics. Personne n’a voulu venir, ce qui n'a pas été trop ébruité, compte tenu de l’émotion extraordinaire qu’il avait su provoquer. Les gens s’implantent là où le bassin d’emploi est actif, c’est-à-dire actuellement dans les grandes villes qui cumulent les emplois nouveaux. Le travail en « distantiel », c’est bien mais restera réservé aux employés riches. Comme dans le même temps, on force les classes moyennes à s’exiler du centre des grandes villes, bloquées par la politique absurde des Verts et de leurs alliés, la densification à mort des périphéries sera la vraie norme des temps nouveaux où construire à la campagne une route, une voie de chemin de fer, un lotissement, un centre commercial, un centre de loisirs, sera strictement interdit
Nous sommes le pays le plus fiscalisé, et il n’y a pas un jour sans qu’un abruti réclame encore plus d’impôts sur les autres que lui naturellement.
Et tous les jours on condamne une possession, un achat, une consommation, un service, une activité ludique, comme productrice de CO2 en traitant les impétrants de tueurs de la terre.
Naturellement un pays qui n’a pratiquement plus de services publics depuis près de trente ans, avec un effondrement de la justice, de l’enseignement public, de la santé, de l’armée et de la police, trouvera toutes les ressources voulues pour payer les milliers de milliards nécessaires pour la prétendue transition énergétique, en fait une régression énergétique et économique définitive !
Les discours publics deviennent totalement oniriques et mêmes cinglés. Le « bullshit » règne partout à des niveaux d’intensité extrêmes. « Nous allons accélérer », tel est le slogan du gouvernement français totalement enlisé dans sa démagogie et les pénuries qu’il a lui-même créées ! Pour prouver qu’il n’est pas seulement le destructeur de Fessenheim, Emmanuel Macron va inaugurer une monstrueuse installation d’éoliennes(toutes importées de l’étranger) qui saccagent sur des kilomètres carrés le plateau continental, artificialisé, comme ils disent, c’est-à-dire nuisant aussi bien à la vie naturelle qu’aux activités humaines. Personne n’a rappelé ce que ce monstre a coûté aux contribuables français, quel déficit de la balance des paiements français cela suppose, quelle contribution minime à la réduction de production de CO2 cela représente, sachant que l’énergie produite se substitue à une énergie nucléaire qui ne produit pas de Co2. Et on veut multiplier ces monstres marins tout en accélérant la construction d’éoliennes terrestres. Tout cela pour permettre au triste sire qui préside aux destinées du pays d’avoir un discours vis-à-vis de l’Allemagne nécessaire à ses ambitions futures.
Les banques centrales sont paralysées par des injonctions également contradictoires. Comment lutter contre l’inflation, l’objet de l’institution, et lâcher des milliers de milliards en monnaie banque centrale sans contrepartie de production pour financer les déficits publics abyssaux, en partie générés par les questions énergétiques et la fumeuse « transition « ?
L’Union Européenne s’approprie des domaines entiers d’activité qui ne sont pas dans les traités et prétend régenter les bonnes pensées et les bonnes pratiques dans tous les États même sur des sujets où elle n’a aucune autorité pour se faire. L’Édition se révolte car la Commission a décidé de régenter le fonctionnement même de leurs entreprises, répartissant le pouvoir au gré de leur humeur en faisant fi de tous les arrangements nationaux difficilement mis en place. Emmanuel Macron qui base sa stratégie personnelle sur un projet européiste de présidence européenne élue au suffrage universel, pour se reclasser après son dernier quinquennat « local », laisse faire ou favorise.
Les Français qui ne constatent pas qu’on marche sur la tête sont une espèce en voie de disparition. La bulle de sottise écolo est en train de percer. Jusqu’ici, des trous d’épingles laissaient fuir un minimum du stock d’imbécillité. Maintenant les canifs sont entrés en action. Les sabres sont sortis des fourreaux. Les canons viendront.
Le processus est enclenché en France. Les Français sont sans doute des veaux, mais les politiques devraient commencer à se méfier du brutal coup de pied en vache programmé, beaucoup plus cuisant qu’une simple giflette spontanée.
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
Les gouvernants négligents affirment que c'est "aux gens" de faire ce qu'il faut par leur sobriété, alors que toutes consommations et toutes productions sont considérées comme méphitiques. N'importe quoi, anarchie et imprécations deviennent le fond de l'air et injustices et arnaques s'accumulent.
La violence des lois et des contraintes sont désormais perceptibles. Entre les dévots affolés et les faux prêtres excités à l’œil mauvais, quelques personnes raisonnables et raisonnantes essaient de faire valoir leurs constats. Comme les curés de tradition qui s'acharnaient sur les fortes têtes qui se pensaient plus forts que Dieu et le Pape, au lieu de plier le genou devant le message officiel, les gardes-verts du moment s'emploient à stigmatiser tout effort pour un peu de réflexion et de sagesse.
On peut craindre que la bulle de sottise ne se dégonfle pas vraiment. Le risque est qu'elle se calcifie et devienne dure comme du béton et fasse, en tombant de plus en plus bas, bien des dégâts évitables.
"La finance verte est pour Julien Lefournier, vétéran des salles de marché et consultant, une illusion dangereuse: elle entretient la chronique de l’échec de la lutte contre le réchauffement climatique".
Cela témoigne tout de même d'un changement d'attitude. Jusqu'ici les grands titres s'abstenaient d'ouvrir leur colonne à ces analyses. Le mur s'effrite. C'est un mur de la honte.
Comme me l'écrit un correspondant : "La mer de conneries en se retirant montre un chaos de sornettes terrifiantes auquel la presse commence à avoir un peu honte d'avoir contribué".
L'évolution de a notion de "transition" témoigne du changement radical des attitudes et du passage d'une préoccupation rationnelle à une emprise idéologique tournant à la démence. Au début des années 70, la préoccupation est le risque de pénurie. Nous détruisons, dans le cadre de la production et de la consommation, des ressources non renouvelables, en particulier du pétrole. Nous risquons à terme des pénuries incompatibles avec la poursuite de la prospérité. De même nous transformons des matières en déchets dans le processus, c'est à dire des objets nuisibles, et pas seulement inutiles. Nous devons donc introduire dans nos raisonnements et nos politiques économiques une notion de transition vers des productions moins polluantes et substitutives aux ressources rares pour maintenir la croissance. C'est la notion que nous utilisons dans notre livre : "réconcilier économie et écologie". Elle conduisait automatiquement vers la recherche d'énergie dans le domaine nucléaire, l'amplification des recherches sur les maladies liées à l'environnement (la question du plomb dans les canalisations anciennes étaient posées, de l'éloignement des usines du cœur des villes, de la médecine du travail, des accidents du travail etc. Ce qu'on attendait des ingénieurs : des résultats grâce à de nouveaux processus. Ce qu'on attendait des politiques : des mesures pour maîtriser la pollution ou ses effets.
La raison était au cœur des réflexions et des actions. Donc la science
fondamentale comme la science appliquée. Ce processus était excellent. Il a été dévoyé par des associations mondialisées qui se sont emparées du pouvoir dans les coulisses de l'ONU et des grandes organisation internationales. On est passé d'une humanité à la recherche de solutions, à des escouades de bien pensants considérant l'homme et la science comme des ennemis de la nature, puis au Savonarole de l'intersectionnalité qui fait de l'homme blanc occidental et du patriarcat fantasmé des coupables, du capitalisme une horreur, de l'objectif de consommation (des autres) un crime contre la terre, divinisée, de l'émotion le moteur de la pensée etc.
Il n'y a plus de raison. Seulement des haines regroupées contre des boucs émissaires. La science est prise en otage.
Symbolique est le changement de l'angoisse météorologique : on est passé de la peur de la glaciation, dominante en 1973 à la peur du réchauffement cataclysmique.
Anecdotiquement, ceux qui ont revu Quai des Orfèvres, un film culte des années 40, auront pu voir que le froid s'insinue partout dans le film.
L'hystérie d'une passionaria de la haine polyvalente n'est en rien scientifique. C'est une honte et un comportement contre lequel on doit lutter. Nul besoin d'un nouveau Klux Klux Klan ! Mais il faut savoir que cette ignoble bonne femme n'est qu'une queue de comète. Le noyau dur de cette horreur intellectuel et morale est à l'ONU et à la Commission européenne. Les dérives de Mme Van der Leyen sont plus graves que les délires de Mme Rousseau et ces forces là sont embossées dans des instances internationales complètement phagocytées où il seera difficile de les déloger.
Remarquons que M. Macron n'essaie même pas et accepte tout.
https://www.contrepoints.org/2022/10/05/422640-5-d...
Qu'il faille définir une politique de développement qui tienne compte à la fois des risques de pollution et des risques de pénuries, nous l'avons non seulement imaginés mais nous avons écrit un livre entier consacré à la question il y a un an :
Réconcilier Économie et Écologie. Disponible sur notre site : Librairie-e-toile.fr
Bien sûr ce livre ne tient pas compte de la guerre en Ukraine mais prend position sur tous les débats qui éclatent aujourd'hui.
Le débat sur les solutions est engagés, mais il est rendu inaudible par la fameuse bulle de sottise qu'il s'agit de faire éclater. On ne peut pas à la fois affirmer que tout doit devenir électrique et ne pas fabriquer la quantité nécessaire d'électricité ! Là on est dans la sottise. Et pire encore dans la religiosité déplacée : le dire n'est pas un blasphème ! J'ai vu des auditeurs quitter la salle offusquée à la seule évocation de cette nécessité et à la présentation de calculs élémentaires prouvant que nous ne pourrons jamais tenir les délais que nous la Commission européenne nous imposent. Aujourd'hui on dit aux possesseurs de voitures électriques de ne plus charger leur voiture aux heures de pointes ! Ils ont découverts qu'ils ne pouvaient pas partir en vacances avec ces engins si leur lieu de villégiature était à plus de 600 km. Quand il y a mille km de bouchon pour revenir de vacances, aucun espoir de trouver un lieu de recharge libre. Quand on multiplie les pompes à chaleur mais sans isoler la maison, c'est un gaspillage inouï.
Il faut donc faire revenir la raison pour juguler les conséquences de la production et de la consommation. Et pour cela faire crever la bulle de sottise qui interdit d'utiliser son cerveau et que l'imposture des Verts soient totalement connue de tous.
Aujourd'hui toutes les lois qui ont été prises dans la foulée du Grenelle de l'environnement par des hallucinés, avec la multiplication des "passe - énergie", notamment la loi folle concernant le ZAN, ce concept fou de zéro artificialisation nette, sauf pour les éoliennes et les lois Wargon sur les loyers asservis à des DPE et des oukases sur les moyens de chauffage.
Se donner des objectifs de moyens échéances sans aucune étude d'impact est à la fois une folie et illégale en France. Toute loi doit avoir fait l'objet d'une étude d'impact. Sauf les ordonnances européennes ! Les instances européennes avec l'aval de Macron qui seul pouvait arrêter le processus ou l'infléchir.
Donc : oui il faut faire éclater la bulle de sottise pour retrouver la raison. Et travailler solidement sur les questions de croissance durable, avec leur dimension démographique, de maîtrise des effluents et d'évitement des pénuries définitives. Le temps des imprécateurs et des foldingues doit finir.
L'énarchie compassionnelle, option homosexuelle, ajoutée à la culture de la grève dans les grands réseaux (EDF, SNCF-RATP, Contrpoleurs aériens, raffinage.
Quand on sait que Macron a fermé Fessenheim pour complaire aux Allemands, il y a de quoi sortir la boîte à gifles.