Le désastre Hidalgo. Le livre "Notre Drame de Paris" est en dessous de la vérité
L'abaissement irrémédiable de l'ancienne "Ville Lumière"Le livre d’Airy Routier et Nadia LeBrun, Notre-Drame de Paris, chez Albin-Michel, met, enfin, le doigt sur la déroute invraisemblable de la gestion municipale à Paris. Paris est la capitale d’un pays qui n’a tout de même eu un certain rayonnement. En arriver là où nous sommes tombés est proprement honteux et scandaleux.
Dans notre article du 12 février 2014 : « Un déclin programmé ? Paris : la mort lente », nous avions souligné l’absence totale de discussion sur l’avenir de Paris lors de la campagne des élections municipales. On savait que la politique dérisoire suivie par Delanoë serait amplifiée par celle que la faveur de M. Hollande, alors Président, mettait sans autre raison qu’une passion personnelle, sur le pavois. Il ne fallait pas le dire et surenchérir.
Du coup nous avons pris soin d’écrire à NKM pour la supplier de ne pas jouer à la « bobo de service de droite » et de ne pas foncer « cliché contre cliché ». L’UMP avait considéré qu’il fallait une femme pour combattre une femme et une femme écolo et socialo compatible. C’était déjà se couler dans le lit de l’adversaire. Une première erreur était d’avoir imité le PS en organisant des primaires. Elles avaient permis au jeune Pierre Yves Bournazel de tirer (déjà) contre son camp et de démolir la candidate de son parti ! Il le trahira à nouveau, pour Macron, peu après. C’est dur une carrière politique quand on n’est rien ! La campagne de NKM, malheureusement, sera nulle. Elle n’avait rien préparé. Le « cœur » décliné sous toutes ses formes, encore une concession au règne de la com’, n’était pas ce qu’attendaient les Parisiens. La « super bobo de droite » parut sucrée et ridicule. Le tout se terminera par un grotesque crêpage de chignons lors du « débat » avec Hidalgo, une spécialiste. Et un peu plus tard, par la violence d’un maire de banlieue contre NKM. Il lui balancera ses tracts à la figure et l’enverra un temps à l’hôpital. Il ne se remettait pas de l’arrivée d’Hidalgo au pouvoir... L’incident était révélateur : la haine était là, suscitée par la politique infâme et clivante de la Mairie de Paris !
La haine, nous l’avons retrouvée dans un bistrot du XIVe arrondissement il y a quelques jours, lorsque l’effarante décision prise en secret et exécutée durant l’été, de remplacer sur plusieurs kilomètres une voie sur berge d’entrée dans Paris par une double piste cycliste, provoquant des embouteillages inouïs, a été découverte par les Parisiens. « Comment veux-tu que la capitale française soit bien gérée par une immigrée espagnole inspectrice du travail, un immigré juif d'Europe centrale, un écolo psychopathe d’origine polonaise qui a un vélo dans le citron, un homosexuel communiste et un fils à papa de gauche dont le seul mérite est d’avoir mené une révolte étudiante » disait l’un. « Les socialistes viennent de prendre une br… aux élections législatives, ils ne représentent pas 6 % de l’électorat et ils continuent comme si de rien n’était à em… les Parisiens ». « Hidalgo se fait construire un palais personnel Boulevard Raspail ; sûr qu’elle ne mettra pas d’immigrés sur son palier ». « Ni de clochards alcooliques devant la porte de l’immeuble ». « Triste temps ». « Cela me rappelle l’occupation ».
Arrêtons là ! Ce genre de propos, on l’entend partout. Il fait le jeu d’Hidalgo et de sa secte qui sont trop heureux de dénoncer les racistes, les antisémites, les fachos, les bourges égoïstes, les Dupont- la-joie indécrottables, les pétainistes de seconde génération, etc. ad libitum. Cela ne fait pas avancer les débats. Mais cela signale la haine installée et chauffée à blanc par l’action municipale. Hidalgo n'est pas seulement clivante ; elle provoque et ses provocations alimentent la haine des Parisiens. Partout ailleurs, l’action municipale cherche à unir la population et en général l’intérêt municipal est relativement facile à rechercher et tout finit dans une certaine unanimité. Les grandes villes françaises essaient de forger du consensus et l’obtiennent généralement. Il fallait que l’équipe parisienne se démarque par le sectarisme.
Le livre de Routier met les pieds dans le plat. Et tout ce qui est dit est vrai et peut être vérifié sauf quelques détails sans importance comme le statut marital de l'adjoint communiste (une faute absolument énorme selon Libé !).
Oui, Hidalgo et ses sbires sont totalement indifférents à la transformation de Paris en porcherie. La saleté est partout. Les rats prolifèrent ainsi que les souris et la gale a bien fait son retour, avec également des maladies qu’on croyait disparues. De retour de Tokyo, l’auteur de ces lignes a eu un véritable « choc de saleté » en revenant à Montparnasse. La seule réponse d’Hidalgo : « les Parisiens sont des porcs qu’on va sanctionner ». Suivra une campagne d’affichage. Pour ne pas toucher aux employés qui font mal le travail de nettoyage.
Oui Hidalgo, suivant l’exemple de Delanoë, a bien multiplié les postes offerts au copinage et à la connivence. Tokyo : 12 millions d’habitants et 12 000 fonctionnaires municipaux. Paris : 2 millions d’habitants et 75 000 personnes rémunérées par la municipalité directement ou via des associations « amies ». Trente fois plus ! Une enquête américaine montre qu’en général une ville de 2 millions d’habitants finance 20 000 postes d’agents municipaux au maximum. Le quart de Paris !
Oui Hidalgo bloque Paris en traitant l’automobiliste en ennemi et l’automobile en diablerie qu’il faut supprimer. On ferme des voies. On rend impraticable ce qui reste accordé à la voiture. Le résultat : le développement anarchique des deux roues motorisés dangereux et polluant. Des livreurs et des automobilistes énervés qui ne respectent plus rien. Et une vie devenue intenable pour les Parisiens interdits de mobilité ou bloqués dans les embouteillages. Et la réaction des banlieusards qui ne peuvent plus se rendre facilement à leur bureau.
Oui Hidalgo utilise bien l'officine Airparif, bourrée de partisans Verts jusqu’à la gueule, comme un instrument non pas de vérité mais de propagande.
Oui Hidalgo est bien « en cheville » avec Unibail et quelques grandes fortunes qui ont besoin de la Ville de Paris et qui offrent à la fille d’immigrés l’impression de faire partie du grand monde.
Oui Hidalgo est prête à toutes les provocations pour paraître en faveur de toutes les actions politiquement correctes, ou considérées comme telles par la gauche germanopratine et gauchiste. Les immigrés, les Roms, les drogués, les clochards, les routards, les groupements homosexuels, les jeunes délinquants, les trotskistes, et l’extrême gauche culturelle, en même temps que les activistes internationaux contestataires ont tous les droits à Paris. On chasse les classes moyennes au profit de tout ce petit monde sans la moindre vergogne.
Oui Hidalgo a bien mis Paris sur la trajectoire d’un endettement phénoménal et impossible à rembourser, tout en poussant la fiscalité à des sommets imbéciles et intenables.
Oui Hidalgo est bien une favorite, placée là par la faveur du prince, et qui a atteint et dépassé depuis longtemps son niveau de compétence. Elle pourrait être, avec plusieurs des maires d’arrondissement, souvent de tout petit niveau, genre prof de gym, l’occasion d’écrire un chapitre entier sur le Principe de Peter.
Oui Hidalgo a bien cumulé les rémunérations publiques sans apparemment avoir fourni, dans le cas de l’inspection du travail, une activité connue. Pénélope Fillon est une enfant de chœur.
Oui Hidalgo ne raisonne qu’en termes de pouvoir, d’image et de communication, entourée d’une secte injurieuse et cupide.
Oui Hidalgo est bien incapable du moindre débat, de la moindre considération pour les Parisiens et de la moindre convivialité. Elle est devenue une virago inaccessible, méprisante, violente, clivante, haineuse et injurieuse. Sauf quand elle singe la grande dame auprès de MM Arnaud, Pinaud et Cie et quand elle minaude devant une presse complice (car soignée au petits oignons).
Oui Hidalgo est une catastrophe navrante qui détruit Paris et déclasse la Ville Lumière en vile poubelle dispendieuse et en sous banlieue, lui faisant perdre toute son attractivité.
C’est en résumé, ce qu’invite à penser le livre d’Airy Routier. Mais ce livre est en dessous de la vérité.
Nous allons ci-dessous lui ajouter un chapitre, tiré de l’actualité la plus récente et qui démontre bien les rouages, ruses et méthodes douteuses de la Mairie sous Hidalgo.
On dénonce les liens entre Hidalgo et Unibail, en s’appuyant sur l’affaire de la tour Triangle et les errements du Forum et de sa jaunasse canopée. On ne sait pas que Mme Hidalgo et Unibail se sont mis d’accord pour entreprendre un chantier colossal sur l’îlot Vandamme, à Montparnasse. Unibail possède un centre commercial qui a toujours vivoté et les murs d’un hôtel de 1 000 chambres qui n’est plus aux normes internationales depuis quelque temps. Le Centre de Conférence, créé en remplacement d’une patinoire et d’un bowling, est en sous-sol et peu attrayant. Unibail a donc légitimement pensé à rénover l’ensemble. Mais comment le faire sans se ruiner ? En obtenant la propriété de milliers de m2 nouveaux à construire, en bourrant le site. La plus-value immobilière compensera et au-delà les frais de la rénovation. À 12 000 euros le m2 du neuf, la multiplication par plusieurs milliers fait monter la plus-value globale à des montants coquets. Merci Mme Hidalgo qui a évidemment demandé en contrepartie la création de logements sociaux, ce qui lui permettra d’affirmer qu’elle tient ses objectifs tout en sachant que l’attribution des meilleurs de ces logements passera par des arcanes à peu près obscurs et qu’ils ne seront par perdus pour tout le monde.
Unibail en profite pour mettre en place un centre commercial sur deux niveaux avec 220 boutiques ! Soit ! Chacun sait que les grands centres commerciaux sont en totale perte de vitesse. Aux États-Unis, ils ferment les uns après les autres. Après tout ce sont les boutiquiers qui supporteront la casse. Unibail continue donc à multiplier les centres un peu partout. Le seul problème, c’est qu’il faut livrer les marchandises et recevoir les clients. Aucune étude d’impact n’a été faite. Les habitants n’auront qu’à supporter le choc. On leur a donc allègrement menti, cachant les solutions retenues en secret. La dissimulation est la caractéristique principale de la Maire de Paris. Les fourbes ont donc caché aux habitants ce qu’ils allaient faire. Pour au final percer une nouvelle entrée dans la rue du Ct Mouchotte, à côté de la sortie du parking Vinci. Comme le centre ne pourra pas traiter plus de 4 camions à l’heure, où donc attendra, à six heures du matin, la file d’attente des camions de livraisons ? Sous les fenêtres des habitants du 33 ! Pendant quatre heures, si les horaires sont respectés (ils ne le sont jamais), les résidants de l’immeuble Les Balcons de Montparnasse, le bien nommé, pourront contempler avec amour la noria de camions polluants et sonores, certains avec des climatiseurs bruyants. Partir au travail en voiture sera impossible, car la file bloquera la sortie du parking. Dormir après 6 heures également. Tout l’immeuble sera asphyxié par les vapeurs d’essence et la pollution des pots d’échappement des camions (des semis remorques sont au programme). La noria enserrera entièrement l’immeuble, et lui seul, cerné comme avec un lasso.
On a menti aux habitants de cet immeuble et à ses représentants. Non seulement il n’y a eu aucune concertation, mais les réponses aux questions posées de ci de là ont toujours été mensongères. Au point qu’à l’enquête publique la Mairie a diffusé des images du futur aménagement sans la trémie d’entrée des camions. Dans aucune réunion publique la nouvelle organisation n’a été montrée alors que des dizaines de « slides » ont été projetées pour "calmer les angoisses". Il fallait, pour savoir ce qui allait se passer, trouver dans l’immense dossier de l'enquête publique et du permis de construire, les 2 cm2 où une trace de la nouvelle entrée était signalée. Bien joué diront les cyniques. Un tel mépris des habitants fait malgré tout frémir. Ce sont des mœurs de voyous, pas d’édiles.
La SNCF pour sa part entend transformer également la gare Montparnasse en centre commercial. Le projet architectural est d’une pauvreté inouïe. Une boîte de sardines semble avoir été le modèle. Les graves difficultés que la gare cause aux riverains ne sont pas traitées. Cette gare cachée n’a pas de dépose connue du grand public. La dépose se fait donc de façon sauvage dans la rue du Ct Mouchotte, bloquant la rue et provoquant pollution et conflits sonores. On rajoute maintenant une zone de livraison pour la gare ! Les nouveaux magasins seront alimentés par la rue Mouchotte, aggravant la congestion provoquée par notamment les semis remorques de retour des voitures de location, les cars qui amènent les touristes dans les deux grands hôtels de la rue, et la sortie des parkings de la gare et du parking Vinci qui provoquent une noria permanente sur les trottoirs et dans la rue.
L’organisation d’une rue déjà surchargée à laquelle on rajoute autant de trafic client et fournisseur devient évidemment critique. La mairie organise donc une réunion publique pour « informer la population de ses projets ». Voici MM. Nadjovski et Missika, les deux porte-flingue d’Hidalgo devant une assemblée de riverains inquiets.
Missika, on le connaît : intelligent, cynique, provocateur. Depuis le temps que les projets de la mairie suscitent la haine, il a pris la tête et le style de l’emploi. « Rien à foutre et je dis le maximum de conneries qui n’engagent que ceux qui voudront y croire ». Nadjovski est visiblement un malade. Il est blanchâtre, l’œil vide, la moue méprisante. Le projet tombe : on supprime deux voies de circulation et on fait une autoroute à vélos. Une voix s’élève : « on ne va pas prendre le train, avec des bagages et sa famille, à vélos ». Rires dans l’assistance. L’œil de Nadjovski se voile. La haine emplit sa voix. « On imposera les circulations de vélos et on fermera le tunnel qui passe sous la gare Montparnasse pour y faire un garage à vélos ». Stupeur dans l’assistance. L’avenue du Maine débouche dans Paris par ce tunnel très emprunté. Ce sera un embouteillage infâme au croisement de la rue Mouchotte et de l’avenue du Maine. « On continuera à bloquer l’accès de la ville aux voitures en supprimant des voies de circulation sur l’avenue du Maine qui aura aussi son autoroute à vélos ». On croit rêver. Ce type est bien un autiste monomaniaque, cinglé, selon toute apparence. Devant les réactions houleuses de la foule, Missika rigole. Il a l’habitude. Un des « citoyens » pose la question qui tue : « si vous n’avez plus que deux voies de circulation, que fera-t-on quand les semi-remorques livreront leurs voitures de location. Ils viennent en général à quatre et bloquent déjà la rue ne laissant qu’un couloir étroit pour les bus, les cars, les camions. Missika rigole encore plus : « faux problème ! Les voitures de locations vont bientôt rentrer toutes seules au parking ! » Des cris s’élèvent dans la foule : « Vous vous moquez ! ». Missika rigole encore plus, de façon provocante. La séance est levée car il y aura « naturellement » d’autres réunions de « dialogue et d’échanges citoyens ». Toujours cette enflure des mots pour cacher qu’on impose de façon hystérique et fasciste des décisions débiles aux dits citoyens sans possibilité de changer quoi que ce soit. Parler de circulation « douce et apaisée » quand on bloque la circulation sur les trottoirs (coupés d’entrées et de sorties de voitures et de camions) et dans la rue, tout en empêchant les propriétaires de voitures particulières de sortir de chez eux, est un exercice tout en vice qui amuse la municipalité et ses principaux dirigeants. Et suscite la haine des habitants qui s’énervent d’être pris pour des imbéciles et des cobayes.
Résumons-nous ! Pour complaire à Unibail, son sponsor, Hidalgo lui permet de faire une opération qui transformera le quartier Plaisance en un enfer de camions et de clients motorisés, de compresseurs à emballages, de poubelles, alors que l’endroit est déjà surchargé par la gare de chemin de fer et les cars qui alimentent les nombreux hôtels existants, plus celui à venir. En prime on bloque la rue pour faire une autoroute à vélos alors que la pente du Mont Parnasse est forte et répugne au cycliste non doué d’une capacité certaine de montée en côte.
Ce magnifique projet touche un quartier et une rue qui a déjà eu beaucoup à souffrir des négligences et des politiques de la mairie.
Il existe une passerelle rue du Ct Mouchotte permettant de relier l’îlot Vandamme à la Gare et au Jardin de l’Atlantique. Lors de la campagne pour la mairie, les équipes du PS ont multiplié les affichages sauvages sur les glaces. Quand il a fallu les enlever, impossible : ce n'était pas verre mais du plastique et la colle avait réagi et s’était amalgamée. Décision de la mairie : enlever les « glaces ». Aux usagers de prendre la pluie et le vent ! Qu’on ne vienne pas dire que la Hidalgo n’est pas en cause : c’est elle qui présidait la Semea XV chargée de l’entretien de cette passerelle et elle aussi l’organisatrice du meeting dans le gymnase Mouchotte qui a été l’occasion de ce déchaînement de collages.
Cette passerelle est desservie par un ascenseur également sous la responsabilité de la même Hidalgo. Il est en panne depuis deux ans sans qu'aucun entretien ne soit prévu. Merci pour les piétons et les circulations « douces et citoyennes ».
La place de Catalogne dispose d’une fontaine unique à Paris, une des rares fontaines construites dans les 50 dernières années à Paris. L’ennui est qu’il faut l’entretenir. Pas question. Elle est donc à sec depuis des mois et laissée sans entretien ce qui permet le pullulement des rats et des souris (la surface de la fontaine est de plus de 60 m2 et ne manque pas de canalisations) !
Mme Hidalgo se moque d’entretenir les équipements dont elle a hérité et qui exigent des dépenses sans aucun avantage d’image pour elle. Que compte le mépris des 2 000 riverains ?
En revanche la municipalité a multiplié les parcs à motos et le stationnement sauvage est tellement envahissant et hideux, gâchant tout plaisir de passer à pied, que de temps à autre un maniaque fait flamber une centaine de motos laissant les lieux au format Raqqa.
Le trottoir est huileux et maculé. Il faut dire qu’on n'entretient pas la rue du Ct Mouchotte qui est marquée en permanence de traces d’urine, d’ordures, de papiers gras et de déjections diverses. Une réunion avec la prof de gym trotskiste qui joue le maire du XIVe au milieu de ce marécage ne semble pas l’avoir troublée. Ces gens, qui n’ont que le mot d’écologie dans la bouche, n’ont pas l’air de comprendre que l’urine et les crottes de chien ne font pas partie de la discipline.
Plus grave, la municipalité a décidé de loger des clochards irrécupérables dans les logements sociaux de la place de Catalogne, mélangés avec les populations aidées précédentes (du moins celles qui n’ont pas été expulsées). On imagine la coexistence sur le même palier. Ils s’agglutinent devant le G20 où ils viennent acheter bière et pinard. Parfois ils ont des chiens. Ils sont en général saouls et agressifs et lancent les chiens contre les passants qui protestent, surtout des habitants du 33 dont le hall est envahi régulièrement par des clochards éructant, vomissant et couchés dans le passage. Les striures d’urine qui maculent la rue viennent autant des hommes que des chiens. Merci Mme Hidalgo !
Ne parlons pas des Roms qui mettent des esclaves devant toutes les supérettes et envoient des nervis patibulaires pour les imposer.Il est vrai que cette partie du XIVe a été sélectionnée par Mme Hidalgo pour multiplier l’implantation de populations immigrées en provenance du Maghreb et d’Afrique noire. Le résultat peut se lire sur les prix du m2 : il a partout augmenté à Paris de plus de 4 % sauf dans ce quartier qui a désormais ses mosquées improvisées, accueillant des centaines de barbus en tenue moyenâgeuses.
Des « bandes de jeunes » « de couleur » s’en donnent désormais à cœur joie, rendant la vie des habitants intenables : envahissements de hall, interpellation dans la rue, tapage, bagarres, trafics en tout genre. Le quartier ne se distingue plus des banlieues les plus à l’abandon.
La délinquance est devenue un fait constant et grave. Le nombre des actes de violences s’est envolé comme les vols. Il devient de plus en plus difficile d'empêcher les pénétrations dans les immeubles. La Gardienne du 33 rue du Ct Mouchotte a été violemment agressée. La mésaventure arrivée à un élu Vert, frappé et dévalisé par trois voyous, devrait pourtant alerter la mairie sur le fait que ce qui croît n’est pas seulement « le sentiment d’insécurité ». Par an, on compte plus de 90.000 plaintes. Soit plusieurs centaines par jour ! Vive les circulations piétonnes citoyennes et apaisées !
Hidalgo renvoie toutes les responsabilités sur la Préfecture de police. Mais qui a imposé ces populations problématiques ? Qui refuse de créer une police municipale ? Le tout en injuriant les critiques ?
La triplette tragique Hidalgo-Missika-Nadjovski est bien responsable d’avoir pourri gravement et durablement la vie des habitants, d’avoir porté atteinte à la sécurité publique, d’avoir détérioré les équipements publics, d’avoir propulsé les rats et autres pestilences à des niveaux inconnus, d’avoir porté atteinte par tout moyen aux droits élémentaires de propriété, d’avoir réduit la valeur du parc de logements, réduit la mobilité et transformé le quartier Plaisance, dont le nom dit le charme passé, en sous-banlieue difficile.
Comme l’a écrit un des présidents de conseil syndicaux de la rue à Karine Petit, la prof de gym qui fait semblant d’être maire du quartier entre deux réunions de soutien aux « folles de mai » et autres gauchistes sud-américains, « le rôle des édiles municipaux n’est pas de pourrir la vie des habitants ».
Hidalgo et ses sbires ont créé les conditions d’une haine tenace.
Il eût fallu s’élever un peu et faire appel aux meilleurs architectes et urbanistes pour tenter de régler par le haut le destin de la rue du Ct Mouchotte, au lieu de la détruire sans vergogne pour satisfaire Hidalgo et ses amis, les idées fixes d’un Vert délirant, et le clientélisme outrancier du PS.
Ces démocrates préféreront se défouler en criant au beauf, au raciste, à l’antisémite, au fasciste, à l’islamophobe, au bourgeois bourrin, à l'amoureux de sa bagnole, à la salope blonde en 4x4, etc. ad libitum. En espérant que les populations implantées les rééliront.
Paris est bien devenu la ville des rats. On préférait la ville lumière. Et comme le nôtre, des dizaines de quartiers pourraient ajouter leur chapitre au livre « Notre Drame de Paris », parfois avec des réalités encore pires.
Il faudra un jour se débarrasser de ces malfaisants. Les élections législatives ont fait une partie du boulot. Il faut le finir et vite. Car la rage de la défaite probable a poussé ces infects à accélérer encore leurs mesures délétères pour les rendre irréversibles tout en rêvant que les bénéfices d’image des jeux olympiques leur permettront de survivre aux désastres qu’ils ont créés.
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
La définition du socialisme...
Partout ailleurs dans le monde, on utilise les infrastructures existantes, comme cela va de soi pour des projets ayant nécessité des investissements importants. Et si les infrastructures ne sont pas là ou sont en mauvais état, on les construit ou on les rénove, de façon à créer une valeur économique et d'usage positive pour la ville, la région ou le pays concerné.
Appauvrir la société en annihilant la valeur des investissements publics engagés ne peut mener à rien de bon.
S'agissant des centres commerciaux, tenter d'augmenter à la fois les surfaces et les taux d'efforts locatifs demandés aux commerçants quant les chiffres d'affaires de ces derniers pâtissent de l'essor du commerce en ligne paraît une entreprise bien hasardeuse. On a connu dans le passé ce gestionnaire de centres commerciaux plus à l'écoute du marché. Aujourd'hui, cette attitude de déni pourrait conduire, là aussi, à de la destruction de valeur.