Rôle du CO2 dans le réchauffement climatique (2). Liste des principaux scientifiques critiques
Alors qu'une véritable chasse aux sorcières a été organisés contre les scientifiques qui ne voulaient pas simplement colporter une "vérité "venue des associations travaillant avec les organismes internationaux parce qu'ils ne voyaient pas de preuves convaincantes de la véracité des thèses avancées, il faut noter le nombre et la qualité des scientifiques concernés.
Je donne ici une courte liste des plus connus d’entre eux sachant qu'il y en a des centaines d'autres.
Patrice, professeur émérite des Universités, pour le Cercle des économistes e-toile.
Elliott D. Bloom, physicien, professeur à la Stanford University, membre de l'équipe du Stanford Linear Accelerator Laboratory , prix Nobel de physique, Senior Scientist Award de la fondation Alexander von Humboldt, insiste sur l'inadéquation des modèles invoqués par le GIEC.
Reid Bryson, professeur émérite de météorologie à l'université du Wisconsin, un des pères fondateurs de la climatologie moderne considère que les variations climatiques ont toujours existé et que le réchauffement climatique depuis le XIXe siècle est dû à la sortie du Petit Âge Glaciaire.
John Christy, professeur de sciences de l'atmosphère et directeur du centre des sciences de la terre à l'université de l'Alabama, ancien rédacteur des rapports du GIEC (leading author), médaille d’or de la NOAA : « Il n’y a aucune preuve évidente que l'activité humaine doive être mise en cause dans le réchauffement que l'on peut observer ; la coïncidence entre augmentation de la concentration en CO2 et réchauffement qui fonctionne de moins en moins avec le temps ». Son bureau à l'université a été visé par sept coups de feu en avril 2017, à l'occasion du "Jour de la Terre".
John Clauser, physicien quantique, prix Nobel de physique 2022. Ses déclarations figurent en incipit de cette petite synthèse. Après ses déclarations la conférence qu’il devait donner au FMI a été annulée !
Richard Courtney, relecteur expert du GIEC, consultant en science du climat et de l'atmosphère, admet qu'aucune preuve convaincante d'un réchauffement climatique causé par l'homme n'a été découverte.
Judith Curry, professeur à l'école des sciences de la terre et de l'atmosphère au Georgia Tech d'Atlanta. Décorée par l'American Meteorological Society, l'American Geophysical Union, la NASA, la NOAA et la Fondation Nationale des sciences. Elle affirme que « presque la moitié du réchauffement constaté au XXe siècle s'est produite lors de sa première moitié, avant le
développement mondial ». Pour elle, « la climatologie est devenue un parti politique de tendance totalitaire » et « une science douteuse au profit d'un projet politique ». En 2017, elle démissionne de son poste de professeur d'université, en soulignant qu'un scientifique est obligé d'adhérer à l'idéologie du GIEC pour obtenir des crédits et avancer dans sa carrière : soit on renonce à l'intégrité scientifique, soit on peut faire une croix sur sa carrière.
Richard Dronskowski, professeur de chimie et de physique à l'Université d'Aix la Chapelle, Allemagne, au Département de Chimie des Solides et Chimie Quantique. Lauréat du Prix Otto Hahn de l'Institut Max Planck, membre du Collegium de la Deutsche Forschung et de l'American Chemical Society. Il a déclaré que "la courbe en crosse de hockey est une falsification grossière destinée à répandre la peur", "qu'il n'y a absolument aucun consensus, zéro consensus [au sujet du réchauffement climatique]" et qu'il connaît "des collègues qui financent des instituts entiers grâce au climat. Ils n'ont aucun moyen de faire machine-arrière car leurs instituts seraient ruinés".
David Evans, mathématicien, qui a mis au point des modèles du cycle du carbone destiné au mécanisme de réduction de CO2 dans le cadre du protocole de Kyoto (1999-2005). Sur la base de nouvelles données, il a déclaré ne plus croire à l’influence du CO2 dans le réchauffement climatique.
Georges Geusken, chimiste quantique, professeur émérite à ULB. Il a montré que les modèles d’émission d’une back-radiation par le CO2 de la troposphère ne fonctionnait pas.
Ivar Glaever prix Nobel et principal signataire de la Déclaration sur le climat mondial affirme qu’il n’y a pas d’urgence climatique, précisant que les modèles climatiques « n’ont pas la moindre crédibilité en tant qu’outils de politique mondiale ».
Stanley Goldenberg, météorologue à la division de recherche sur les ouragans de la NOAA, ex-directeur au National Hurricane Center. Selon lui, « c’est un mensonge éhonté colporté par les médias que de faire croire qu’il n’y aurait qu’une frange marginale de scientifiques sceptiques sur l’origine humaine du réchauffement climatique ».
Howard Hayden, professeur émérite de physique à l'Université du Connecticut. Il a écrit une lettre ouverte au Département d'État américain pour exprimer son scepticisme, en déclarant que "les activistes du réchauffement climatique, comme des fourmis qui considèrent que le monde est fait de
rochers de 1 mm de diamètre, regardent les 3 derniers millionièmes de 1% de l'histoire de la Terre et font des conclusions extravagantes sur le climat et en particulier sur leur compréhension du climat".
Steven E. Koonin, physicien, spécialiste des modèles prévisionnels en physique, ancien directeur du Californian Institute of Technology (Caltech), ancien conseiller scientifique du président Barack Obama. Il considère que les modèles utilisés par le GIEC sont plus fragiles les uns que les autres.
Christopher Landsea, météorologue à la NOAA, spécialiste des ouragans, Ancien rédacteur du rapport du GIEC, il l'a quitté en en dénonçant l'instrumentalisation : « je ne peux pas continuer, en conscience, à contribuer à un processus que je considère être et conduit par des objectifs préconçus et
scientifiquement non valables ».
Robert Laughlin, prix Nobel 1998, déclare que « nous n’avons pas le pouvoir de maîtriser le climat ; l’humanité ne peut et ne doit rien faire pour réagir au changement climatique ».
Harold Lewis, professeur émérite de physique (1923 - 2011), ancien directeur du département de physique à l'Université de Californie, Santa Barbara. Il a déclaré que "l'arnaque du réchauffement climatique est la fraude pseudo-scientifique la plus grande et la plus réussie jamais vue de toute ma
carrière de physicien" et il dénonce le « torrent d'argent » issu des subventions gouvernementales qui « corrompt » l'American Physical Society.
Richard Lindzen, professeur à Harvard, un des plus grands noms de la climatologie, directeur au MIT, est sceptique sur la réalité d'un réchauffement exceptionnel et écrit : « Les générations futures se demanderont avec une stupéfaction amusée pourquoi, au début du 21e siècle, le monde développé s'est plongé dans une panique hystérique à propos d'une augmentation globale moyenne de température de quelques dixièmes de degré, et, sur la base d'exagérations grossières, de projections informatiques hautement incertaines, combinées en déductions improbables, il s'est trouvé en face d'un recul de l'âge industriel » .
Stephen McIntyre mathématicien à l'université de Toronto : avec Ross McKitrick, il a fait reculer le GIEC sur l'utilisation de la courbe en crosse de hockey de Michael E. Mann, qui s'est révélée être une manipulation totale.
Horst Malberg, professeur en météorologie et climatologie, ancien directeur de l'Institut de Météorologie de l'Université de Berlin. Il a été co-signataire d'une lettre ouverte de plus de 100 scientifiques allemands à la Chancelière allemande en juillet 2009 qui dénonce la croyance du réchauffement anthropique comme une pseudo-science.
Istvan Markó, président de l'European Chemical Society, affirme en 2011 : « Nous ne savons que peu de choses du climat terrestre, et les déclarations du GIEC sont utilisées dans un but politique. (...) De plus, affirmer que le taux de CO2 augmente la température du globe est erroné. La hausse de température précède l’augmentation du taux de CO2 (...).
Kary Mullis, Prix Nobel de chimie. Il est sceptique sur l'alarmisme actuel, pointant en particulier du doigt l'erreur de croire que l'on peut prévoir le climat à dix ou trente ans, alors que notre connaissance du climat est très parcellaire. Il affirme que "la climatologie actuelle est une plaisanterie".
Etc.
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
Trente ans après la campagne "ozone" et l'interdiction des gaz nuisibles, le trou a eu son extension la plus grande tout récemment. Dans le silence général. Le laboratoire le plus subventionné a alors affirmé que d'autres gaz était dangereux et qu'il fallait "amplifier les recherches ". Miam Miam.
Cela ne veut pas dire que la consommation de ressources finies et la production de déchets infinis ne posent pas problème. Ce sont des difficultés qui peuvent être attaquées une à une et qui le sont depuis le début de la révolution industrielle.
Incriminer le CO2 sans réelles preuves alors que en produisons à chaque respiration et dans absolument tous les actes de notre vie, là on entre dans la folie. Et il importe de réagir à temps. Pas en niant les questions écologiques mais en les cernant une à une pour les maîtriser. Lancer la malédiction sur l'homme de façon religieuse mène au désastre. Pas en prétendant que la croissance dans les pays développés est le cœur de l'affaire, alors qu'elle a ralenti au point de s'être transformée en stagnation. Pas en donnant le pouvoir à des Savonarole et des incapables prêchant contre l'humanité.
Retenons que Timmermans est candidat au poste de chef du gouvernement et qu'il avait besoin des Verts bataves pour l'envisager avec une chance de succès. Une ambition politicienne microbique d'un rigolo dans un pays minuscule peut ruiner l'Europe ! Drôle d'effet papillon du jeu de poupées russes des institutions internationales.
En 2019, 40 scientifiques français sont signataires français d'une pétition remise aux dirigeants de l'Organisation des Nations unies et assurant qu'il n'existe pas « d'urgence ou de crise climatique ».
Rappelons que la science du climat n'existait pas vraiment en 1990 , éclatée qu'elle était en des dizaines de disciplines différentes sans interactions claires entre elles. Le vrai changement a été la multiplication par 15 des budgets de recherche, budgets conditionnés par le support d'un narratif politique. Qu'après 30 années d'arrosage massif en faveur du réchauffement anthropique de la terre via le CO2 , on ait trouvé en France 40 personnes pour nier qu'il soit effectif est rassurant sur la valeur morale de nos scientifiques.
L'argent politique déversé sur la recherche pourvu que les travaux montrent que l'homme est responsable des phénomènes de réchauffement a créé une climatologie d'opportunité financière névrotique. Beaucoup des guéguerres entre scientifiques ont porté sur le reproche fait aux "CO2 sceptiques" de brider l'arrivée d'argent sans les laboratoires, plus que de contribuer à la mort de la terre.
Il serait bon de remarquer que le mécanisme : respect d'un narratif - subventions massives possibles existent pour d'autres sujets , comme les études féministes. Il est notamment clair pour ceux qui dénoncent la tentation sectaire LGBT au sein de l'université Française.
Tous les chercheurs savent que l'obtention des budgets de recherche est leur principal soucis et que leur carrière dans les organismes gérant la science dépends quasi entièrement de la soumission à des questions politiques traduites en narratifs .
L'argument d'autorité : 97% des scientifiques sont d'accord avec les conclusions du GIEC est une imposture.
La nouvelle présidente de la BCE a aussi proposé début septembre 2019 devant le Parlement européen de contribuer au Green deal. Évidemment on pouvait craindre qu'une telle « politique monétaire verte devienne une source potentielle de conflits d'intérêts face aux activistes du climat ». « Greta Thunberg, Christine Lagarde, même combat, celui du Green New Deal, une relance par la croissance verte » titrait La Tribune.
Et Mme Lagarde est devenue peu après présidente de la BCE sur une ligne à la fois totalement laxiste qui va créer les conditions d’un endettement massif de l’économie et d’une poussée inflationniste radicale, tout en soutenant le green deal, le féminisme woke et la lutte contre les inégalités. Pas un instant le politiquement correct ne la quitte.
6 mai 2021 : « I believe that the green transition offers us a unique opportunity to build a truly European capital market that transcends national borders – or what I would call green capital markets union (CMU). »
10 juin 2022 : European Central Bank (ECB) president Christine Lagarde has said she hopes the ECB can introduce a green targeted lending facility, but has indicated that the issue may be controversial among the central bank’s governing council. Speaking at last week’s Green Swan conference, Lagarde listed the measure as one of her top priorities, along with internationally harmonised climate-related disclosures, an EU green capital markets union, and a greater focus on nature-based solutions to carbon sequestration.
Alors que la politique de la BCE est saisie par la catastrophe inflatonniste doublée d’une trop forte réaction sur les taux qui casse l’économie, et que les Brics avancent sur un système de compensation monétaire qui risque d’avoir quelques conséquences pour l'Europe, cette avocate américano française ne parle que de "carbon sequestration". Quand elle n’agit pas en faveur de la femme africaine. Pas un voyage en Afrique ou en Asie sans réunir un panel de femmes et de tenir des propos sur la promotion de la femme en Afrique.
On dira que la monnaie est un sujet diabolique et qu’il faut se vêtir de candeur blanche ou verte pour voir son image survivre. Même tentation du FMI. L'argent, c'est sale. Il faut donc montrer sa beauté morale et celle de l'institution. On a nommé Lagarde "parce qu'il fallait une femme parlant anglais et docile". On a la production correspondante : verte et Wokiste et laxiste. Et bien bronzée au soleil de l'île Maurice.
Tout cela est grotesque de cynisme.
- Si la France va connaitre une canicule tardive, "c'est à cause de l'expansion des voitures électriques qui limite la pollution qui freine l'action du soleil".
- Si les modèles paraissent donner des résultats faux, "c'est parce que la Chine a brulé beaucoup de charbon et créé une pollution qui a dissipé la chaleur du soleil".
Conclusion : il faut cesser de brûler du charbon et généraliser les voitures électriques, afin qu'il fasse plus chaud et que les modèles du Giec fonctionnent.
Ce propagandiste adoré des médias mainstream avoue tout sur France Info. Il lutte d'abord contre le capitalisme... Tout est dit. La science, là dedans ? Et il se désole de voir qu'on ne le croit plus.
Il a suffi de trois énergumènes comme lui pour livrer les médias public à l'anticapitalisme au nom de la nature.
Les Français ont été des gogos tant qu"ils ne se sentaient pas directement concernés. Mais le vent tourne.
Professor William Happer IPA lecture – The Crusade Against Carbon Dioxide – September 2023
Institute of Public Affairs
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He shows that CO2 has no significant action on temperature.
https://www.youtube.com/watch?v=v2nhssPW77I
En général on cite l'adversaire de façon plutôt biaisée avant d'en triompher !
Le débat que l'on peut voir et écouter à l'adresse donnée ci-dessous est une exception. Malheureusementl a discussion est en anglais. Il en ressort une sacrée incertitude sur les mécanismes qui agissent sur la température et sur le rôle du CO2. La contestation du rôle du CO2 sur une base scientifique est plus motivée que sa justification. Les arguments sont très précis et les mécanismes sont détaillées par les sceptiques. La justification par les défenseurs du rôle majeur du CO2 est techniquement plus floue et consiste plus à prouver le caractère vraisemblable de leur thèse plus que la réalité des effets allégués. On peut même dire qu'il y a du sophisme plus que de la science dans l'approche de dénonciation anthropique du réchauffement. Montrer les températures de Venus et de la terre, et affirmer que l'effet de serre est responsable de la différence, puis faire voir que sur terre on a la preuve que le CO2 est un gaz à effet de serre et qu'il est en augmentation, c'est suggérer par l'émotion et non prouver par la science que le CO2 spécifiquement sur terre est le facteur principal voire exclusif du réchauffement.
C'est un exemple parmi beaucoup d'autres du même genre.
Voici l'adresse de ce débat.
https://www.youtube.com/watch?v=6wBDR-5ltVI