La "gratuité" de la vie instaurée en France. Enfin...
Au début de années soixante, dans les meilleurs milieux de la gauche engagée (mais largement alternative au PC et au PS), trois utopies étaient à la mode qui allaient tenir le haut du pavé pendant les "évènements de mai 68".
On peut les classer en trois catégories :
- Les faits sont "fascistes".
- Il faut assurer la gratuité de la vie.
- Le travail, c'est fini
Les trois thèmes avaient une même source : la richesse est là ; elle est le produit de la productivité. Il n'est nul besoin de l'augmenter. Le rêve grec du bel esprit libéré par l'esclavage des servitudes quotidiennes se transposait par substitution des robots aux esclaves.
Si nous sommes riches, nul besoin d'accepter la tyrannie des "faits". Les choses de l'esprit doivent primer. Vive l'Utopie. Le "pseudo" réalisme doit laisser le pas à la tentative de réaliser les grands espoirs de l'humanité. Parmi ces rêves, la fin de la pauvreté. Il faut assurer la "gratuité de la vie", c'est-à-dire permettre à tous de vivre "dignement" sans travailler.
Pourquoi sans travailler ? Justement, parce que la fin du travail est arrivée. Il est inutile de chercher le stakhanovisme stalinien. Les robots sont là !
Il ne faut pas nier la cohérence de l'ensemble. Les beaux esprits dont on parle affirmaient qu'à 1.000 Francs, nouveaux, comme on disait à l'époque, par mois, on pouvait être heureux. Il suffisait de diviser le PIB de l'époque par le nombre de ménages et on retombait à peu près sur ses pieds.
Ces idées n'ont pas vraiment vieilli dans les milieux de la gauche prospective et égalitariste.
Les écolos de gauche ont repris le thème de l'anti-croissance, en ajoutant seulement qu'il s'agissait de "sauver la planète".
La nième gauche style Rocard, préface depuis longtemps des ouvrages du type de ceux de Rifkin sur la fin du travail.
Depuis des années, les champions du social exigent que l'on assure la gratuité de la vie en comblant le dernier "trou" de la couverture sociale : les 18-25 ans.
C'est presque fait. Une nouvelle allocation vient d'être annoncée qui boucle la boucle. Du berceau à la tombe, il est désormais possible de vivre aux crochets de la société sans travailler.
Cette gratuité s'appuie déjà sur une multitude de dispositifs :
- gratuité de la santé et de l'éducation
- exonérations massives d'impôts et de taxes
- gratuité partielle des transports et du chauffage.
- gratuité du logement
- gratuité de la "culture"
- subventions diverses.
Mais ces gratuités ne sont tolérables que si le "liquide" tombe sans travailler. L'allocation est essentielle pour instaurer une "vraie gratuité de la vie". Les allocations familiales, de rentrée etc., permettent déjà la gratuité de l'enfance jusqu'à 18 ans. Les minimas sociaux prennent ensuite le relais. Mais impossible de toucher le RSA avant 25 ans. C'est désormais possible sous une forme hypocrite et "contrôlée".
La porte est ouverte.
On peut le dire, la vie est désormais gratuite en France. On peut y décider de ne jamais travailler et, pourvu qu'on se contente d'une vie plutôt médiocre, aller jusqu'au terme de sa vie sans jamais "manquer".
Alors que nous sommes en pleine stagnation économique, que le chômage atteint des millions de ménages, que des millions de personnes ne vivent qu'au crochet de l'Etat et donc de l'argent saisi dans la poche des autres, F. Hollande a voulu clore ce chapitre en ouvrant un nouveau trou dans la ligne de flottaison de la nation.
La gratuité générale si on la ramène au bénéficiaire moyen, représentera à peu près 1.500 Euros de consommation par personne. Non pas que chacun des assistés reçoive cette somme en liquide. On l'a vu il s'agit principalement de gratuités et de subventions "en nature" (logement, scolarité, santé etc.).
Travailler devient un exercice d'un coût exorbitant. Réussir vous conduit à des tranches d'imposition supérieures à 100% du revenu.
Il faut réduire puis supprimer toutes les prestations aux "puissants" qui "savent profiter de la mondialisation". On a donc rogné sur le quotient familial avant de le mettre plus tard sous condition de ressources. La gratuité de la sécurité sociale ne sera plus acquise pour les riches "qui peuvent bien payer pour leur santé". La scolarité deviendra payante pour les "riches" et le coût sera proportionnel au revenu dès qu'on dépasse certains plafonds de ressources. Ce travail d'élimination des prestations sociales aux riches est en cours.
Une des butées sur laquelle se briseront ces bonnes intentions est qu'il est impossible d'empêcher les citoyens du monde qui sont en Europe ou qui viendraient s'installer en France d'en bénéficier. On le voit avec la question des Roms, qui comme l'ensemble des gens du voyage, ne considèrent pas que travailler soit une option. Il faut les loger ; scolariser les enfants ; garantir leur santé etc. Déjà actuellement.
Comme le disait une adolescente algérienne interrogée il y a dix ans par la télévision lors d'un voyage de Chirac en Algérie :
- Question : que pensez vous de la France
- Réponse : formidable : c'est un pays où tout est gratuit et où on vous donne de l'argent pour ne pas travailler. Des visas ! Des visas ! "
Rien n'est fait pour réellement inciter à travailler. On supprime la peur du lendemain, à des gens qui ont bien compris qu'ils ne devaient rien et qu'on leur devait tout.
Près de 7 millions de personnes en âge de travailler ne le font pas, dans la France de 2013. On va tout droit vers les 10-12 millions autour de 2025, avec un appel d'air mondial aux populations très pauvres mais mobiles.
Espérer vivre avec l'équivalent de 1.500 euros par mois sans travailler, lorsqu'en travaillant on ne gagne pas 150 Euros dans son pays, est une incitation phénoménale.
Associée à des théories anti-croissance et au mépris ontologique des réalités, la nouvelle mesure aura les mêmes effets que le RMI, les 35 heures, la super-protection des salariés, la CMU, l'AME, etc.
L'emploi va devenir rare ; la fiscalité sera abusive et spoliatrice pour ceux qui contribuent. La sortie du système perclus de dettes sera abominable.
Rappelons que lors de la crise du début du siècle, les autorités de sécurités sociales avaient décidé d'ouvrir un grand trou dans la coque sans aucun débat nulle part : le transport à l'hôpital devenait gratuit ! Dix ans plus tard, plus personne ne sait comment payer cette folie.
On recommence.
En France la vie est désormais gratuite pour ceux qui ne veulent pas travailler et qui viendrait à se trouver sur le territoire "national".
Pour corser l'affaire, on a supprimé le travail du week-end qui servait à de nombreux jeunes à se faire l'argent nécessaire pour suivre leurs cours de fac.
Au début des années soixante, les doctrinaires évoqués au début de ce billet avaient sous les yeux un formidable désastre de la gratuité. Fidel Castro, dont ils étaient tous amoureux, avait décrété la gratuité du pain. Bientôt on donnait du pain au cochon. On taxa les producteurs pour maintenir cette gratuité : les prix d'achat aux producteurs de pain devinrent ridicules. Le pain manqua. On exigea ; réquisitionna. On fusilla pour l'exemple quelques "affameurs". Puis on laissa tomber la gratuité.
La gratuité c'est toujours l'abus, la coercition, la répression, les tracas administratifs sans nom et au bout du compte un désastre social et économique. On le voit aujourd'hui : toutes les populations qui se sont laissé convaincre d'entrer dans ces systèmes sont totalement démunies si on arrête les frais. Les drames sociaux deviennent alors insupportables pour des millions de gens. Alors on ne fait rien car tout retour en arrière devient dramatique.
Le bon sens est ne jamais mettre le pied dans ces pièges. Et hop ! Voilà qu'on en ouvre un sous les pieds de centaines de milliers de jeunes qui n'auront plus aucune incitation à entrer dans la vie active. Qu'ils se rassurent : on a en même temps décidé que les périodes de non travail compteront pour la retraite ! Il ne reste qu'à considérer que le non travail ouvre un droit complet à la retraite et qu'il est une des pénibilités permettant de partir à la retraite plus tôt. Nous vivrons alors dans le meilleur des mondes.
Les Français auront donc vu cette semaine les entreprises, dont la rentabilité est quasiment la plus basse du monde, obligées de payer une nouvelle imposition sur une partie de sa valeur ajoutée et à ne plus travailler le dimanche, pendant qu'on assurait la gratuité de la fainéantise et de la non solidarité familiale.
Un bel exploit. Encore bravo !
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
Ajoutons quand même, selon le journal télévisé d'aujourd'hui: la loi Peillon, l'interdiction faite aux volontaires de travailler le WE, l'avalanche de taxes, les roms et les démélées et tergiversations de notre équipe gouvernementale, etc.
Le vertige nous saisit.
Usque tandem ?
Nos lecteurs auront rectifié !
"People under 25 would not be able to claim benefits under an all-Conservative government, David Cameron has said. Young people should be forced to “earn or learn” and no longer have the option of a “life on benefits”, Mr Cameron said."
- Partir des élèves qui abandonnent l'école tôt et qui traînent (en sabir adminjistratif les "NEETs" (Not in Education, Employment or Training) ou en novlang
edunat, les décrocheurs
- Expliquer qu'actuellement ils sont livrés à eux mêmes et qu'ils trainent en se livrant parfois à la petite criminalité
- Insister qu'ils n'auront l'argent (434 Euros) que sous des conditions très restrictives : on va leur donner des obligations diverses.
- Faire valoir l'urgence sociale ;
- Souligner qu'il ne s'agit que de quelques 10.000 personnes au début en masquant qu'il y a 130.000 décrocheurs et qu'on devrait donc rapidement tourner autour de 100.000 accrocs à la Garantie Jeune (435 x 212 x 100.000 = 522.000.000 Euros). L'Humanité chiffre à 1.9 les 15-29 ans inactif. Multiplions par 20 les bénéficiaires et la France sera enfin juste.
Tout cela est financé à crédit par la dette qui va grimper à 100%.
Et personne de souligner que l'assistanat de 0 à 99 ans est désormais garanti en France. Tous les enfants de Roms vont se précipiter (ils sont 10 millions en train de se mobiliser) .
Ensuite essayer de détacher la tunique de Nessus !
Votre article montre bien comment faire passer une réforme idéologique forte, la subvention à vie sans travailler, derrière des arguties minimisatrices. Notion "d'essai", d'"expérimentation ", limitée aux "décrocheurs". Raccrocher aux branches les décrocheurs, céti pas gentil tout plein ? En attendant 7 générations de 800.000 personnes nées en France, vont se demander comment bénéficier d'une manne de près de 450 euros par mois, pendant qu'une population migrante se verra proposer la même manne.
La droite américaine ne veut pas entrer dans une telle logique. Elle préfère l'idée que toute personne apte à travailler n'a qu'à le faire et subvenir à ses besoins, le rôle de l'Etat n'étant que de créer un cadre favorable à l'activité. Elle cite constamment en contre-exemple la France, pays des fainéants qui travaillent peu quand il travaillent et dont plus tiers des ménages dépends directement de la manne publiques, les impôts des autres ou la dette, pour vivre au quotidien.
Nous avons eu, le même jour, le témoignage d e l'action et de la réaction. Certains jours sont plus significatifs que d'autres.
Quelles sont les catégories qui ont été aidées massivement par Hollande depuis son arrivée ?
Que des abusifs !
- Les syndicalistes violents
- Les fonctionnaires à l'absentésime excessif
- Les drogués à qui on offre des salles de shoot avec gratuité de la drogue
- Les délinquants qui doivent échapper à la prison "criminogène"
- Les locataires qui ne paient pas leurs loyers
- Les homosexuels militants
- Les fusillés de 14-18 (comme Jospin)
- Les Roms avec la circulaire qui exige leur relogement décent et un traitement délicat
- Ses maitresses ou ex maîtresses.
Comment vouliez-vous qu'on oublie les zonards de 18 à 25 ans ?
Depuis l'effondrement du communisme, le socialisme communard et soixante-huitard à la française se veut le promoteur d'une anti société basée sur la destruction des valeurs du XIXème siècle, considérées comme des valeurs de Beaufs, de fascistes, de lecteurs du Figaro magazine et finalement de Breivik en puissance.
La kalachnikov du révolutionnaire et le goulag et les génocides du "socialisme réel" ont été remplacés par l'impôt. Les Kapos du régime sont maintenant les fonctionnaires du fisc qui ruinent des dizaines de milliers de familles méritantes, commes ils saisissaient les bien juifs sous la botte nazie, sans état d'âme. On réprime et on fait disparaître la bourgoisie honnie par la fiscalité tout en faisant la promotion de tout ce qu'elle haïssait et en vilipendant toutes les valeurs qu'elle promouvait (la famille, la natilité,le travail, la politesse, la responsabilité, l'autonomie, la liberté, l'autorité, le savoir, la patrie, la religion etc.).
On ne touche surtout pas aux vaches sacrées et, comme le Canard le révèle, on arrose son ancienne circonscription de façon éhontée.
L'effondrement moral et intellectuel français a précédé le triomphe de Hollande. Il laissera un champ de ruines réelles sur un champ de ruines conceptuelles.
Une anti-société n'est pas une société. Les Français, nés malins, le découvrent un peu tard. Pour avoir choisi Hollande et ses sbires, ils n'ont qu'à s'en prendre à eux-mêmes.
Mais qu'elle honte nationale !
Et quel désastre économique irrémédiable !
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La nouvelle allocation pour les 18-25 ans va imposer de mettre en place une machinerie redistributrice alimentant rapidement 100.000 jeunes et probablement plus à terme. Pour instruire les dossiers, distribuer l'argent, contrôler les inévitables fraudes, il faudra des centaines voire des milliers de fonctionnaires. Qui parle de ces créations de postes ? Personne.
On sait comment cela va se passer : on donnera la fonction à une administration sociale existante. Qui se mettra en grève pour dénoncer le manque de moyens. Et on cédera. On cède toujours. Partout en France ce seront des recrutements. On pense aux banlieues. Mais la campagne s'y mettra. Avec retard. Tous les jeunes qui attendent le RMI, se mettront à la "garantie jeune". On enverra des "scouts", ces espèces de fonctionnaires qui parcourent à grands frais nos campagnes pour que tous puissent "faire valoir leurs nouveaux droits".
A ce moment là les locaux, déjà démesurés, de la sécurité sociale, seront considérés comme trop petits. Partout en France on rebatira des cathédrales sociales encore plus hautes, plus disproportionnées qu'actuellement, où elles forment déjà, avec les CHU, les plus gros bâtiments de nombre de villes moyennes.
Mais, Madame Michu, c'est qu'il y a 100 circonscriptions et qu'on ne va se contenter pour les jeunes de la création de dix postes. C'est 50 ou 100 qu'il faut envisager sur chaque site. La syndicalisation est si forte et le travail si faible qu'il faut 100 personnes là où 10 suffirait.
Comme on ne les aura pas tout de suite, on multipliera les chausse-trapes, les imprimés retors, les conditions absurdes, pour faire face à l'avalanche. Les considérations politiques joueront pour faire admettre au piston tel ou tel groupe. Une fois entré dans le sytème, pas question d'en sortir, c'est trop compliqué d'y re entrer. Alors les "contreparties" de "responsabilisation", on verra qu'on n'a pas les moyens de les faire respecter, comme le RMI. On se souvient qu'on a fait le RSA parceque le RMI ne marchait pas dans sa composante "insertion". Idem à la Justice pour l'accompagenement des peines "alternatives".
Donc ce sera la gabegie. Aucune réforme ne sera plus possible. On ne supprime pas d'allocation en France. Ce ne serait pas social et vaudrait au parti qui se livrerait à cette impropriété des aboiements forcenés et une sanction électorale.
On en revient à l'essentiel. Le PS a besoin de clientèle électorale et ne peut laisser les jeunes en dehors du coup. Récupérer 80% des immigrés musulmans a été le coup de maître de la dernière présidentielle. On va récupérer 80% des jeunes et le tour est joué.
De toutes façons, l'important est de justifier des taux d'imposition meurtrier pour les "riches" en stigmatisant leur égoïsme. Les socialistes encartés sont pratiquement tous des assistés ou des fonctionnaires ou des subventionnés. La lutte des classes existent. Elle n'oppose pas les pauvres aux riches, mais les fonctionnaires et leurs clientèles au reste du pays. Les pauvres ne sont que des prétextes.
Ils resteront pauvres et indéfiniment bloqués dans l'assistanat, le piège à pauvreté le plus terrible, avec l'alcool et les autres drogues dures.
mais il n'y a pas qu'en france que les choses sont ainsi ! Si vous regardez la societe japonaise elle se trouve dans une situation similaire, qu'a a faire mai68 la dedans ?
Je ne parie pas un kopek sur hollande, mais il ne faut pas se bander les yeux sur la réalité non plus.
"
Dans la mesure où les choses dont l'homme a besoin pour survivre doivent être produites, et où la nature ne garantit le succès d'aucune entreprise humaine, il n'y a pas et il ne peut pas y avoir de garantie d'une sécurité économique. L'employeur qui vous donne un emploi n'a aucune garantie que son entreprise va rester en activité, que ses clients vont continuer à acheter ses produits ou services. Les clients n'ont aucune garantie qu'ils auront toujours la capacité et l'envie d'échanger avec lui, aucune garantie de ce que leur besoins, choix et revenus seront dans le futur. Si vous vous retirez dans une ferme autonome, vous n'avez aucune garantie vous protégeant des conséquences d'une inondation ou d'un ouragan sur vos terres et vos cultures. Si vous laissez tout aux mains du gouvernement et lui donnez tout pouvoir pour planifier l'économie dans son ensemble, cela ne garantira aucunement votre sécurité économique, mais garantira l'abaissement de la nation entière à un niveau de pauvreté misérable – le résultat pratique que toutes les économies totalitaires, communistes ou fascistes, ont démontré.
Moralement, la promesse d'un impossible "droit" à la stabilité économique est une infâme tentative d'abrogation du concept de droits. Elle ne peut signifier et ne signifie qu'une seule chose : la promesse de réduire en esclavage tous les hommes qui produisent au bénéfice de ceux qui ne travaillent pas. "Si certains hommes ont le droit de bénéficier des fruits du travail des autres, cela signifie que ces autres sont privés de droits et condamnés à travailler en esclaves." Il ne peut y avoir de droit de réduire en esclavage, i.e. de droit de détruire les droits.
Ayn Rand, "The Ayn Rand Letter" ; *Ayn Rand, "Capitalism: The Unknown Ideal".
Tout est dit ...