Paris : la Capitale déclassée dans l'indifférence générale
Qu’est donc devenue la rive droite « chic » de la Madeleine à la place Vendôme en passant par la rue de Rivoli et la rue du Faubourg Saint Honoré sous la double attaque des saccages de Mme Hidalgo et sa fine équipe et des effets de la crise sanitaire ?
Six des hôtels de luxe de l’endroit sont soit fermés soit en voie de l’être du fait d’une fréquentation qui se situe au mieux à 10 %. Le Saint James et Albany tourne avec moins de 3 % de chambres occupées à cause de l’étranglement de la rue de Rivoli par les aménagements de la mairie de Paris ! L’annonce du couvre-feu et de la flambée d’infection nouvelle a stoppé net le peu de tourisme qui restait.
La place Vendôme est totalement saccagée par les travaux mis en œuvre par la mairie qui semble avoir eu comme idée de porter son effort de destruction sur toutes les places de Paris. Elles sont toutes en travaux, non pas pour les embellir mais pour y ruiner la circulation générale. Une cabine de toilette mobile traîne au pied de la colonne Vendôme, porte ouverte. Après le plug anal, les chiottes… On sait le nombre d’homosexuels qui peuplent l’équipe municipale (les lesbiennes de la majorité municipales parlent de « pedoland », ce qui aurait amené un mâle blanc en correctionnelle mais a permis de la promotion de l’Eructatrice). Ce qui explique peut-être cette obsession anale caractérisée qui persiste dans la durée. On est heureux finalement qu’il n’y ait pas de touristes. Partout sur la place on a installé des blocs de béton colorés en blanc ou rouge qui canalisent on ne sait quoi. L’accès au parking se fait en concurrence avec le passage des piétons dont le passage est bloqué par les travaux. Pratiquement toutes les boutiques de luxe sont fermées et celles qui restent ouvertes sont vides de clients. Personne dans la rue de la Paix également ravagée par les travaux. Les rares cafés ouverts sont aux trois quarts vides à l’heure du déjeuner. Le bas de la perspective vers la rue de Rivoli est vide, les voitures ne pouvant plus y circuler. De l’avenue de l’Opéra aux Tuileries, c’est un total désastre urbain et une ambiance sinistre. Total ? Non ! Il y a pire. La rue des Pyramides n’existe plus comme ensemble urbain. Sous les arcades Est tout est fermé et des clochards dorment ou discutent en buvant. Il reste une ou deux boutiques ouvertes sans client sur la face ouest. Ce sont les seules âmes vivantes. Pas un piéton. Autour de la statue de Jeanne d’arc un café est resté ouvert avec une cliente qui pianote sur un portable (il est maintenant près d’une heure de l’après-midi et il fait un temps magnifique), à moins que ce ne soit la patronne qui en profite pour faire un tour sur internet.
La rue du Faubourg Saint Honoré est en travaux. Beaucoup de boutiques sont fermées. Celles d’Yves Saint Laurent et de Vuitton sont vides. Le personnel de quatre à cinq personnes dans chacun d’entre elles attend en vain un visiteur. L’ambiance est mortuaire.
Et la rue de Rivoli ? Là, c’est la fin du monde. Les boutiques sont presque toutes fermées comme les hôtels. Les changeurs ont déménagé. Les boutiques de souvenir sont un souvenir. Le reste périclite quand il n’a pas déjà fermé. Pas un passant. Pourquoi passerait-on par-là ?
La destruction de la rue de Rivoli se veut une grandiose réalisation des tordus qui règnent à l’Hôtel de Ville. La sottise et la méchanceté satisfaites, la hargne et la bassesse idéologiques, tous ces beaux sentiments qui animent cette équipe de malfaisants sont présents dans les décisions qui ont été prises. On n’a pas décidé de faire plus de place au vélo. On a supprimé tout stationnement et stérilisé une voie large au milieu de la chaussée. Le but de l’aménagement n’est pas de favoriser le cyclisme mais de supprimer la voiture le plus possible. Alors, sur le principal axe Est Ouest de la capitale, on n’a laissé qu’une voie pour la circulation et on y a interdit les voitures particulières et elles seules, sauf celles des riverains !
Le comptage des véhicules est intéressant.
Sur cette voie unique de circulation générale on compte 85 % de camionnettes, 8 % de taxis et Bus (les VTC sont interdits) et 7 % de voitures particulières qui violent l’interdiction volontairement ou se retrouvent là en errant dans le labyrinthe créé au nord de la rue de Rivoli.
Sur 100 cyclistes il y a 70 % de femmes, dont la majorité en groupe, qui visitent les lieux pour s’amuser, 10 % de livreurs et 20 % d’hommes plus ou moins pressés.
Le trafic en milieu de journée est très faible. L’essentiel est constitué par des deux-roues motorisés et des camionnettes (95 % des véhicules comptés, vélos inclus). La pollution est donc là et bien là. Mais tout le monde s’en fout, de la pollution. Ce n’est pas le problème. Il faut des actes symboliques contre la bagnole, c’est tout. Une obsession !
On constate beaucoup d’indiscipline. La voie stérilisée au milieu de la rue est utilisée par les gendarmes, la police, des vélos et des motos.
Inutile d’essayer de traverser, si vous êtes piéton. Vous êtes à peu près sûr d’être renversé.
Pas de stationnement possible. Quelle importance ? Tous les commerces sont pratiquement fermés.
On a achevé par la destruction de la circulation ce que le Covid avait commencé. La Ville peut être fière de sa politique.
Pour s’échapper de cette trappe à automobilistes, il n’y a qu’une solution, aller vers le nord et traverser à nouveau des places ravagées par les travaux de voiries et des rues parsemées de chantiers divers, avec des stationnements en double file partout de camions et de camionnettes.
La malveillance municipale est partout. Les pauvres gens qui essaient de s’en sortir font grise mine dans ce chaos. Ne parlons pas de l’Avenue de l’Opéra et des grands Boulevards, ni des Grands Magasins. Partout la grisaille de la crise économique, les affres de la crise sanitaire et les déjections de la politique municipale.
Jamais une municipalité n’a été aussi nocive pour la ville qu’elle gère. Jamais une capitale n’a été traitée ainsi par ce qu’il faut bien appeler une bande de voyous et d’iconoclastes. Jamais Paris n’avait été aussi abîmé volontairement depuis le Commune.
Honte et tristesse !
Comment les Parisiens ont-ils pu revoter pour cette bande de minables, odieux et incultes ? Il est vrai que l’élection a été biaisée et que l’équipe retenue n’a même pas convaincu 20 % des inscrits. Paris est violé mais aussi les règles élémentaires de la démocratie.
On peut déjà deviner le mépris de fer de ceux qui auront plus tard à écrire l’histoire de cette période affreuse, de ce saccage organisé, de ce véritable assassinat urbain mené de sang-froid et sans support populaire et démocratique vrai, par des minorités coalisées guidées par une Espagnole arrivée par l’alcôve et promue par quelques sommités reconnaissantes du Parti socialiste.
Au moins on sait que l’épidémie de Covid s’arrêtera dans les deux ans mais pas le saccage de Mme Hidalgo qui va encore continuer six longues années. Que restera-t-il alors du Paris que le monde entier aimait ?
On veille en ce jour de deuil national une victime de la violence horrible et conquérante des musulmans récemment immigrés massivement en France aux applaudissements des Islamogauchistes, des amateurs de « créolisation », et des tenants d’un politiquement correct à l’américaine.
On assassine aussi la Capitale. Et cette décapitation-là, celle de la capitale de la France, n’est même pas citée dans les médias et encore moins condamnée.Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |