UMP : une tension normale
Catégorie : Attitudes - Economie et politique
Comment s'étonner des tensions extrêmes qui se manifestent à l'UMP ? En lançant une bataille de personnes avant une remise à plat des idées et doctrines du parti, il était évident qu'on assisterait à un conflit de postures. Alors qu'une certaine remise en cause des politiques suivies depuis quatre ans était nécessaire, elle n'a pu avoir lieu, l'un des candidats en ayant été l'exécuteur principal et l'autre se réclamant à corps et à cri de son amour du président sortant mais battu, N. Sarkozy.
L'un a joué la pugnacité de l'opposant, l'autre la sagesse du recours.
Mais un opposant pour quelle alternative ? Mais un recours pour quand ? Cinq ans c'est long.
Il eût mieux valu commencer par faire l'aggiornamento de ce que pourrait être une alternative de droite républicaine à la sociale-démocratie-qui-n'est-pas-une-sociale-démocratie-mais-un-socialisme-intransigeant-mais-tout-de-même de Hollande. Etant entendu que le gouvernement lui est obligé à un aggiornamento qui, volens nolens, ne fait que commencer.
Face à la pédagogie par l'épreuve des faits qui va conduire la gauche républicaine, aurait du s'épanouir une réflexion à la fois critique et positive de la droite républicaine.
Sur quels thèmes ?
La droite républicaine a commis un certain nombre de pêchés capitaux. Sept comme il se doit.
- elle n'a pas pris soin de moderniser la République, qui tourne à l'oligarchie, clientéliste et démagogique.
- Elle n'a pas pris soin de consolider la liberté d'expression, qui se judiciarise, donc se réduit, à toute vitesse
- Elle n'a pas cru devoir donner une explication convaincante de la crise globale , qui se poursuit et s'aggrave sans remède annoncé
- Elle n'a offert aucune véritable perspective vis à vis de l'Union Européenne, qui est en crise et en phase de rejet populaire, en dépit de son activisme pour le Traité de Lisbonne.
- Elle n'a offert aucune véritable solution institutionnelle pour éviter une aggravation de la crise de l'Euro
- Elle n'a pas su juguler la dérive française vers une fiscalisation excessive et une dépossession des Français sur fond de dépenses publiques non contrôlées
- Elle n'a pas su marquer sa distinction ou sa rupture avec le mélange d'énarchie compassionnelle et de travaillisme à la française qui est avec la prolongation du Ni-Ni, la marque de sa reddition intellectuelle et morale à son opposant socialiste.
A ces sept pêchés capitaux correspondent sept piliers de la sagesse nationale à construire pour s'opposer à la dépression générale à laquelle nous convient malheureusement François Hollande, le PS et ses alliés, qui n'ont, sur ces sujets graves aucunes propositions convaincantes, du moins pour le moment.
L'ennui, c'est que désormais on ne voit pas comment mettre réellement les partis de droite et de centre au travail sur des questions fondamentales qui exigent des critiques qui doivent être exprimées certes de façon modérée dans la forme mais qui conduiront nécessairement à des ruptures fortes.
Les futures élections risquent alors d'être du niveau des récentes présidentielles : moralement pitoyable, économiquement à côté de la plaque et politiquement sans orientation nationale, européenne et mondiale claire.
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
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Zone Euro
Le retour du mensonge économique décomplexé
Régression néonatale : Le professeur Minkowski ne serait vraiment pas content !
Budgets irresponsables : bataille instructive entre deux hauts fonctionnaires
Erreurs évitables et déficits abyssaux : la fin de la désinvolture ?
Enfin un prix "Nobel" d'économie qui le mérite
Quelques livres à lire sur la crise et ses solutions
Impôts et dépenses publiques : l'urgence absolue d'éviter le gouffre.
Que pensez du nouveau gouvernement Barnier ?
De la nuisance des « marchés administratifs » à la mésaventure du Gouvernement Barnier.
France et Europe : la fin de la désinvolture ou le début de la folie sans fin ?
Interdire d'urgence de monoxyde de dihydrogène ?
Quelques maximes pour les temps nouveaux
Le bel été 2024
La courbe de Dufau
Les scandaleuses décisions de l'Arcom et l'emprise antidémocratique de la haute fonction publique
France : conservatoire honteux de la violence révolutionnaire sacralisée
Quand les moteurs de recherche évoluent bizarrement ...
Eléments pour comprendre la descente aux enfers française
Pierre Manent et l’explication de la crise politique française
Le naufrage de l’extrême centre : le faux diagnostic de Jean-Louis Bourlanges
Brèves de comptoirs - Le samedi avant les résultats
Ils osent appeler cela « programmes »
Exiger la neutralité politique et idéologique des sujets des épreuves du BAC
Blessure narcissique, chantage, menaces, chaos : la descente aux enfers d'Emmanuel Macron.
Aux sources de l'écologie anticapitaliste et malhonnête - L'ozone et le Giec. (suite et fin)
Aux sources de l'écologie anticapitaliste et malhonnête. Première partie : 1970-1982/
Discrédit des hommes politiques : pourquoi ? Le triste exemple de Christophe Béchu.
Article de Jérôme Fourquet - Seconde partie 2000-2024
Le faux diagnostic de Jérôme Fourquet sur la fin du " modèle français" Décrire ne suffit pas.
Géopolitique et changes flottants
CEDH : Coup d’Etat Durablement Hostile (à la démocratie)
Petites observations témoignant de grandes transformations économiques
Les dégâts sociaux des peurs et des idolâtries manipulées.
Quel vote utile pour les Européennes ?
Quelle est l'orientation du Cercle des économistes e-toile dans le chaos actuel ?
La semaine de la honte - A conserver pour ceux qui feront un jour l'histoire de la période
Démographie : le carnaval des hypocrites
La « société durable » : le nouveau masque de l’anticapitalisme primaire
Pompes fiscales cachées et fausseté du taux de prélèvement
Dignité et indignation
L'économie française en proie aux harceleurs de médias
Une vision vécue de l’histoire récente de l’agriculture
Bienvenue au Paradis des Anges
La campagne électorale européenne signera-t-elle la mort de LR ?
Qu’aurait été l’année 2023 sans Emmanuel Macron ?
Europe 100 % fédérale : E. Macron la prépare ; le danger se rapproche
Des voeux problématiques pour 2024
Les ONG maîtresses absolues des institutions européennes : un colloque révélateur et inquiétant
Les « États-Unis d’Europe » programmés à Bruxelles. Silence à Paris.
L'Union Européenne : une bureaucratie sans limite et dominée par les ONG
Le dernier livre d’Henri Guaino : forces et limites
Comment on empoisonne la vie des Français et on souille la République
Il y a des trous dans les mémoires politiques de Franz Olivier Giesbert
Après le serpent monétaire, le serpent énergétique. Il est venimeux
Climat : la fabrique de l'hystérie
La faiblesse actuelle de l'édition économique : un exemple.
Hystérie écologique : le retour de bâton est en cours
Comment comprendre la sanctification de Jacques Julliard par la presse classée à droite
Le double enterrement d'une illusion et d'une idée fausse
Une autre manière d'analyser la situation économique mondiale
Le retour de l'inquisition : exemple pratique , le "décret tertiaire".
Rôle du CO2 dans le réchauffement climatique (2). Liste des principaux scientifiques critiques
Rôle du CO2 dans le réchauffement :pourquoi de nombreux scientifiques résistent
Impuissance des électeurs. La question des fuites démocratiques
Qui est responsable des dérives de l’Union Européenne et que faire ?
Obsession du « Leader Maximo » et néant programmatique national : la nouvelle normalité ?
Les élites françaises ont-elles détruit la France ?
Ce blog a 15 ans jour pour jour. Opération spéciale anniversaire.
Petit résumé de l'état de la France
Une belle panne qui devrait inciter à réfléchir
Le retour des grandes lubies économiques
La nouvelle Saint-Barthélemy des propriétaires qui s’annonce
Grand Mensonge Écologique et bureaucratie délirante
Sortons-nous du Grand Mensonge ?
Un très grand livre :" Une contre histoire de la colonisation française" de Driss Ghali
La hiérarchie des causes de l’effondrement français
Une victoire tardive mais fort instructive
Deux articles très détonnants dans le Figaro du 3 avril 2023
Le livre d’Alexandra Henrion Caude
Ordonnance sur l'énergie : la Commission Européenne devient complètement folle
Le livre d’Éric Zemmour : suite ou fin ?
France 2023 : Rire ou Pleurer ?
Les non-dits fondamentaux de la réforme des retraites
Réconcilier Union Européenne et démocratie
Succès et chute du « néolibéralisme » ? Le type même d’une histoire falsifiée.
Un article formidablement révélateur du Financial Times
Désastre démographique : ils en parlent enfin !
Ce que veut dire « énarchie » sur un exemple concret
Pourquoi et comment le RPR et le PS ont-ils sombré ?
Pulsion d'autodestruction au LR
Désolés, pas de Bons Voeux possibles pour 2023 avec ceux qui nous dirigent vers le précipice.
L’effroyable passivité française face aux urgences énergétiques
Les trois sources scientifiques de la climatologie perturbées par l'obsession politique du CO2
Après le vote pour la présidence de LR quelle stratégie ?
Pourquoi les économistes doivent s'investir massivement sur la question écologique
Jours de travail perdus à la SNCF
Deux chiffres à conserver en mémoire
Steven Koonin : « La part d’incertitude ». L’artilleur.
Bécassine et la méga bassine.
Monnaie : une erreur qui devient agaçante !
Couple franco-allemand et dysfonctionnement de l’Euro
L’option problématique du tout électrique
Comment analyser les grèves actuelles ?
Macron : une chance pour lui-même, pas pour la France
Octobre 2022 : le pic extatique des maîtres chanteurs
La bulle de sottise écologiste commence-t-elle enfin à percer ?
Le cauchemar du Dr Choronchon
Écologie délirante : entre boy scoutisme et bureaucratie
Quand le journal le Point divague avec des économistes socialistes
Et voici l’écologie pénitentielle coercitive. Elle ne s’arrêtera plus
Santé : Petite histoire d’une décadence programmée
L'écologie politique empêche de lutter contre les conséquences du réchauffement
Régime d’assemblée et Ve République - Il faut réformer d'urgence
La Nupes et Israël - L'indispensable antidote de Michel Onfray
Un sujet fondamental : pourquoi 87 à 90% des juifs français n'ont pas été dépôrtés et ont survécu.
Christian Gerondeau : l'indispensable trilogie sur la religion écologique
Enfin un livre de vérité sur la guerre d'espagne - Pio Moa- les mythes de la guerre d'espagne
Quelle statégie pour LR ? suite
Les effets pervers de l’impôt progressif
Quelle stratégie pour LR ?
La dénatalité en Occident : la vraie solution pour sauver la planète ?
Les effets imprévus et dommageables du concept erroné de « transition »
Analyse sémantique de la posture écologiste
La fin de la souveraineté française
La France, future Sri Lanka ?
Oh ce joli Week-End de mai !
Le dernier objet de mobilisation indignée : sauvez les Liminaires !
Le drame de la désindustrialisation en France
Passe-CO2 : le délire commence à se voir un peu trop !
L’article de Jean Peyrelevade sur la « renaissance de la social-démocratie ».
Un livre indispensable et à lire absolument : Laurent Toubiana Covid
Les dix sujets nationaux critiques
Quelles leçons de l'échec d'Eric Zemmour ?
Et voilà le passe-CO2 ! Merci qui ?
Banques centrales, vertu et inflation !
Bilan sinistre de la présidentielle 2022
Affaire McKinsey : vrai et faux scandale
Premier chèque pour la Croix-Rouge sur le compte d'aide aux réfugiés Ukrainiens
Les prélèvements ont cru 20% plus vite que le PIB en 2021 !
Dignité et indignation
Emmanuel Macron : une démagogie sans limite et extrêmement dangereuse
Opération Solidarité avec les réfugiés ukrainiens
Connaissez vous le ZAN ?
Impuissance de la vérité ?
Invasion de l’Ukraine : la fin de la récréation en France.
Les Français qui s'opposent à Emmanuel Macron sont-ils vraiment des malades mentaux ?
La Suisse et la crise sanitaire. Petite comparaison avec la France.
Bureaucratie française malfaisante : une exemple pédagogique pour les incrédules
La France en mode « avatar ».
Une facilité condamnable : décharger et défiscaliser des revenus sans toucher à la dépense.
Comprendre la destruction bureaucratique de la France
Avons-nous doublé le PIB français entre 1980 et 2021 ?
L'aspect essentiel de la crise des services publics français
Catherine Nay : un livre indispensable
Lettre persanne
Petit voyage au coeur de la grande désinformation
Pourquoi ne pas réformer le droit de grève
Les services publics à la française, Moloch impuissant et ruineux. Pourquoi ?
LR - Zemmour. Pour qui sonne le glas ?
La vraie question sur l'avenir de la France
Architecture, énarchite et bureaucratie délirante
Sélection LR : les aspects regrettables du débat sur BFM
Un commentaire sur le livre "Sortir du Désastre"
Le très révélateur rapport écolo de RTE
Sonnez Buccins,résonnez Trompettes : un nouveau service public est créé en date du 1er janvier 2022
L'ère du totalitarisme de l'imbécillité
Quand l’indécence bureaucratique et énarchique s’étale sans vergogne
Plus les chiffres sont gros, mieux ça passe !
Elections : Le retour des énormités dans l’argumentation économique
Les nouveaux eldorados français sur argent public
Bernard Tapie et une exemplaire élite
La dépossession totale de la France de sa politique énergétique
Le duel Minc-Zemmour symbole de la tourmente française
"Super Pinel" , Hyper Bureaucratie, Népotisme énarchique
En lisant Marianne…
La montée de l'intolérance
L'épouvantable article de Jacques Julliard dans le Figaro
Les limites du discours d’Éric Zemmour et les risques d’une candidature présidentielle
Les paniques émotionnelles provoquées, fléau d’une civilisation sur-désinformée.
Un anniversaire bâclé : la destruction des Accords de Bretton Woods.
Emmanuel Macron, la communication, la science et les Français
Le détestable "système Hidalgo"
LR : comment empêcher le retour de la « machine à perdre » ?
Le climat : un danger pour l’économie ? Moins que l’idée d’une économie totalement décarbonée !
Sortir du désastre présentation Video
De quelques tares de l’époque et de l’analyse du Pr Maffesoli
Un nouvel âge de déraison ?
Élections régionales : l’effondrement dans le ridicule et la honte !
Retour de l’inflation et assèchement administratif des liquidités
L'excellent livre du professeur Peyromaure
La fausse réforme de l’ENA
La fin d'une certaine idée de la France suite
La fin programmée d'une certaine idée de la france ?
Quelques paradoxes de l'époque
Pour ne pas l'oublier : petite histoire d'une semaine épatante (11 au 18 janvier 2021)
La France face au drame Macron
Les dures leçons de l’année 2020
Le livre de Michel Hau et Félix Torrès, « Le Virage Manqué », entre décapages et dérapages
Il y a 11 ans : le H1N1
Les exactions monétaires américaines continuent
Giscard et les aléas de la "modernité"
Les dures leçons de la crise sanitaire
Onfray, de Gaulle et Mitterrand, bonheur de lecture
Naufrage français et mal-gouvernance
Défausses et des fosses
France : le drame s'installe
Paris : la Capitale déclassée dans l'indifférence générale
Les banques centrales tentées par la monnaie numérique.
Covid : il n'y a plus de gouvernement ! Macron seul sur sa planète narcissique.
Retour de l’inflation ? Une possibilité sérieuse, si…
Harcèlement contre la médecine libérale
Un scandale honteux : quand la grande presse nationale baisse pavillon devant l'Enarchie
La France est-elle en train de créer une magnifique industrie de l'éolienne ?
La farce du "Ségur de la santé"
La France peut-elle redémarrer ? Le poids des tares anciennes
La France peut-elle redémarrer ? L’empêchement écologique.
La France peut-elle redémarrer ? Une vue d'en-bas.
Le piano et le tabouret
Quelques leçons de la plonge dans les restaurants parisiens
Dégringolade
Le « système » français est-il structurellement « corrompu » ?
Les Enarques face à la contestation de la bureaucratie française
Revenu moyen des Français : le même qu'en 1980
Quelles leçons tirer de la crise pour les Agences régionales de santé ?
La défaillance française de production médicale
Le gouffre
Pensées et attitudes françaises à mi chemin du confinement
Emmanuel Macron : le vide et le Covid !
L’Union Européenne et l’exploitation du virus Sars-cov-2
Sauvy ! Reviens ! La réflexion démographique se meurt, comme la natalité française !
L’Etat Moloch français, impuissant et dépassé. Pourquoi ?
L’étonnante convergence des idées économiques et monétaires saugrenues
Supplique d'un Parisien
« Le socialisme immobilier », plaie de Paris
La campagne municipale à Paris : vers une nouvelle redistribution des votes ?
2019 : L’année du Grand Ressentiment ?
Le mystère de Macron’s Island
Un bilan de l'entrée de la Chine dans l'OMC
La France et l'Argentine
Un SCHEMA explicatif fondamental
Comment on a démoralisé les Français
En regardant les défilés qui passent
« Il pleut de la boue »
Un cycle infernal français : démagogie, dépenses publiques, dettes, communication niaiseuse,
Hommage à Sylvie Kaufmann
Pourquoi il faut interdire la LIBRA
Pik(pock)etty – saison 2
Actualité saisissante d'un livre de 1934
Pompidou, Chirac, Giscard et la naissance de l'Enarchie Compassionnelle (suite)
Jacques Chirac et l'Enarchie Compassionnelle
Octobre 2019. Quelques Instantanés (Suite)
Octobre 2019 : quelques instantanés significatifs
Monnaie : les analyses désespérantes des économistes appelés par les médias
Le journal Le Monde face à l’éclatement des dogmes économiques
Le grand tournis monétaire et l'hélicoptère à fumiste
L’appel d’Alain Minc à un sursaut de la réflexion économique
Greta Thunberg : l'interview fondamentale.
Un spectacle rare : l’explosion en plein vol d’une idée dominante trompeuse et abusive
Désarroi et controverses sur le système monétaire
Unibail sur Seine – Quand Paris n’est plus Paris
Le 75ème Anniversaire des Accords de Bretton Woods
Ça pleurniche de partout.
Chassez la monnaie, elle revient au galop !
Nouveau livre de Didier Dufau : La Monnaie du Diable 1919-2019. Opération spéciale en avant-première
Loi Elan : le grand bond (immobilier) en arrière
Elections européennes -Synthèse des résultats
Monnaie et commerce : quand l’ignorance effondre le débat public !
Quand l’Allemagne dit non… à l’Euro !
Que s'est-il passé en France de 2012 à 2019 ?
« Contre le Libéralisme » d’Alain de Benoist
Haro sur le libre échange !
Enarchie Compassionnelle – Le faux projet de réforme
La Monnaie du Diable : le sommaire
Les trois manières de voir l’Europe, dont deux sont actuellement caduques
Une campagne pour les Européennes totalement décalée des enjeux
Annonce du prochain livre de Didier Dufau : La monnaie du Diable
Quelques leçons du phénomène des Gilets Jaunes
Psychodrame autour de Jean Monnet et des "pères" de "l'Europe des Etats-Unis"
Le Grand Débat : Un exemple au cœur de la « démocratie de l’informe ».
L'affligeant spectacle médiatique de certains économistes universitaires français
Les prochaines élections européennes en dix questions
L’opportune confession d’un haut fonctionnaire macroniste
La leçon de Thiberville
2018 : l’explosion des contradictions !
Craquements
Gilets jaunes, urbanistes, géographes et sornettes
Trois Vœux dans l’esprit du temps
Gilets Jaunes Supplique N°2
L'Eurosystème : 20 ans (et pas toutes ses dents).
La faute première d’Emmanuel Macron
Ce qui doit arriver arrive
La première défaite de l’Énarchie Compassionnelle
Supplique
Faut-il traiter la Chine en interlocuteur "normal" ?
L’histoire contemporaine : disruption ou continuité ?
Gilets Jaunes et Énarchie Compassionnelle
Agnès Verdier-Molinié : « en marche vers l’immobilisme »
Laurent Obertone, et la fin programmée de la France blanche
Éric Zemmour, le destin français et l’économie
Hidalgo : la prise en grippe (espagnole)
L’effondrement de la gouvernance politique
Impôts à la source : une réforme mal intentionnée ; le symbole d’une France perdue ;
Macron : une politique économique obscurcie par l’électoralisme
La fin de l'économie politique française ?
Un anniversaire saumâtre : le déclenchement de la Grande Récession
Rachat d’actions par les entreprises en économie baudruche
Le New York Times est-il devenu socialiste ?
Deux expériences socialistes très pédagogiques
Défis de la réforme de l’enseignement de l’économie au lycée
Commerce extérieur français en déficit : une surprise ?
Nature du Bitcoin et avenir des jetons Internet
Ce blog a dix ans
Trois exemples de ce qui ne va pas en France.
Le Monde : un article "collectif" d'économistes officiels décalés des vraies réalités et problèmes
Le rapport Landau : du lait aseptisé pour bébés
Macron : la difficile levée des hypothèques électoralistes
Grandes écoles : une enseignement économique problématique
Avis aux jeunes socialistes, vraiment socialistes
Monnaie et libre échange
L’impuissance de M. Macron dans l’affaire Trump
Deux mots à Paul Tucker, ancien banquier central.
Des maux d’origine monétaire traités comme des gros mots
Petit rappel en passant
La France en plein syndrome albanais
Le TFTEA est entré en action. Les Etats-Unis ont gagné
Une présentation (très) troublante
Argentine : monnaie et mensonges
Des idées qui progressent
Mai 1968 et la monnaie
La prétendue « sécession » des « zélites mondialisées »
L'Administration française à l'épreuve de la digitalisation
Macronisme : un curieux fond de sauce
La maladie de la cagnotte
Le droit de propriété immobilière en déshérence
Observations sur la répression des inégalités de salaires "genrées"
Retour de l’ambiance des années trente ?
Les causes du drame de la SNCF
Le péché originel d’Emmanuel Macron
Une erreur récurrente des écologistes
Du transistor à la TNT et à Internet : histoire d’un abaissement médiatique consternant
Hommage à Agnès Verdier Molinié
L’étrange année 2017
Les Intouchables d’État de Vincent Jauvert - Robert Laffont
En écoutant Louis Gallois
L’Énarchie en (in) action
Un aspect du drame français : l'agriculture
Crypto-monnaies : entre hystérie et innovation.
Vous avez dit « expérimentation » ?
Les leçons des difficultés d’Uber
Quand les économistes anglo-saxons viennent à nos thèses
Le cycle décennal a-t-il disparu ?
“Dieu se rit des hommes qui déplorent les effets dont ils chérissent les causes.”
À propos du livre « Déflagration » de Patrick Stefanini
L’émotion passe à droite
La pauvreté et immigration de pauvreté
Réponse à une question sur la vocation de ce blog
"Plus cela change, plus c'est la même chose"
Emmanuel Macron et la CEDH : hauteur nécessaire ou rafistolage ?
Les Énarques compassionnels : de sacrés fortiches
En écoutant Éric Zemmour
Le racisme social hystérique, une dimension bien française
Un Fonds Monétaire Européen, pour quoi faire ?
Alerte rouge sur le Bitcoin
La diagonale du flou.
Les Républicains : quelles orientations dans une France plus étatisée que jamais ?
Macron : prisonnier de son conseiller économique ?
La lancinante question européenne
L'économie vue par des nuls. L'exemple de Libération.
Le désastre Hidalgo. Le livre "Notre Drame de Paris" est en dessous de la vérité
Plan Macron : accords et désaccords
Le retour du complexe de Zorro
Le régime des travailleurs détachés : un psychodrame révélateur
Lord Adair Turner : l’erreur comme un grand art politico social
France : encore des statistiques accablantes.
Anniversaire du blocage financier de 2007 : toujours les mêmes erreurs
En relisant « La mondialisation heureuse » d’Alain Minc
Note de conjoncture - juin 2017
Edmund Phelps : « La Prospérité de Masse » - Odile Jacob
La minirébellion de trois économistes bien en cour
Pris au piège de la démagogie
L'économiste, la démographie, le planning familial et l'avortement
Deux lois bien intentionnées mais loin du compte : 1 – la pureté des Parlementaires
Deux lois bien intentionnées mais loin du compte : 2 – la nouvelle loi sur le travail
Le vrai problème de la France
Enarchie : le sinistre retour aux vieilles habitudes
L'équilibre des retraites privées retardé de 20 ans
Le "macronisme" vu d'un pays voisin
Échec de l’économisme ou échec de l’économie ?
Saint Macron : de l’ivresse électorale aux conséquences de la démagogie
Statistiques : éviter le fétichisme autour des chiffres annoncés dans la presse
Une merveille de pronunciamiento !
Les impôts - Histoire d'une folie française de Jean Marc Daniel
Premier bilan des présidentielles
L’Euro : le mistigri de la campagne présidentielle
Un débat présidentiel ? Vraiment ?
Les vraies causes de l'asthénie française
Présidentielles : un vote modéré, mais...
Le journalisme bananier
La réforme fondamentale (fin)
La réforme fondamentale : les déséquilibres intra zone euro
La réforme fondamentale (suite)
La réforme fondamentale, base de toute diplomatie de la prospérité
Démocratie de basse saison
Présidentielles 2017 : Les quatre propositions démagogiques les plus basses
Brice Teinturier et les noirs reflets de la démocratie française.
Le coût délirant des erreurs monétaires
La seconde explosion du pseudo système international des paiements et des échanges
L’organisation de l’Europe, clé du débat présidentiel ?
Non au gouvernement des juges !
Deux mots à Charles Gave sur son rapport prônant la destruction de l’euro
Le moral des Français en 2017
Que penser du programme Macron ?
Comprendre les dangers et l'incongruité du TFTEA Clarifions certains points.
Pire que le CETA, le TFTEA
La tragique actualité d'Alfred Sauvy
Trump : une dénonciation raisonnable des énormes déséquilibres mondiaux ?
Des chiffres catastrophiques
L'Enarchie contre la République
Le livre de J. Généreux : la DéCONnomie
Le dernier livre de l'IFRAP : "Ce que doit faire le (prochain) président"
Guy Sorman : "J'aurais voulu être français"
En écoutant Patrick Artus.
En finir avec la banque universelle française
Socialisme : la décomposition délirante
Un petit exercice d'économie amusante
Quand l'Allemagne s'inquiète pour son Mittelstand…
Les naissances françaises en chute libre
Une hystérie bien française : la santé gratuite !
Macron : une anguille à la sauce hollandaise ?
Qui doit créer la monnaie ?
La grande surprise des récentes élections
Changer la "globalisation" ?
Les charges sociales dans la tourmente des élections présidentielles
Attention à la colère des peuples !
La grande valse des tabous économiques
Le livre d’Aude Lancelin : plongée profonde chez les journalistes morts-vivants.
Le CETA c'est assez !
En écoutant Christine Lagarde
En écoutant Claudia Buch
Vous avez dit "libéralisme" ?
Trois conseils aux candidats qui sont trois avertissements aux électeurs
La droite de gouvernement au feu des primaires
L'économiste "mainstream" et le garde rose
L'économiste et le garde noir
OMC : une erreur tragique de diagnostic
La crise en riant !
Bruno Lemaire : le concept problématique de "contrat présidentiel"
Le faux combat entre Keynes et Milton Friedman
Le million de lectures dépassé sur ce site
La tentation toxique de la pensée "animiste" en économie
Le Baltic Dry Index ne mentait pas
Faut-il supprimer l'ENA ?
Le libre-échange remis en cause ?
Joseph Stiglitz et l’Euro
La prospérité s’organise
Rencontres économiques d’Aix en Provence : une certaine pusillanimité.
Stagnation économique mondiale : l’impatience monte au Figaro !
Les Américains commenceraient-ils à réaliser que la crise existe ?
La France face à la crise - les 8 dernières années
Economie et médias : dix souverains poncifs.
La subsidiarité : un faux concept et un vrai évitement.
Michel Rocard : l’enterrement d’une illusion
La fin de la vision rooseveltienne du monde ?
France et Royaume-Uni : des situations similaires
Réformer le droit de grève en France
Hommage à Raghuram Rajan
A propos du Brexit : la Liberté se chérit mais les libertés s'organisent
Blocage accidentel du site
Place de l'économie dans les élections présidentielles
Programme économique présidentiel et méthode associée
Le PIB : le pire indicateur de conjoncture (2)
La droite étouffée par la droite
Monnaie et commerce international : les deux règles fondamentales
France : les mots qui tuent l'action
Hollande : une sinistre fin de règne
Jean Tirole : un prix Nobel pour rien ?
En lisant Jacques de Larosière
Le système de change actuel ruine la société...
J. Peyrelevade : un éclair déchire le ciel bleu de l’Enarchie
France 1974-2015 : les leçons d'un désastre.
Crise : un meilleur diagnostic officiel ? Enfin ?
Retour sur le chômage structurel en France
La sortie de crise n'est pas pour tout de suite
Economie, primaires de la droite et élections présidentielles
Du Canard enchaîné au cygne martyrisé
Des chiffres terrifiants mais significatifs
Expédients
Deux mots à Bruno Lemaire
Quelques aspects cachés de l'indemnisation du chômage
L’inaction : une maladie française ?
Une question
Le journal Les Echos analyse la crise.
Attention ! Ce qui doit arriver arrive.
Hollande et Sarkozy entre pathos et achat de vote
La France, entre blocage et utopies.
Le Club Périclès et les « cent premiers jours »
L'action du Cercle des Économistes E-toile en 2016
Que faire du privilège EDF-GDF du 1% ?
Christine Lagarde doit-elle être reconduite à la tête du FMI ?
Statistiques du site
Baltic index : Est-il significatif ?
In Memoriam
Le Baltic dry index au plus bas historique
"C dans l’air" : l’art de commenter sans jamais expliquer
Anatomie du pathétique en économie
Sus aux « contractionnistes » !
2015 : une nouvelle année « Hollandibilis ».
Deux leçons perdues des accords de Bretton-Woods
L'Etrange Désastre -Presentation au Presse-Club de France
Après les "Européennes", quelles chances politiques d'un redressement économique ?
Une folie : la non garantie des comptes bancaires
Ben Bernanke : Des "Mémoires de crise" sans aucun intérêt
Ce qu'on disait en 1947.
La banque de dépôt en pleine tourmente
Commande du livre "L'etrange desastre" de Didier Dufau
Les économistes américains découvrent (enfin) les méfaits de la dette massive
Suzeraineté américaine et mentalités
Deux illusions tenaces
Neuf mois après « l’alignement des planètes »…
L'émission Zemmour & Naulleau en grand danger
Retour sur ce que disait l'Express en septembre 2009 pour juguler la crise
Pour une diplomatie de la prospérité !
Une erreur majeure de perspectives
Une pétition déshonorante
"FAIRE", le livre programme de François Fillon , dans la conjoncture politique actuelle.
En Grèce : La victoire électorale de Tsipras
Une émission stupide et malhonnête sur Arte
Parution du livre de Didier Dufau : L'étrange désastre - Le saccage de la prospérité
La fonctionnarisation de la France depuis 1973 : une fausse solution.
Economie du désespoir et désespoir de l'économie
Trois chiffres
Fiscalité politicienne et Constitution
Comment on enseigne n'importe quoi !
Les changes à nouveau en folie.
Pour une chancellerie de la zone Euro
En relisant les mémoires de J. Chirac
Que faire de la zone Euro ?
Ce qui doit arriver arrive !
Vous avez dit démocratie
L'art de dépouiller le citoyen
Economie et politique (2) : les socialistes
Grèce : Zeus aveugle ceux qu’il veut perdre.
Economie et politique (1): Les Républicains
L'étrange malédiction de Valéry Giscard d'Estaing
Une réforme radicale de l'école
« C dans l’air » en apesanteur économique
Note de conjoncture
En finir avec la banque universelle ?
Retour vers le futur : 1987 !
Quand Le Monde prend un bon virage
Après l’Argentino, l’Ellenikos ?
Mixité, Parité, Gratuité : attention danger !
Roustes électorales et fiscalité
Faut-il le leur dire en vers ?
Le bilan économique de 2014 s'affine
Deux mots sur la dette française
Réflexion sur le SMIC (suite)
Le rapport sur la dette du cabinet McKinsey
Réflexion sur le SMIC
Un chiffre à connaître...et à méditer
Comment réformer les systèmes monétaires dysfonctionnels ?
Quand la BCE finit de manger son chapeau allemand
2015 : pour qui sonne le glas ?
Les Français ont bougé. La France bougera-t-elle ?
Contresens sur le concept de "zones monétaires optimales"
2015, entre euphorie et ressentiment
Tuez le chèque gratuit ? Pas seulement...
La France et les deux faces du Dieu Hermès
Profil conjoncturel de la crise
Mammouth étatique et hyper fiscalité : qui nous en débarrassera et comment ?
Une leçon de la chute des prix du pétrole
SNCF : une déliquescence tragique.
Une autre erreur économique commune
La fausse "exemplarité" du marché des devises
François Hollande : de la désinvolture à la transgression.
L'état du monde en octobre 2014
A propos de deux succès de librairie (Zemmour-Treirweiler)
Aphorisme fiscal
Faut-il vomir les « élites » ?
Xavier Fontanet : « Pourquoi pas nous ? »
Expédients ou vraies solutions ?
Scènes de la vie parisienne
Pantalonnade
Trois drames en cours.
La France au bord de la falaise grecque ?
Rentrée 2014 : les Français sidérés.
M. Hollande : "J'aime la droite". Vers un gouvernement Valls 3 ?
Le Grand Mensonge Immobilier
L'économie baudruche
Les propos de Paul Volker sur l'esprit de Bretton Woods
Langue de bois à la BRI et économie-baudruche.
L'économie à l'abandon
La croissance en (faux) procès
Nouvelle poussée du lectorat de ce blog
Crise économique, guerres et révolutions.
Le faux effondrement de la productivité
Une erreur économique commune mais profonde
Le grand tournant de 1988 !
Pénibilité intermittente et intermittents pénibles
Conjoncture mondiale flageolante
Vent de panique à Bercy ?
Les élections au Parlement Européen en 10 questions
Eloge de l'écluse
Effectif municipal comparé Paris et Tokyo
Crises périodiques et inégalités
Indécrottables ?
BCE : le mille-feuilles après le champagne !
L'Euro et le déficit d'organisation de l'Euroland
L'Union Européenne et le déficit démocratique
L'exonération de charges : une fausse solution
Mario Draghi et le cours de l'Euro
Sociologie du nouveau gouvernement
Mauvaises nouvelles (suite)
Prévoir les crises ou bâtir des scénarios ?
Sexe des anges bancaires européens et risques systèmiques
Croissance, vous avez dit croissance ?
Paris : un déclin programmé ?
Mauvaises nouvelles
Le coût économique en Occident du socialisme violent
Chomage : le pire est arrivé. Pourquoi ?
Devises : un faux marché !
Dépenses publiques : les cinq non-dits
Big bang ou big flop ?
500.000 lectures sur ce blog
RSA : la double escroquerie
2013 : l'« annus hollandibilis »
Le blocage incompris du marché interbancaire Chinois
Quand Mario Draghi joue à Trichet...
Un très grand livre
Un article imbécile mais typique
L'importance négligée de l'Ukraine
Paul Krugman : brutale arrivée au "terminal des prétentieux" !
Europe : la farce de la subsidiarité !
Des idées qui font leur chemin ?
Voltaire et l'éco-taxe
Le centenaire oublié
Désastreuse unanimité !
La révolte des « bonnets rouges » : un tournant ?
Echos de la "Mhollandie"
Le FMI : pyromane devenu pompier ? Même pas !
Hollandisme : l'analyse de Louis Pauwels !
La "gratuité" de la vie instaurée en France. Enfin...
François Hollande : trois fautes qui augurent mal de la suite
Dettes : requête à l'Insee, à Eurostat et au FMI
J.C. Trichet - Un article au Monde tellement révélateur
Quelques chiffres significatifs
Une si jolie petite crise de changes !
Le hollandisme : sinueux ou destructeur ?
Tout sauf Summers
Questions d’actualité – 22 août 2013
Mondialisation et fiscalité : éviter l'hystérie nationaliste !
Fréquentation de juin 2012 à juillet 2013
Qu'est-ce qu'une monnaie électronique ?
Bêtise et sottises
La France est mal arrivée
Les Frac et les lois de Parkinson
Le démon du bien
Mai 2013 : note d'ambiance
ISF : ils avaient bien menti !
La triomphale première année de M. Hollande
L'étrange nature du dépôt bancaire
Que faire de la SNCM ?
La crise, les experts et la télé
Margaret Thatcher, Jacques Delors et l’Euro : le malentendu
Le démagogue et la PME
En lisant M. Lemaire
La grande tristesse des étudiants français en économie
Choc à Chypre !
Super-Mario vs super-Mariolle ?
La terrible réalité française
La France : un pays socialiste ?
L'impayable Monsieur Peillon !
Zbig Brataniec : "Je suis inquiet pour la France"
Quelle organisation nouvelle pour la zone Euro ?
Changes et libre échange
Honni soit qui Mali pense ?
Une poussée de lectures significative (2)
Bilan 2012 – Perspectives 2013
Une fausse réforme bancaire
François Baroin : léger, léger, léger…
Nouvelle supplique à l'INSEE
Le mensonge
Champagne à la Kaiserstrasse !
Deux mots à la revue Commentaire
Laurent Mauduit et les "économistes imposteurs"
Les craques des "Gracques"
UMP : une tension normale
Le voyage au bout de la nuit
Cotisations sociales : charges ou salaires ?
La Chine et l'or
Le cycle : mythe ou réalité ?
Jour de Vérités
La transcription des débats de Bretton Woods retrouvée
Un billet d'humeur
Un débat et une prévision de 2009 vus avec quatre ans de recul
Le TSCG : nécessaire mais insuffisant !
Contradictions
Un début de révolte des économistes officiels ?
Deux mots à M. François Fillon
Enrichissements abusifs et richesses légitimes
Eviter la dépression : VITE !
Une nouvelle erreur à la mode
Fonctionnaires : une victoire à la Pyrrhus ?
Taxation des transactions financières : la farce continue !
ISF : la névrose fiscale qui détruit le Pacte Républicain Français
En relisant Raymond Barre
Un document explicite de mai 2007 : la crise était bien prévue !
Euphorie, inconscience et procrastination
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La science économique en défaut ?
Hommage à Christian Saint-Etienne
Les limites de la méthode Hollande
Remarques sur quelques propos récents d'économistes
Châteaux en Espagne
Les thèses du Pr. Antal Fekete
Economie et politique
Le chômage structurel en France
L'oeuf, la poule, la crise et les droits de l'homme
Palmarès des incapables : deux mots à Franz Olivier Giesbert (FOG)
La panique s'installe
Une analyse brève du scrutin présidentiel français
La crise ? Connais pas !
Elections, sociologie et nécessités nationales (2)
Elections, sociologie et nécessités nationales (1)
Les deux non-dits du premier tour
Collectif d'économistes en faveur de Hollande : opportunisme ou imposture ?
Monnaies et banques centrales
Crise, Etats, Nation.
Pendant les élections la crise continue (bis)
Dans une semaine "normale" :
- Pas d'accord sur la Grèce où la dette s'envole sans retour avec nos dizaines de milliards de caution, ce qui est dans l'ordre "normal" des choses"
- Nouvelle dégradation de notre "note" avec perspective négative, ce qui ne peut pas être considéré comme non "normal"
- Pas d'accord à Bruxelles sur le budget européen en croissance anormale , ce qui dans un contexte marqué par la rigueur"normale" dans chaque pays participants est "normal".
- Démontage "normal" par le gouvernement normal du camp protestataire normal mis en place pour empêcher normalement un projet normal d'un aéroport, qu'on devrait normalement appeler "aéroport normal Duflot".
M. Zemmour qui est un commentateur politique normal explique que Copé, grâce au petit pain au chocolat, a normalement contré Fillon, icône normale des "élites mondialisées", féminisées et devenues centristes et incapables de sentir le peuple.
Vous mêmes qui êtes des économistes normaux trouvez normal que le mépris absolu des grandes questions normales du pays conduise à une impasse électorale même dans le cadre d'une aussi petite élection que celle d'un président de parti.
Pôvre militant d'un parti sans laisser d'adresse, pôvre citoyen d'un pays en deshérence, pôvre européen d'une Europe en voie d'effondrement, pôvre humain d'un monde qui ne tourne pas rond ni ovale, vous me permettrez de penser que tout le monde est devenu fou et qu'on marche sur la tête.
A droite avec ce qui se passe, on risque d'attendre longtemps avant que quiconque puisse passer au confessionnal et commencer à réciter un autre crédo que "Moi Je, président de l'UMP".
A gauche "Moi Je, Président", va être obligé d'ondoyer sous la force des nécessités. Il se passera une éternité avant que les 7 questions posées aient une réponse claire.
Pendant ce temps là, la France commence à s'effondrer et les tensions vont s'exacerber.
La vérité est purement politique au sens le plus bas du terme. Copé a manipulé le système électoral en profitant de sa position administrative dans le parti. Il ne l'a pas fait qu'un peu. Si un jour on sait vraiment ce qui s'est passé on constatera qu'il a tripatouillé plusieurs milliers de votes. Son positionnement n'avait qu'un seul but : donner une apparence militante à une manipulation. Son équipe, constituée de doublures et de médiocres, pour ne pas dire de véritables minables, avait également le même but : faire croire que son élection était le fait des "petits", des sans-grade, des "vrais" militants, opposés aux "notables".
C'est la raison pour laquelle il a changé de cap aussitôt après son apparence d'élection. Et qu'il s'est proposé en meneur des réflexions de fond nécessaires à la construction d'un programme électoral.
Les commentateurs politiques cherchent toujours peu ou prou une logique dans des évènements politiques qui sont souvent purement politiciens et masquent le fond des choses plutôt qu'ils ne le révèlent.
Les commentateurs politiques ont par exemple trouvé que les dernières élections présidentielles ont été positives et révélatrices. Tout le monde a vu qu'il s'est agi de la pire élection politicienne possible où toutes les difficultés nationales ont été masquées aussi bien par le clan Sarkozy que par le clan Hollande.
Vous voyez du fond là où il n'y a que des masques.
Vous avez raison de mettre en avant les "sept péchés capitaux". Tous ces sujets sont en effet la toile de fond de l'avenir français et européen. Vous avez tort de croire que ces idées seront jamais portées par les clans politiques. Ils feront tout pour éviter toute clarté. La clarté est politiquement trop dangereuse.
La Liberté de pensée est le dernier soucis des électeurs. Ils veulent eux mêmes éviter tous les sujets qui fâchent. Il faut être gentil. Avec tout et tous. Les minorités,étrangères à l'ancien consensus national, doivent être sacralisées. Plus de tension svp.
La République est captée par les énarques ? Et alors ? Ne sont-ce pas les mieux formés pour gérer de façon neutre les affaires publiques ? Evitons les réalités sociales françaises qui sont souces de tension.
La crise ? C'est notre faute. Bénissons le ciel de nous punir. Cette croissance oiseuse qui détruit la planéte et les petits oiseaux ; ce report sur les générations futures de nos paresses et nos soins, c'est mal. La France est le pays des pénitents.
L'Europe ? C'est le bien , l'Europe, la fin d'un nationalisme nécessairement étroit et criminel. Vite du vrai fédéralisme et payons pour tout ce qu'on nous demande.
L'Euro ? C'est le bien l'Euro, si symbolique de l'union des peuples, comme Schengen. On doit souffrir pour l'Euro dont Delors dit aujourd'hui même dans la presse que c'est le chemin de l'union nécessaire, le précurseur obligé de la vraie union européenne. Cela fait mal ? Mais c'est pour notre bien.
La fiscalité ? Bien sûr on a plumé tout le monde et un peu plus que les autres les familles aisées. Mais c'est bien. C'est le bien. Elles seront toujours plus riches que les pauvres. Il faut être gentil avec les pauvres. Payons mes frères.
Le socialisme ? Il a commis les pires crimes. Il pousse aux pires sottises. Quelle importance ? Il suffit de ne pas regarder. Etre verbalement pour les masses populaires et non pas pour les élites bourgeoises est nécessaire. D'abord pour éviter la révolution. Sacralisons donc le socialisme pour éviter la révolution. Nos petits vieux ne veulent pas de révolution.
Toutes ces fadaises sont colportées aussi bien à droite qu'à gauche.
Les politiciens sont obligés d'en tenir compte. D'où les masques. Les ambitions personnelles qui sont la base de la prise du pouvoir politique n'ont strictement aucun rapport avec les nécessités nationales, européennes ou autres. Ce sont des jeux de rôle, pilotés par des spécialistes de la communications, où l'on saute de bonne conscience en voeux pieux, de révérences pour les causes et de pleurs pour les conséquences.
Le chômage explose ? L'Euro implose ? Le monde repart sans nous ? Notre industrie disparait ? L'avenir de notre jeunesse est menacé ? Les retraités sont en danger de paupérisation ? Notre culture s'évanouit ? Nos joyaux hérités du passé passent dans des mains étrangères ? La clochardisation de la société progresse inexorablement ?
Les Français s'en moquent. Il faut être gentil et pénitent. Donc les politiciens s'en moquent.
Vous aurez toujours plus de lois liberticides ; plus de captation de la République ; moins d'explications sur la crise globale ; aucune contestation des mécanismes faussés de l'Union européenne ; aucune vraie réforme de la zone Euro ; un culte aggravé de la fiscalité confiscatoire ; et une énamouration sans jugement pour le socialisme qui n'aime pas les riches.
Ce pays de vieillards veut du consensuel. Au prix de sa mort économique et culturelle.
Nous assistons à un suicide en direct.
Les politiques ne font que refléter la tendance. Le suicide en direct de l'UMP est en congruence avec celui de la Nation.
Ce qui étonne c'est qu'il y est encore un site français qui aille à rebours de ces évolutions. On n'ose pas trop vous dire Bravo ! Car c'est un combat perdu d'avance.
Bon courage tout de même.
Terrible commentaire que le vôtre, à joindre à la liste des ceux que le "billet d'humeur" de notre ami Sylvain avait suscité.
Il m'ennuie dans la mesure où je crains que vous n'ayez raison.
Promouvoir la liberté d'expression ? On voit bien qu'il y a "des vérités interdites" ou qu'on s'interdit de dénoncer des anomalies criantes pour montrer sa sympathie pour telle ou telle minorité maltraitée dans le passé. Toute transgression vaut des remarques attristées ou des accusations haineuses. Pourtant le débat est une nécessité presque constitutionnelle en France.
Promouvoir la république et lutter contre toutes les formes de captations ou d'oligarchie devrait paraître naturel. Mais non. C'est aussitôt vu comme une forme de poujadisme honteux.
Remettre en cause des formes inefficaces d'organisation internationale parait un exercice sain et nécessaire. Pas du tout si on met les pieds dans des plats qui ont leur officiant bien calibrés. On n'est discernable que par ses appartenances, pas par ses idées ou ses observations. Ayant exprimé devant une assemblée d'économistes anglo-saxons les réserves que nous inspirent les changes flottants, nous eûmes droit à quelques égards même si on prenait leurs conceptions à contre pied. Le même propos devant des économistes français suscita des critiques étonnantes soit d'anti américanisme forcené soit de non appartenance coupable au clan des keynésiens socialisants !
Indiquer que l'Union Européenne part à la dérive vous vaut aussitôt de la part des fédéralistes des remarques incendiaires. Il faut plus d'Europe, plus d'Europe, plus d'Europe. Essayer de montrer qu'on peut aller vers plus de respect de l'opinion des peuples et plus de démocratie devrait être un exercice apprécié. Pas du tout. Vous devenez un ennemi.
Montrer que l'Euro était une mauvaise idée mais qu'on pourrait en sortir par des changements intitutionnels importants vous vaut aussitôt la vindicte des europhiles et le mépris des europhobes.
Affirmer que la folie fiscale est un meurtre national absurde vous vaut aussitôt des réactions de haine de ceux qui considérent qu'il est excellent et normal que le fisc garde les dents serrées sur la gorge des familles aisées. Pourtant il est sain et raisonnable d'indiquer qu'il n'y a aucun avenir possible si on prend 100% du revenu de certains citoyens (et qu'il s'agit d'une rupture républicaine) et si les prélèvements représentent 100% de la production du secteur marchand.
Signaler le caractère singulier d'une France qui reste seule, avec la Corée du Nord, la Chine et Cuba, à révérer le socialisme violent vous vaut aussitôt des diatribes insensées : individu d'extrême droite, fasciste, etc. Pourtant il n'y a rien de plus normal et de plus nécessaire que de dénoncer les idées qui on été à la base de massacres qui représentent aux derniers décomptes 15 Shoah. Il n'y a pas de bons et de mauvais génocides. Et l'échec du socialisme réalisé doit être compris et porter leçon. Pourquoi la France devrait être le pays où il y a 5 partis trotskistes ou communistes avec un Front de gauche pratiquant des formes de "racisme social" totalement inadmissible ? Est-ce sur ces idées là que nous construirons un avenir ?
Une France volontaire et positive, valeureuse et ouverte, ne peut pas s'enfermer dans un régime oligarchique tenu par une poignée de hauts fonctionnaires, ne peut pas fermer tous les débats au nom d'une volonté de n'indisposer personne, ne peut pas accepter un système de relations commerciales et monétaires qui conduit à des crises économiques terribles et au ralentissement de la croissance mondiale, ne peut pas accepter un système européen totalement coupé des peuples et de la démocratie, ne peut pas se satisfaire d'une déflation hargneuse comme mode de gestion de l'Euro, ne doit pas accepter la spoliation fiscale là où il faut la contribution, dans un contexte de dépense publique aberrante, ne doit pas se complaire dans l'idée que la France est le seul pays qui fait fuir ses citoyens compétents, et ne doit pas se signaler comme le dernier espace où on voue un culte particulier et presqu'exclusif à un socialisme qui a commis des actes regrettables et qui ne mène nul part.
Cet enfermement est identique à celui du malade de la maladie de Parkinson : on subit stoïquement en ne pouvant pas bouger.
Vous nous dites : ce sont les Français qui veulent celà, pas les politiques. Ils adorent les politiques qui leur font le pire mal et qui signe la mort à terme de leur nation.
C'est une religion d'autant plus terrible qu'elle est basée sur les bons sentiments. L'enfer est pavé de bonnes intentions.
Vous nous dites que personne ne voudra changer et que tous vilipendront ceux qui dérangeront leur confort intellectuel, même si la ruine et l'insignifiance nationale est au bout.
Au fond nous ne serions que des apostats d'une religion incertaine du type "tout le monde il est beau, tout le monde il est gentil" et nous ne mériterions que des propos outrageants, là où nous nous voyons comme de gentils observateurs prêts à rendre service à la communauté.
Disons le clairement : nous continuerons.
Renoncer aux libres débats
Renoncer à perfectionner la République,
Renoncer à proposer un meilleur cadre économique et financier mondial
Renoncer à proposer plus de démocratie dans l'Union Européenne
Renoncer à proposer une gestion non dépressive et répressive de la zone Euro
Renoncer à condamner la folie fiscale française et ses corrolaires
Renoncer à expliquer que l'avenir n'est pas dans les formes socialistes les plus aggressives
serait pour nous une grande faute, marquant une rupture déplaisante (et suicidaire pour le pays) avec le meilleur des traditions de gauche (en matière de liberté de parole et de démocratie) et le meilleur des succès économiques des siècles passés.
Même si cela doit faire un peu crier dans le Landerneau et s'agiter dans quelques bénitiers.
On a même bien envie d'en faire un livre.
La limitation du droit au débat concerne presqu'exclusivement des minorités. On confondra votre volonté de liberté avec l'hostilité à la cause des minorités.
On confondra votre volonté de lutter contre l'oligarchie avec une haine du fonctionnaire.
On confondra votre refus du système de changes flottants avec un anti américanisme primaire.
On confondra votre volonté de mieux d'Europe avec une contestation de l'idée fédérale
On confondra votre volonté d'une meilleure gestion de l'Euro avec un désir d'en finir avec la construction européenne classique.
On confondra votre refus des impôts spoliateurs avec une égoïsme bourgeois forcené.
On confondra votre rupture avec les violences socialistes historiques avec une haine de l'ouvrier en lutte, même s'il n'y a plus d'ouvrier.
Et pourtant vous avez raison, je le crois. Si on opérait en France un retour sur toutes les déviations que vous citez tout irait mieux. Une fois de plus ne croyez pas que je sous estime votre volonté de bien faire et le caractère sensé et humain de votre approche.
Mais les obstacles psychologiques, idéologiques, politiques, et géopolitiques sont trop hauts.
Vous aurez à lutter contre une intelligentsia médiatique qui veut tout sauf que l'on "désespère Billancourt" surtout maintenant qu'il s'agit d'une friche et qui aime la fiscalité abusive. Vous ne serez rien contre la toute puissance administrative en France. L'Europe des cabris et de l'Euro est extrêmement puissante et a su se bunkerisée. Les Etats-Unis et leurs alliés anglo saxons ou autres ne voudront jamais revenir sur les changes flottants.
Si les politiques courbent l'échine pour passer sous tous ces plafonds de verre c'est parce qu'ils savent qu'ils ne peuvent rien dire ni rien faire.
C'est bien cela : les politiques sont impuissants et incapables de se livrer aux sept péchés capitaux.
S'il y a des confusions nous les dissiperons.
Mais la France ne peut plus rester dans cet état végétatif et dans l'emprisonnement intellectuel et économique.
La déchéance n'est pas la solution.
La bonne foi du pécheur ne suppose pas la mauvaise foi du directeur de conscience !
En France nous sommes arrivés dans une impasse ; En Europe également. Et ne parlons pas de l'économie mondiale.
Ces trois crises se conjugent.
On peut s'interroger sur leur dangerosité mais pas sur leur réalité et leur intensité.
La France comme dernier pays aggressivement socialiste du monde, est une anomalie. L'Union Européenne qui marche à côté de ses pompes démocratiques comme un somnanbule, et l'Euro qui sombre dans la dépression organisée sont des anomalies. L'économie monde à l'arrêt ravagée par la peur et les troubles financiers et monétaires, est une anomalie.
On ne voit pas pourquoi dénoncer ces anomalies serait un problème même si les intérêts coalisés sont d'une force énorme. Le bloc financier anglo saxon est une force énorme. La coalition des hauts et des petits fonctionnaires avec des bobos cultureux dépendant de la puissance publique en est une autre. Rappelons qu'en Ancien Régime la puisance coalisé de l'Eglise et des nobles paraissait invicible.
Le désir de liberté de penser et de libération de sujétions ruineuses a fini par l'emporter.
Ne peut-on pas imaginer que ce désir soit resté aussi fort ? Le socialisme comme les formes extrêmes de nationalisme ou d'internationalisme monétaire et financier étouffent les libertés et les gâchent.
Marquer sa dissidence au profit des libertés ne peut pas être une attitude suspecte. Une société policée au point que tout propos qui égratigne un faux consensus puisse être sanctionné et où tout succès devient pendable, est une dictature molle. Molle et insidieuse. Mais dictature tout de même.
Combattre pour permettre à des hommes énergiques et ouverts de dire et créer à loisir est simplement revenir à la France des Lumières et du dynamisme et du rayonnement.
Vive le Tiers Etat !
Une fois de plus bravo pour votre combat. Ne vous laissez pas abattre.
Comment montrer le caractère correct d'une proposition qui serait "politiquement incorrecte" ?
Quel politiquement correct ?
Dénoncer les pressions déflationniste de la zone Euro ? Politiquement incorrect ?
Dénoncer la démagogie et le vol des familles aisées ? Politiquement incorrect ?
Dénoncer la captation de la République par une oligarchie ? Politiquement incorrect ?
Dénoncer etc.
Lors que des politiques aboutissent à des échecs lamentables et des anomalies de fonctionnement consternantes, il n'y a guère qu'une solution : combattre.
Mettre fin à des abus ou à des dysfonctionnements graves est tout sauf incorrect, surtout s'ils aboutissent à des cauchemars pour les citoyens français.
Si les juges fonctionnaires considérent qu'ils doivent pacifier les débats et fixer ce qu'il est licite de dire et de ne pas dire, en fonction des ressentiments créés par la parole libre, il n'y aura plus de parole libre. Défendre la liberté de parole et d'expression est un combat noble et traditionnel. Cette liberté est la condition de la dénonciation des erreurs et de leur explication. Sans débat, pas d'avancée vers la vérité. La tendance générale est vers moins de liberté de parole ce qui est exécrable. Elle est conduite par la tendance à l'émotionnel pur. La chaleur remplace les lumières. Ou les lumières sont éteintes par la chaleur. On ne peut plus rien dire sans risque d'émouvoir tel ou tel réseau. La rationalité quitte les débats pour les sentiments et les impressions. Pour ne troubler personne on finit par ne plus rien dire. Comment diagnostiquer ? Comment réformer ?
Eviter que la République tourne à l'oligarchie est une démarche tout à fait correcte de démocrate exigeant. Elle est d'autant plus urgente que les moyens de communication modernes parmettent de tromper ou de manipuler les "masses". Ces manipulations peuvent être contraires à l'intérêt général. En France où l'information est tenue par un très petit nombre de personnes, l'orientation de la pensée générale est facilitée. La haute fonction publique tient la banque, l'état et la politique. Et les médias. Il devient difficile de remettre en cause son pouvoir. Eric Fottorino en a fait les frais lorsque le Monde a écrit sur Pébereau. Vidé instantanément. Il y a eu toute une meute pour faire virer des médias un Zemmour, peu enclin à soutenir l'Euro et l'ouverture compléte aux mouvements de marchandises, de capitaux et de personnes en Europe. Etc.
Or on peut parfaitement soutenir que la classe des hauts fonctionnaires pratique une forme de lutte des classes. Lévy Lang le fait dans un article récent des Echos où justement il met en cause le piège tendu par les experts de la DGI sur le traitement des plus values latentes qui si le dispositif est maintenu liquidera l'épargne française en très peu de temps. Il suspecte que la classe des hauts fonctionnaires, après avoir porté la dépense publique à des sommets impossibles et laissé la dette s'envoler, souhaite désormais liquider le gros de la dette sur le dos du patrimoine des Français aisés, pour ne pas avoir à remettre en cause l'énorme poids qu'ils ont imposé à l'économie française. De ce point de vue là Hollande n'est que le continuateur de Giscard, Rocard, Juppé et Chirac. Dégager la France de cette emprise est politiquement très correct. Mieux : nécessaire. La haute fonction publique ne peut pas à la fois tenir l'Administration et les instances qui pilotent et controlent l'administration, la banque, les médias etc.
Le reste est la conséquence des éléments précédents.
Pourquoi ne remet-on JAMAIS en cause les changes flottants et les déséquilibres épouvantables qui sont à l'origine de la récession actuelle ? Parce que les changes flottants dégagent l'Etat de toute responsabilité sur des variables cruciales comme le taux de change et les comptes extérieurs. Donc les fonctionnaires qui sont au contact des places dans les instances internationales ou qui pilotent l'économie nationale. On dit, nous disons, que revenir sur les changes flottants exigent de s'affronter avec la finance anglo saxonne qui évidemment résiste. Mais ce n'est pas elle qui bloque. La haute fonction publique française ne veut pas mener ce combat là, trop difficile et trop lourd. Les politiques lambda eux ne comprennent même pas de quoi il s'agit. Alors naissent les tabous médiatiques.
Pourquoi n'y a -t-il jamais de vraies remises en cause des modalités actuelles de l'Union Européenne ? Vraie, c'est à dire avec une chance réelle d'aboutir. Tout le monde sait que le déficit démocratique est effarant et que le monopole d'initiative des commissaires européens associé au fait qu'ils aient arraché un droit d'interprétation des traités détruit la responsabilité politique effective. Les élections européennes n'ont pas de sens politique. Personne ne sait pour QUOI il vote, à peine pour quel camp, puisque les groupes se recomposent dans des groupes qu'on ne songe même pas à présenter aux Français dès le vote effectué.
Pourquoi personne n'a jamais rien dit des risques techniques de l'Euro que tout le monde fait semblant de découvrir aujourd'hui ? On a eu un débat sur la souveraineté pas sur la solidité technique de la solution. Faut-il accepter qu'il ne reste plus aucun moyen de lutter réellement contre les effets d'une crise que par la déflation ? Est-il normal que 95% des opinions exprimées par les médias est qu'il faut plus d'Europe et un budget européen énorme avec des redistributions énormes ? Croit-on que ces sottises viennent toute seules sous la plume des commentateurs et que les autres idées peuvent s'exprimer réellement dans la PQN ?
Pourquoi la France est elle devenue le seul pays au monde où le fisc fait fuir des milliers de citoyens en leur prenant tout leur revenu et en forçant les Français aisés à liquider leur patrimoine ? Avec des histrions qui à chaque carrefour médiatique exigent que l'on crie Vive l'impôt ? Pourquoi la France est-elle le dernier pays en Europe où l'on conserve un culte pour les formes socialistes les plus violentes avec un parti socialiste et un parti communiste qui ne veulent absolument pas changer de nom et entendent s'inscrire dans une tendance révolutionnaire et aggressive dont le moins qu'on puisse dire est qu'elle a eu des conséquences aussi massives que franchement inhumaines ?
Qui peut craindre aujourd'hui un peuple de Français libres, non anesthésiés par les milles prêchi- prêchas qui dessinent le citoyen sous forme d'un mouton tondu du ras, obligés de répondre à mille obligations, et encore plus d'interdictions. Il ne doit plus fumer, plus gagner de l'argent, plus conduire vite, plus vivre dans une maison non isolée (30% plus chère), plus acheter des oeufs pondus sans respecter des normes ridicules qui ont fait grimper les prix de 50%, plus laisser sa piscine sans lourds investissements de sécurité, plus utiliser ses ascenseurs avant qu'ils respectent de nouvelles normes hyper couteuses etc.
Il ne doit plus s'inquiéter que son emploi disparait, que son revenu disponible baisse, que l'avenir de ses enfants soit compromis. Il doit être toujours gentil tout plein, ne pas corriger les gosses, plier le genou devant toutes les minorités agissantes, et craindre tout, tout le temps sous l'oeil menaçant du Moloch :
- La pollution, les Ogm
- Le rechauffement climatique
- Le plombier polonais
- Ses mauvais instincts
- Son patron
- La concurrence étrangère
- Le gaz de schiste
- M. Mittal,
- Les radards automatiques et les voitures de police banalisées
- La vérité.
Ce système qui fait du peuple français un troupeau de bein pensants châtrés, nous a mis collectivement dans une situation extrêmement difficile et qui s'aggrave. Les forces qui ont imposé ce système dans leur intérêt s'arqueboutent pour éviter toute remise en cause.
Or justement les remises en causes sont nécessaires et légitimes. Il va bien falloir trancher des noeuds gordiens, mettre en cause les modes de pensée qui expliquent qu'on en soit là, réformer les institutions qui ont contribué à l'émergence de cette situation.
Avoir cette ambition est correct. Très correct. C'est même la seule véritablement politiquement correcte.