Le mensonge

Extrait de Wikipedia

"De novembre 1986 à octobre 1987, il occupe la présidence de SOS Racisme tout en étant salarié par l'« Association régionale pour la formation et l'éducation des migrants », basée à Lille en tant que « formateur permanent » et il perçoit pour cet emploi fictif, un salaire mensuel net de 8 900 francs30.

Cela lui vaut d'être condamné, le 17 décembre 1998, à 18 mois de prison avec sursis et 30 000 francs d'amende pour recel d'abus de biens sociaux31.

Harlem Désir aurait également bénéficié d'une amnistie de François Mitterrand concernant une dette de 80 000 francs au Trésor public, relative à des amendes de stationnement (décision de justice du 9 mai 1992) alors qu'il était président de SOS Racisme32."

Le menteur est aussi un délinquant condamné.

Un délinquant fiscal qui n'a jamais eu d'autres rémunérations que de l'argent politique, souvent sale et qui insulte un honnête citoyen las d'être maltraité.

Délinquant ; maintenant menteur. Quo non descendat ?

Le déni de réalité est la marque de fabrique de la gauche socialiste. Elisabeth Levy l'a bien compris. Ce déni de réalité est parfois du à la méconnaissance. Le sectateur ne sait pas. Le sectaire est ignorant.

Il est le plus souvent le fruit d'une volonté de ne pas savoir, de ne pas croire, qui est la marque du religieux. La résistance mentale à la réalité même démontrée ou à la sottise même évidente est une des forces négatives de l'âme humaine.

Ce refus s'accompagne d'une volonté de ne pas considérer l'autre, de ne pas vouloir lui attribuer des qualités humaines. Le mécréant est nécessairement une incarnation du diable. Il n'y a pas de différence entre un Benoit Hamon, un Harlem Désir, un Sapin, un Ayrault, un Hollande et n'importe lequel des Talibans à gourdin qui croit la religion attaquée lorsqu'il voit une femme non voilée.

Gérard Depardieu est une homme libre. On a créé l'Europe pour donner de nouveaux degrés de liberté. Un homme libre utilise les degrés de liberté nouveaux. Très bien. Où est le problème ?

On a dit aux ouvriers : vous serez désormais en concurrence avec les Chinois ; adaptez vous. Et crèvez s'il le faut.

On a dit aux entrepreneurs : on vous offre la concurrence du monde entier. Et crevez s'il le faut.

On a dit d'une même voix aux Etats : on vous offre la concurrence fiscale des autres états. Et crevez s'il le faut.

La France ne peut pas devenir une forme d'Albanie qui dresse des murailles et qui chasse l'ennemi de l'intérieur qui ne pense qu'à fuir le paradis socialiste.

La chasse à l'homme fiscale qui est en cours en France est écoeurante. Elle est désastreuse. Elle marque la fin du pays. Quand on demande à ceux qui ont réussi de tout rendre de leurs gains et plus vite que cela ; quand on saccage une civilisation en tolérant une immigration massive pouilleuse, haineuse et délinquante ; quand on n'a pas d'autres ambitions que de permettre le suicide assisté et le mariage des homosexuels ; en un mot quand on suit le programme du Parti socialiste, on détruit totalement le pays dans la rage et le dégueulis.

Une France à vomir, marginalisée, que l'étranger visite pour son passé, tout en méprisant son présent, comme le touriste visite Cuba, île martyrisée par la misère et la bêtise éhontée du castrisme.

Une France sans gouvernement car on ne peut parler de ministres et de président quand on voit la bande de fonctionnaires injurieux, minables et haineux qui s'est emparée du pouvoir pour tout saccager.

Il ne faut rien exagérer : 1 million de dollars cela représente 750.000 Euros soit un appartement de 75m2 moyen à Paris.

L'essentiel des 18% dont on parle proviennent de la hausse de l'immobilier dans les grandes villes et surtout de la fin des emprunts faits pour acheter de l'immobilier (au fur et à mesure que la dette est remboursée la valeur du bien immobilier augmente). .

On n'est plus "riche" lorsqu'on est mono millionnaire en dollars. Rappelons que le dollar en or a perdu 99% de sa valeur en 40 ans (35 dollars l'once et désormais 1750 dollars l'once).

Connaissez vous le "syndrome de l'indifférence perverse" dit parfois "de l'acceptation de l'inadmissible" ou de "l'indifférence morale" ? Il a été étudié dans le cadre de nombreuses exactions historiques. Il s'attache à comprendre pourquoi une personne ou une majorité de personnes en viennent à être indifférentes à un traitement qu'ils ne toléreraient pas pour eux-mêmes. Par exemple comment en Algérie des civils ont pu trouver finalement acceptable des ratonnades et des militaires la torture. Comment des gens des villes ont pu en Union soviétique accepter l'assassinat de masses de paysans par la famine et des gens des campagnes participer à la Samba du Koulak, des hommes formant un couloir où devait passer le paysan suspect et bastonnant le bougre jusqu'à la perte de connaissance voire la mort. Comment a-t-on pu chez d'excellents paroissiens trouver la force de se réjouir d'une "sorcière" qui brûle en public.

Ce syndrome s'accompagne de l'injure vis-à-vis de la victime qui doit être vilipendée sans relâche. Il se nourrit d'intérêt, d'envie, de haine. Il est rationalisé par celui qui en souffre qui croit en plus avoir raison ou des raisons. Il ne raisonne plus sur les questions humanitaires mais il trouve rationnel les mauvais traitement infligés.

Il est aussi marqué par le refus de la défense de la victime. Celui qui oserait serait automatiquement un vilain, un méchant, un odieux, mal intentionné et tout.

Cet univers mental interdit toute pitié en même temps qu'il n'admet nul défense.

Prendre 85% ou 100% du revenu d'un concitoyen ne vous gêne pas. Cela vous révolte qu'on puisse s'en scandaliser. Vous rationalisez cette exaction. Elle vous réjouit. Quiconque dit les faits est de toute façon un menteur. Nécessairement un menteur. Et un vil égoïste qui ne pense qu'à se goinfrer.

Naturellement si un quelconque des milliards d'humains qui gagnent dix fois moins que vous vous spoliait de tout votre revenu avec les arguments qui sont les vôtres vous seriez indigné. "Me faire cela à moi qui suis la bonté même !". Ajoutez : avec l'argent des autres et pas avec le mien.

L'impôt est une contribution aux besoins de l'Etat pas une machine à spolier les citoyens mieux lotis que vous. Dès qu'on dépasse en temps de paix 50% du revenu, on ne se trouve pas dans la contribution mais dans le vol pur et simple.

Quand le voleur insulte le volé, en le traitant de débile, de déchet, de traître à la patrie, de menteur ou de minable, il ajoute l'ordure à l'ignominie.

Le syndrome de l'indifférence perverse est justement de considérer tout cela comme très bien et devant être défendu bec et ongle.

Cette indifférence perverse est en général soutenu par un couple effroyable : l'amour de soi, magnifié par la suffisance et la haine de soi, magnifiée par l'insuffisance.

Narcissisme et souffrance.

Compatissons.

Vue de Sirius la situation française se résume à un débat que l'on refuse d'ouvrir qui est celui du rôle de l'impôt et la légitimité du revenu et du patrimoine privé, c'est à dire le rôle de la liberté dans une république.

Votre argent vous appartient-il ou appartient-il à l'Etat ? Votre revenu disponible est-il une "dépense fiscale", c'est à dire un impôt dont on vous a fait grâce, ou un droit constitutionnellement protégé ?

L'argent est de la liberté frappé, dit le dicton. Il est le moyen de votre autonomie. Se saisir de votre argent est toujours une perte de liberté. A-t-on le droit de vous prendre tout votre revenu sans autres raisons que les besoins électoraux des politiciens ?

Une des difficultés françaises est que ce débat n'a pas lieu. On a grignoté le revenu et le patrimoine des Français avec des boniments sentimentaux et imposé un "politiquement correct" basé sur le Vive l'Impôt.

Il faudra bien un jour que le débat s'ouvre. Il ne peut pas s'ouvrir si la réalité n'est pas connue et pire encore si elle est couverte par le mensonge et l'insulte.

Le fait qu'un Ministère, la DGI pour être précis, refuse de donner le dénombrement des Français qui se voient privés de plus de 85% de leur revenu et encore plus férocement de ceux qui se voit privé de tout leur revenu est symptomatique.

C'est une forme d'hommage du vice à la vertu. Les hauts fonctionnaires de Bercy savent. Ils savent qu'on est en pleine saloperie. La révéler les mettrait en position de "salauds" au sens sartrien du terme, c'est à dire de fonctionnaires qui par intérêt de classe n'hésitent pas à priver de leur vie concrète des dizaines de milliers de personnes.

Ils savent qu'ils ont réussi en France à masquer l'essentiel de l'imposition. La France dispose de tous les impôts possibles et dans chaque catégorie est en première ou en deuxième position mondiale pour l'assiette et les taux. Au total nous sommes le pays le plus fiscalisé du monde avec un populo qui croit qu'il ne paie que 20 à 25% d'impôts et qui n'arrivent pas à croire qu'on puisse prendre 85% et plus de l'argent des citoyens qui ont réussi. Bravo les artistes ! Ils tiennent à l'escamotage. De même qu'ils ont toujours escamoté la rémunération des 100 fonctionnaires les mieux payés du Ministère des Finances, osant même en fournir une liste édulcorée sur papier non photocopiable à leur ministre !

Le combat pour la vérité est le combat premier dans toute l'affaire fiscale. Comme pour toutes les exactions. Puisqu'on a évoqué les Koulaks, rappelons qu'en Ukraine terrorisée et massacrée par les "socialistes réels", au moment de la grande famine intentionnlle de 32-33, les autorités (le Bercy local), a mis un fonctionnaire dans les trains pour vérifier qu'on laissait fermées les stores des fenêtres pour ne pas voir les cadavres et les mères portant les bébés à bout de bras et demandant de les sauver.

Les chiffres qui devraient faire réfléchir sont d'abord ceux-ci répétés sur cet excellent blog : 1.200 milliards de dépenses publiques contre 1.000 milliards de valeur ajoutée des entreprises du secteur marchand. 10 millions de salariés manquants. 10 millions de pauvres. 8 millions de fonctionnaires ou de personnels à statut protégé. 200.000 personnes entrant chaque année dans le système de sécurité sociale sans apporter aucune ressource. 1.800 milliards de dettes cumulées.

On était arrivé à la fin d'un grignotage insensé et destructeur, au sommet d'une montagne de dépenses publiques, d'impôts et de dettes. Hollande et le PS sont arrivés sur le tas et ont cru qu'ils pouvaient le faire croître rapidement avec la plus extrême brutalité. Il arrive qu'en ajoutant encore une carte sur un chateau branlant, il s'effondre. Là on a voulu mettre un jeu complet d'un seul coup !

Et voici que le chateau de cartes s'écroule. Les cartes les plus hautes s'envolent. Arnault, Depardieu, Afflelou, Owen Jones, et des milliers d'autres cherchent à conserver les possibilités de liberté que leur vie leur avait acquises. Ce ne sont plus quelques gros entrepreneurs qui cherchent à fuire l'impôt sur les successions ou l'impôt sur les plus value de cession. HSBC demande à ses cadres ce qu'ils veulent faire : un bloc entier de l'entreprise parisienne passe à Londres en deux jours avec des dizaines de salariés. Tous les Etats-Majors sont en phase de réflexion dans des centaines de groupes.

La degelée fiscale Sarkozy aggravée Hollande a bloqué l'économie qui est à l'arrêt depuis le début 2012. La France perdra entre 20 et 40 000 emplois par mois pendant toute l'année 2013, avec un taux de chômage qui va dépasser les 11%. Cinq ans après le début de la crise. Du jamais vu depuis la guerre. Hollande ne gratte pas le beurre qui reste sur la tartine mais arrache la mie en même temps que la croute cède un peu partout.

On va vers 7 à 8 trimestres consécutifs de stagnation-récession, avec une inflation de 2.5% par an. Le cumul de la perte de pouvoir d'achat fiscal et de la perte de pouvoir d'achat liée à l'inflation va représenter globalement près de 10% du PIB en 2 ans. La crise de 29 en 10 ans avait fait perdre 10% de PIB français.

Et nous n'avons plus aucune réserve.

Ce désastre forcera nécessairement une refondation de la République. D'abord parcequ'il faudra bien qu'on analyse les causes de ce désastre et ensuite qu'on en tire les leçons : veut-on une république socialiste à la soviétique où les individus ne comptent pas et où le citoyen est d'abord un esclave de l'Etat sans liberté réelle de mener sa vie. Ou considère-t-on que nous sommes une République libérale qui veut que chaque homme est libre et doit simplement contribuer de façon raisonnable au financement des biens collectifs nécessaires ?

On peut légitimement considérer que le modèle socialiste a définitivement échoué et que la France vaut mieux que l'effondrement qu'elle est en train de vivre. Le revenu de chaque Français appartient d'abord à lui et à sa famille. Un principe constitutionnel rappelant que nul ne peut être privé par l'impôt de plus de 50% de son revenu parait parfaitement normal. On ne peut pas forcer fiscalement quelqu'un à vendre ses biens pour se nourrir.

En revanche il faut travailler à ce que que la République ait le système économique le plus efficace possible. Dans la mesure où elle s'est mise en position de concurrencer et d'être concurrencée par le monde entier, et s'est liée les mains dans l'Europe et l'Euro, elle doit être attentive aux conditions de fonctionnement de l'Europe et du monde.

Ces conditions ne sont pas bonnes. Un système économique mondiale fondée sur les changes flottants ne marche pas nous disent les économistes du Cercle e-toile. D'accord. Qu'il soit réformé. Une zone Euro sans cabine de pilotage et sans pilote ne fonctionne pas, nous affirment-ils également. Quelle soit réformée.

Mais une France dont la République est captée par des hauts fonctionnaires qui considérent l'argent des Français comme le leur, qui dépensent plus que la valeur ajoutée de ses entreprises, qui ont emprunté deux fois la valeur de cette même valeur ajoutée, le tout en paupérisant le pays de façon massive, en le mettant dans un chomage structurel désastreux, alors qu'aucun service public ne marche plus réellement bien, et que certains sont effondrés, qui ont fait disparaître Billancourt tout en vidant le quartier du Ranelagh, qui ont recruté comme dans le Paris de Delanoë 50.000 fonctionnaires pour gérer une ville de 2.000.000 d'habitants sans grands besoins structuraux, alors que partout ailleurs dans les même conditions de population on se contente de 20.000, et où les mairies d'agglomérations de Lille, de Rouen, de Nantes font vivre des cours de dizaines de vice-présidents grassement rémunérés, qui eux mêmes ont recruté en trente ans près de 1.500.000 personnes, en général en sous emploi massif, qui ont reporté sur des associations le travail que les fonctionnaires ne voulaient plus assumer (près d'1.500.000 emplois en trente ans également), cette France là doit obligatoirement être réformée de pied en cap.

Ce n'est pas en injuriant ceux qui fuient l'enfer fiscal français et en mentant comme des arracheurs de dents qu'on sortira le pays de l'ornière démente dans laquelle elle s'est fourrée. Ce n'est pas en éructant à la Poutine qu'on ira chercher le contribuable français "jusque dans les chiottes" des demeures étrangères où il s'est réfugié. Quand le socialisme politique n'est plus que force et que rage, c'est la nation toute entière qui est en danger.

La grande difficulté des socialistes "gentillets" est qu'ils ont cru l'image fardée et grotesque d'une France de riches se gobergeant sans limite et qu'on pouvait frapper les familles aisées, considérées toutes comme des Bettencourt à qui "il resterait toujours bien assez". Ils n'ont pas vu que la France était en danger. Qu'elle était déjà en catalepsie et en phase de déclin accéléré. Des dettes insensées, des taux d'imposition grotesques, des dépenses publiques sans limite, un chomage structurel de masse, la fuite en avant dans l'emploi protégé des copains et des affidés, tout en abandonnant des parts de souveraineté telles qu'elle est désormais perdue, voilà le sinistre bilan des quarante dernières années.

Celle où la France a disparu des radars. Celle où elle a mis à sa tête des fats, des pervers puis des nullités à chaque fois plus manifestes.

Pourquoi nier que Sarkozy et Hollande sont des nains et pas des géants de la vie nationale et qu'au sortir de leur décennie de médiocrité agitée et débile la France ne sera plus grand chose.

La vraie, la grande question, est de savoir si le pays a encore une chance de s'en sortir ou s'il va disparaître, département dépecé d'une Europe en régression et ouverte aux appétits du monde, par le bas et par le haut.

Les regrets de Françoise Hardy chassée de son appartement par le fisc, le tapage d'un Depardieu chassé de son pays par le fisc, le blabla de communiquant hypocrite d'un Afflelou indiquant que le destin de son entreprise passe par son départ pour Londres à cause du fisc, la fuite silencieuse des cerveaux et des cadres, et non plus seulement des patrons vieillissants de PME en mal de transmission, sont comme le cri des oies du Capitole. Une alerte avant l'effondrement définitif du pays.

Non, Bernard, ce ne sont pas des cries d'orfraies à relativiser.

Ce sont les dernières alertes avant fermeture.

Fermeture définitive.

Alain l'avait bien dit : nous savons que les civilisations sont mortelles. La civilisation française est en train de mourir sous nos yeux. Nous qui avions été de toutes les aventures sommes désormais exclus de presque tout. Tout se passe ailleurs. Et nous subissons. Et nous crevons en nous extasiant sur les mauvaises manières que l'on fait subir à la minorité qui tenait encore un peu la hampe du drapeau.

Je laisse simplement le lecteur imaginer comment on fait pour :

- diminuer une dette d'Etat qui dépasse deux fois la valeur ajoutée des entreprises et une dette globale qui représente deux fois cela (au total quatre années de production réelle)
- réduire une dépense publique qui dépasse de 20 à 25% la valeur ajoutée des entreprises du secteur marchand
- créer les 10 millions d'emplois salariés qui manquent
- supprimer au moins 4 millions d'emplois subventionnés à 100% et garantis à vie que l'on ne pourra bientôt plus payer.
- financer les retraites d'une population vieillisante avec plusieurs millions de personnes en état de dépendance en fin de vie
- donner le vivre, le couvert, la santé et l'éducation à plusieurs centianes de milliers d'arrivants extérieurs qui entendent bien ne jamais travailler et imposer leurs moeurs.
- empêcher de voler et de mendier les 10.000.000 millions de spécialistes du genre et bien décidés à persévérer dans leur culture, qui étaient jusqu'ici cantonnés pricipalement dans les pays de l'est, qu'il est interdit de renvoyer dans leur pays et dont déjà près d'un million a quitté leur pays d'origine pour s'incruster dans les pays de l'europe occidentale. 48% d'augmentation des vols de jeunes Roms dans les gares parisiennes depuis trois mois ! Chaque voleur pris est remis en liberté dans l'heure. Et recommence dans la seconde.

Pauvre Français, sommé de s'excuser pour tout, de baisser la tête et de faire repentance pour tout, taxé à mort, interdit de conduire par une politique de sanction aveugle qui élimine des centaines de milliers de permis pour des dépassements de vitesse sans importance, sommé d'être écologiquement correct et de faire attention à tout quand l'étranger ne fait attention à rien, sans perspective pour sa jeunesse, sans espoir pour ses entreprises, où la seule question est de savoir s'il faut permettre à une poignée de pédérastes militants de singer le mariage hétérosexuel et de créer des enfants sans mère administrative, à l'Etat d'assister les suicidaires, et d'organiser le meurtre médicalement assisté des vieillards.

Qui regardera ce spectacle avec 50 ans de recul sera effaré. "C'est donc comme cela qu'ils se sont tués ! Qu'ils ont foutu en l'air le pays qu'on leur avait laissé et quel pays ! Quelle bande de c... et de tarés !"

Il n'aura pas tort.














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Qui échappe à l'impôt en France ?

Ceux qui partent ne veulent pas échapper "à l'impôt" mais à une spoliation organisée et sans limite. 85 ou 100% d'impôts ne sont plus, comme il est dit, une contribution mais une spoliation.

Quant on dépense plus que ce que produit les entreprises il faut réduire la dépense. De toute façon quand vous aurez ruiné les riches, il n'y a aura pas d'autres solutions. L'URSS a été très démonstrative sur ce sujet. Et après tout le monde vit dans la galère sauf la nomenklatura qui s'en met plein les poches.

On peut préférer 5.000 riches entrepreneurs ou artistes ou experts professionnels à 5.000 hauts fonctionnaires qui vivent très très bien sur le dos du pays en faisant croire aux pauvres qu'ils sont nécessaires. En fait ils ont ruiné l'emploi seule garantie pour les pauvres d'avoir un revenu décent, et ils cassent le moteur qui pourrait leur permettre de sortir un jour des difficultés.

C'est du nivellement vers le bas pur et simple pour assurer la permanence du pouvoir fonctionnaire. Tous les membres du gouvernements sont des fonctionnaires ou équivalents. Pas un n'ait jamais travaillé avec la peur du lendemain, à quelques rares exceptions près. Et ces débiles s'en foutent plein les poches en injuriant ceux qu'ils poussent à partir. Ces derniers exercent les libertés publiques et européennes pour justement protéger leur espace de liberté personnelle. Quand un prof d'allemand, délinquant condamné, injurie un grand artiste il symbolise à lui tout seul l'escroquerie morale qui mine la société française. Quand un Harlem Désir, amnistié fiscal à une hauteur considérable et délinquant condamné, traite de menteur un grand artiste il déhonore sa parole et son parti, ainsi que ceux qui ont défini qu'il devait éructer ces "éléments de langage" méprisants et méprisables élaborés par M. Hollande et son entourage.

Consulter simplement la courbe de la hausse des prélèvements dans les quarante dernières années. Les fonctionnaires ont volé dix points de PIB et nous en sommes là où l'intervenant qui vous précéde l'a dit : des adminisrations pléthoriques qui ne fonctionnent plus ou très mal. L'armée marche avec des bouts de ficelles. 80% de la flotte aérienne française est à l'arrêt pour des raisons de maintenance. La justice a étendu son champ d'action sans limite et laisse tous les déliquants du quotidien dehors. Notre diplomatie et la présence française dans le monde s'effondrent. La police et la gendarmerie courent derrière des déliquants que la justice refuse de poursuivre ou laisse dehors.

Jamais les dépenses dites sociales n'ont été aussi hautes et le nombre de pauvres aussi élevé.

Alors arrêtons de croire ou de laisser faire croire que c'est en taxant entre 85 et 150% les riches qu'on en sortira.

Vous leur prendriez tout que vous n'auriez aucune solution mais les pires difficultés.

Prétendre que 10% de la population doit assumer le revenu ou la part de charges des 90% autres est une fumisterie haineuse.

Il faut revenir à une société normale où tout le monde se bat dans le cadre des libertés publiques pour construire sa vie et contribue raisonnablement, sans envie de fuir la spoliation. Cela signifie remettre tout le monde au travail et respecter tous les producteurs et leur famille.

Pourquoi diable vouloir considérer que l'argent des Français appartient à l'Etat et qu'il a le droit en temps de paix d'en disposer sans limites ?

D'accord avec une vision contributive de l'impôt et seulement contributive. D'accord avec l'idée allemande qu'au delà de 50% de prélèvements sur un ménage on entre dans le vol et l'arbitraire privatif des droits et libertés essentiels.

DEPARDIEU EST LIBRE ou devrait l'être d'être ce qu'il veut être. Qui êtes-vous pour vous substituer à sa liberté ?

DEPARDIEU est parti de rien et avec de nombreux handicaps. Il ne doit RIEN à l'ETAT : son bilan : gratuité - impôts est un des meilleurs de FRANCE. Vérifiez le vôtre avant de juger de celui des autres.

L'envie et la haine sont mauvaises conseillères à titre privé. La spoliation et l'injure doublées de mensonges sont des fautes d'état lorsque commis par des membres de gouvernement. Il n'appartient pas à un ministre d'insulter un citoyen qui exerce les libertés publiques.

Staline faisaient déjà en son temps injurier les Koulaks en les traitant de déchets. Traiter de déchet un citoyen est une abjection de la part d'un politicien fonctionnaire qui n'a lui même jamais rien produit et qui a vécu en permanence de l'argent public.

Le mensonge et l'injure sont des déchéances démocratiques. Le déchet, cela devient la FRANCE QUI SOMBRE AU NIVEAU DU ZIMBABWE DE MUGABE OU DU VENEZUELA DE CHAVEZ.

Les socialistes se sont déshonorés. Ou ont montré leur vrai visage comme vous voudrez. Et Hollande est apparu pour ce qu'il est : un socialiste haineux comme son appartenance à l'UNEF communiste dans sa jeunesse le laissait prévoir. Ce type est un aigri envieux qui a un compte à régler avec lui même et qui fait payer la facture à la France. Beurk !