ISF : la névrose fiscale qui détruit le Pacte Républicain Français
La France souffre de névrose fiscale aggravée et depuis bien longtemps. Dirigée par des fonctionnaires pour des fonctionnaires, la France voit l'idéologie socialiste la plus haineuse récupérée par des énarques de gauche ivres du pouvoir de la République, sous l'œil complice des énarques de droite, qui ont substitué la compassion au socialisme ouvertement assumé et qui veillent à ne jamais prendre le risque de se faire traiter de "fascistes inféodés au Medef et au Figaro magazine".
Le septennat fiscal de Giscard, les errements de Mitterrand, le désastre du ni-ni chiraquien et finalement la fausse rupture Sarkozy ont conduit à une situation unique et inique. La totalité de la valeur ajoutée des entreprises du secteur marchand ne suffit pas à couvrir les dépenses de l'Etat ! La dette d'état monte vers les 100% du PIB global et dépasse 125% du PIB purement marchand (hors prestations des services administratifs). Nous atteignons les 3 millions de chômeurs, bientôt le 5 millions d'inscrits à l'ANPE, les 10 millions de pauvres. Nos entreprises font faillite à répétition. Le commerce extérieur est entré dans l'ère des déficits insoutenables et cumulatifs. Une nouvelle récession est à nos portes si elle n'est pas déjà là.
La déroute de "l'énarchie compassionnelle", avatar grotesque du socialisme marxisant qui domine les classes intellectuelles françaises depuis la guerre, est totale. La France n'a plus d'indépendance et est désormais privée de tous les leviers économiques nécessaires à une politique adaptée à la situation actuelle (Elle est à saturation fiscale, en voie d'effondrement social, sans monnaie, sans gestion des changes et bientôt avec un budget sous contrôle extérieur).
La seule chose qui intéresse le gouvernement Hollande est de trouver un bouc émissaire pour évacuer les tensions que cette situation désolante crée dans le pays. Il s'est fait élire sur la base d'un racisme social assumé. La France s'est bercée sur l'idée que les "riches paieront". Hollande aurait-il affirmé : "les juifs paieront !", ou "les musulmans paieront" ou les "noirs paieront" qu'il serait aujourd'hui en prison. Mais les riches ! Là on peut y aller. L'idée qu'une minorité pourrait payer pour les masses a toujours été un grand must dans tous les épisodes socialistes du 20ième siècle, avec les résultats que l'on sait.
Quelle différence entre Pétain et sa révolution nationale, singularisant les Juifs pour expier la défaite et la propagande de ce M. Hollande clouant "les riches" au pilori fiscal ? Les mécanismes sont exactement les mêmes et ils sont à vomir.
Tout est absurde et mal inspiré dans le plan que les parlementaires socialistes viennent de voter.
Nous étions contre la détaxation des heures supplémentaires. Nous pourrions applaudir à la disparition de ce gadget plein d'effets pervers. Mais voilà : il a largement servi à faire baisser le coût du travail nécessaire à la survie des industries françaises. Le supprimer sans redonner les moyens équivalents aux entreprises (au contraire on les accable à nouveau) revient à simplement charger la barque un peu plus alors qu'elle sombre.
Nous étions pour la TVA sociale. La voilà enterrée. Une fois encore une mesure en faveur de l'exportation et de la compétitivité est abandonnée. Une erreur absolue.
Et voici qu'on triple les impôts sur la fortune. L'ISF sera de retour aux taux confiscatoires d'avant mais sans le bouclier qui permettait à certains d'éviter de dépasser les 100% d'imposition. Le Monde laisse passer une opinion d'un "chercheur au CNRS" qui doit probablement son poste à ses amitiés socialistes ou communiste qui explique doctement que le nouveau régime est plus favorable que celui de 2007 en oubliant justement le plafonnement fiscal qui est une grande partie du problème. On dirait du Picketty : regardez ce que je vous montre et oubliez ce que je ne vous montre pas.
Cet acte de haine sociale et politique est une faute économique grave (l'argent du capital part dans les dépenses courantes tuant toute perspective d'investissement) , une faute nationale dramatique (un impôt sur le capital à taux prohibitif se boucle nécessairement toujours par une vente des meilleurs biens nationaux à l'étranger) et surtout un détournement de pouvoir démocratique qui devrait être pénalisé.
Posez-vous la question : est-il normal qu'un citoyen se voit privé de la totalité de son revenu par l'état ? Constitutionnellement l'impôt est contributif, pas confiscatoire. Il n'est du qu'à proportion du revenu et pour les tâches régaliennes. Prendre la totalité du revenu d'un citoyen revient à détourner le pouvoir de coercition de l'Etat pour voler les citoyens.
On n'est plus dans la politique nationale mais dans le brigandage électoral mafieux.
Les mesures prises ces derniers jours vont permettre à l'état-PS de l'énarque socialiste Hollande de prendre la totalité du revenu d'environ 10.000 personnes à court terme, 30.000 bientôt. On spolie en toute connaissance cause une minorité nationale qui non seulement n'est coupable de rien mais n'a réussi à disposer du revenu que l'on saisit que par sa réussite économique.
Quelle différence avec la politique anti-koulak de Staline ? Minorité dont la propagande socialiste tendance bolchevique avait fait le bouc émissaire des échecs de la Révolution d'octobre, chaque jour vilipendée, chaque jour agressée, chaque jour mise au pilori, les anciens propriétaires de champs (0.5 à 20 hectares) seront bientôt privés de tout revenu au point de mourir de famine par milliers puis par millions dans l'indifférence générale.
Certes les victimes de la confiscation socialiste à la française ne mourront pas de faim. On leur demande de se dépouiller du patrimoine que leur efficacité économique leur avait valu. Vendez si vous voulez vivre ! On massacre leur vie mais on ne la prend pas. Il faudrait s'extasier de ce progrès humanitaire ?
On viole impunément toutes les règles constitutionnelles : droit à la propriété ; droit à un espace personnel à l'abri de l'état ; droit à la juste jouissance de son revenu.
Il n'y a aucune solidarité seulement un vol. Un vol haineux qui doit donner de la joie mauvaise aux masses et garantir l'élection de la petite coterie des énarques socialistes et son maintien au pouvoir.
La degré zéro de la démocratie.
Nous sommes au niveau du Zimbabwe de l'immonde Mugabe, l'hôte de l'assassin génocidaire Mengistu, celui qui tuait les enfants errants à la mitraillette et les laissait pourrir sur le trottoir pour l'édification des masses, ou du Venezuela de Chavez.
Les médias français, dont selon les études, 80 à 90% des journalistes se déclarent "de gauche", s'extasient. Et ils ne cessent de surenchérir sur toutes les radios, dans toutes les télés. Pensez : les riches ! On peut y aller. On ne va pas les plaindre ces "dégueulasses". En plus ils devraient être heureux de contribuer. Qu'ils se plaignent est réellement honteux.
Dans "Je suis partout" le journal de la collaboration sous Pétain, on affirmait déjà que les juifs contribuaient "enfin" à la solidarité nationale, parce qu'on leur saisissait leur appartement et autres biens en attendant pire. Et qu'ils avaient bien peu de vergogne à se plaindre d'être "enfin" utile à la Nation dont ils avaient sucé le sang. Beaucoup de Français jouissaient des tracas et spoliations qu'on leur faisait subir, en rêvant qu'ils pourraient bien en profiter un peu.
Combien de Français jouissent aujourd'hui du plaisir du tort fait aux "riches" ?
Qui osera faire un sondage sur le thème : "on va prendre à 30.000 Français la totalité de leur revenu : êtes vous d'accord oui-non". Personne. La presse socialiste n'osera pas assumer un crime qu'elle nie. La presse de droite a trop peur de constater que les Français aiment çà.
L'UMP toute à sa guerre des chefs, n'a eu aucune réaction. Comment en aurait-elle alors qu'elle n'a pas eu le courage de supprimer l'ISF ? C'est l'énarque Juppé, qui se voit déjà en suprême recours du combat des deux prétendants principaux, qui avait supprimé le petit bouclier fiscal de Rocard tout en criant "vive l'ISF, impôt que l'on aurait du créer". C'est lui qui le plus officiellement avait permis au nombre des contribuables privés par le fisc de la totalité de leur revenu d'enfler démesurément, jusqu'à ce qu'on constate que les RMIstes de l'île de Ré étaient privés de tout revenu et devaient vendre leur ferme familiale emportée par la bulle immobilière.
Dans ce parti tenu par les hauts fonctionnaires au sommet, et à la base peuplé de chefaillons cherchant d'abord l'enracinement local en se gardant bien de toute position sur une question nationale quelconque (la crotte de chien semble leur horizon majeur), il ne se sera dégagé aucune voix pour dire que cette exaction doublé du viol du pacte républicain devait être impitoyablement condamnée.
Défendre une minorité honnie ? Vous n'y pensez pas ! La "classe moyenne", paravent commode, utilisé à droite comme à gauche, d'accord, mais les riches ? "Mon image serait irrémédiablement salie. L'homme du grand capital; moi ? Vous rêvez !"
Trouvez un simple démocrate qui tient qu'on ne peut pas prendre la totalité du revenu de quelqu'un, qui n'a commis aucune faute et en temps de paix, est impossible à l'UMP, comme d'ailleurs dans aucun parti. De la même façon qu'on ne trouvera aucun musulman prenant la défense de la minorité chrétienne honnie au Moyen-Orient, qu'on ne trouvait aucun allemand pour soutenir ouvertement les juifs dans les années hitlériennes, qu'on ne trouvait aucun "homo sovieticus" pour prendre la défense des Koulaks, aucune voie ne s'élèvera pour dénoncer une exaction innommable commise contre une frange de Français considérés comme coupables et à merci.
Pauvre France. Elle perdu toute indépendance. Son industrie n'est plus que l'ombre de ce qu'elle fut. Elle est absente de tous les marchés porteurs d'avenir et ne se bat à aucun avant poste de la technologie. Elle qui fut à l'avant garde de la révolution industrielle, qui fut dans la bataille de la voiture, de l'avion, du cinéma, de toutes les grandes innovations du XIXème et de la première moitié du XXème n'est plus rien. Le français n'est plus enseigné à l'étranger. On vient même de supprimer la gratuité de l'enseignement secondaire des Français de l'étranger. Ils n'ont qu'à apprendre l'anglais ces salauds. L'aura de la France est devenue presque nulle et se survit à elle-même par inertie, pas par ses grandes réalisations actuelles.
La voilà dirigée par une petite oligarchie de hauts fonctionnaires qui se partagent les restes en ruinant à qui mieux-mieux les témoins d'un autre destin français.
M. Hollande avec son sourire mécanique et son profil de serpent à sornettes, un tiers vipère, un tiers couleuvre, un tiers anguille, symbolise assez bien la décrépitude française.
Programme économique imbécile et assumé comme tel ("certes nous marchons dans la mauvaise direction mais nous ne faisons que des petits pas, donc ce n'est pas grave et il faut bien qu'élections se passent") ; mesures confiscatoires indignes ; souci perpétuel de la communication et de l'image ; nombrilisme exacerbé, clanisme et démagogie à tous les étages.
Pendant ce temps là l'Europe frôle l'explosion, les comptes nationaux rougissent, la récession s'avance en majesté.
Jamais la contradiction entre les nécessités nationales et la mentalité des équipes chargées de les défendre n'a été aussi grande.
Ce n'est même pas leur infirmité économique (majeure) qu'il faut condamner en premier. Mais leur forfaiture vis-à-vis du pacte républicain. Ce faisant les fonctionnaires socialistes ajoutent au drame économique l'abjection anti-démocratique et font de la France un objet de répulsion.
Quel parti osera ce programme minimum ?
- Nul ne peut se présenter à une élection ou diriger une institution publique qui fixe sa propre rémunération.
- Nul ne peut recevoir plus d'une rémunération publique.
- Tout président, ministre ou parlementaire qui contribuera à des décisions qui conduisent à la confiscation par la force publique de la totalité du revenu d'un citoyen sera poursuivi pour viol du pacte national et détournement de pouvoir. Il sera condamné :
* A l'indignité nationale et la perte de toutes décorations.
* A l'inéligibilité à vie à toute élection locale, régionale ou nationale
* A subir sur son propre revenu et ses propres biens les mêmes confiscations qu'il a lui-même imposées, au taux maximal constaté et pour la durée de l'effet des mesures prises, dès lors que les mesures ont conduit à dépouiller ne serait-ce qu'un citoyen de la totalité de ses revenus.
Jamais il n'a été plus nécessaire que toutes les forces nationales, toutes et spécialement les forces motrices, soient associées à une œuvre de redressement et qu'un programme économique national, européen et mondial efficace soit clairement élaboré et mis en pratique.
Jamais on n'en a été plus loin.
La France et les Français auront mérité la débâcle qui les emporte pavillon bas.
Le cercle des économistes regroupés dans E-TOILE autour de Didier Dufau, Economiste en Chef, aborde des questions largement tabous dans les media français et internationaux soit du fait de leur complexité apparente, soit parce que l'esprit du temps interdit qu'on en discute a fond. Visions critiques sur les changes flottants, explications sur le retard français, analyses de la langueur de l'Europe, réalités de la mondialisation, les économistes d'E-Toile, contrairement aux medias français, ne refusent aucun débat. Ils prennent le risque d'annoncer des évolutions tres a l'avance et éclairent l'actualité avec une force de perception remarquable. Association loi 1901 |
Si vous avez un seul argument qui justifie que l'on prenne tout le revenu d'un citoyen qui n'a rien fait d'autre que de contribuer, et le tout en temps de paix, merci de l'exprimer.
Quant à la présidence précédente, merci de lire les nombreux messages accablés écrit ces quatre dernières années. La campagne de Sarkozy était du même tonneau que celle du président actuel : infâme et cela a été écrit.
Quant à l'Europe, vous n'avez pas pu noter si vous nous lisez que nous ne cessons de lui adresser des messages critiques et nous sommes sans doute les premiers à avoir écrit dès 2008 que la seule parade à la crise laissée à l'Europe était la déflation avec ses conséquences. Il faut réformer l'Europe. Et pas seulement demander aux Allemands de payer.
Vous avez sans doute l'oeil candide mais les exactions contre autrui le laisse indifférent de même que toutes les mesures démagogiques qui depuis maintenant des lustres conduisent à un sous emploi, un sous investissement, une sous compétitivité, une surfiscalité et un endettement chroniques.
La seule contribution "sociale" admissible d'un économiste c'est d'expliquer pourquoi il manque en France entre 5 et 10 millions d'emplois salariés et pourquoi notre système entrepreneurial est non seulement bloqué mais en voie de destruction.
Je méprise effectivement Hollande d'avoir fait payer son élection d'un nouveau recul social de la France.
Recul social, oui social.
L'effondrement de la mécanique en France, automobile et le reste, c'est rien que pour 2012 390 entreprises en faillite et près de 35.000 emplois perdus ou en voie de l'être.
Où est votre indignation ?
Des milliers d'artisans du bâtiment ferment boutique. Pas des dizaines. Des milliers.
Où est votre indignation ?
Il n'y a dans le plan Hollande qui vient d'être voté aucune mesure permettant de restaurer notre compétitivité.
On bloque les loyers, avec les effets connus de ce genre de mesure démagogique. Après avoir supprimé toutes les incitations à la construction et aggravé la taxation immobilière à tous les stades. De la même façon que le foldingue Delanoë avait doublé, seulement doublé allez vous dire, les taxation parisiennes sur l'immobilier. On ne construit plus et seuls les étrangers achètent. N'essayer plus de vous loger à Paris, même avec un oeil candide. C'est fini pour quelques années, sauf à vous faire labelliser "aidé" par la Mairie de Paris. Qui paiera votre subvention ?
On supprime la TVA sociale qui était la seule mesure capable de restituer à très court terme un minimum de compétitivité. Votre oeil candide ne tique pas ?
Il est inadmissible de voir la France s'enfoncer ainsi. Nous ne l'admettons pas. Que les fossoyeurs soient Giscard, Mitterrand, Chirac ou Hollande, nous on s'en moque. Mais puisqu'ils manipulent la pelle qui enterre les espoirs des Français, notamment des plus faibles, et bannit de l'emploi des jeunes doués, dont l'ascenseur social a été brisé, pour des motifs de succès politiques personnels, ils doivent s'attendre à quelques retours de bâton.
Vous m'accorderez peut-être qu'un note d'humeur sur un blog reste une sanction bien faible.
Bonne chance si vous n'êtes pas fonctionnaire. La vie socialiste risque de vous réserver quelques surprises et pas nécessairement agréables.
Et ne manquez pas de vous énamourer : Mme Trierweiler a donc pris un avion payé par vos impôts pour vérifier que le fort de Brégançon, payé par vos impôts, ne serait pas à la merci des paparazzi. Vous direz que Mitterrand utilisait les mêmes moyens uniquement pour faire venir son chien. Alors pourquoi se gêner. Quant à son "compagnon", il a pris tous les moyens aériens publics pour se faire voir à Brest, à Avignon, à Marciac, sur le tour de France, à Londres, pour les JO : avec caméras et jolis sourires automatiques dès que le bruit des camérasétait perceptible. Opérations image après opérations image, aux frais de la République.
Pendant qu'on faisait de la com' et qu'on se donnait du bon temps, l'Europe dont vous semblez avoir le goût a failli exploser sous la poussée d'une nouvelle crise de défiance des marchés. Pas un mot du Président Français ni de M. le Premier Ministre. Un problème enterré est un problème qui n'existe pas. Zut, il a fallu inviter Monti en Urgence pour dire quelque chose devant les caméras après que le danger soit passé. Et retarder le départ à Brégançon.
Aucune prise de parole pour tracer un chemin raisonnable hors de la crise. La France n'a plus rien à dire. Exposer c'est s'exposer. Alors guili guili devant les caméras et finassons.
Pendant ce temps là l'emploi s'effondre, les entreprises disparaissent, la confiance est définitivement brisée, la panique est partout.
Franchement. On va être gouverné comme cela pendant 5 ans ?
Maintenant, je vous rassure tout de suite, dès que ce gouvernement fera quelque chose d'utile allant dans la bonne direction nous ne manquerons pas de l'acclamer. Il aurait peut-être du commencer par cela.
Les thuriféraires du Président nous racontent sur toutes les chaînes publiques et du numériques qu'Hollande, le merveilleux Hollande (jamais l'hagiographie médiatique a été déversée avec aussi peu de réserve), a un plan. Pas pour 2012 mais pour 2013. Que sa "méthode", puisqu'il n'y a que celà à méditer actuellement, est fantastique. Ne fait-il pas de l'anti-sarko ? Ne détricote-t-il pas ce que "le président des riches" avait fait ? Formidable non : on fait du blanc puisqu'on efface du noir !
Sans doute cela suffit à ceux à qui la haine anti-sarko suffit.
Acceptez que nous n'acceptions pas cette "méthode" profondément débile et qui prend les Français pour ce nos gouvernants espèrent qu'ils sont.
Et attendons ensemble 2013.
Sylvain
Parce que vous, vous n'êtes pas cupides ? cad que vous, vosu travaillez gratuitement, et que vous n'avez pas besoin d'argent pour acheter votre pain quotidien ?
Chaque être humain poursuit des buts différents, et à besoins d'argent, qui n'est que la matérialisation de son travail, pour les réaliser. Et si certains veulent de l'argent poru l'argent, ils sont idiots, peut-être cupides, mais c'est leur droit le plus strict, et en plus, cela permet el développement économique !!! (merci la main invisible).
sinon, sur l'ISF, merci encore au cercle des économistes, et je rajouterais une dimension philosophique :
Tout impôts sur le patrimoine est un impôt sur la propriété, et donc une atteinte au droit de propriété, et cela, c'est contre les droits de l'homme, cad les valeurs fondamentales et universelles de toute société évoluée ...
La France va faire faillite maintenant, c'est sûr (à mon grand regret) et ceux qui en souffrirons le plus seront ceux qui ont porté au pinacle nos gouvernants qui leur promettaient de vivre au dépens des autres (les riches ...)
Bientôt nous serons comme d'habitude les seuls à poursuivre les âneries avec des concurrents acharnés qui auront pris des mesures de compétitivité. La situation sera pire qu'avant pour les entreprises. Ce M. Hollande est une catastrophe.
Beurk !
Bah, ça existe ce genre-là ?
Celui qui utilise les paradis fiscaux, vous croyez qu'il a une pensée pour autrui, pour ceux qui paient les impôts à sa place ?
Défense des riches : en voilà une vraie cause sociale !
Sylvain
Que pensent les économistes du blog, ardents défenseurs des riches, de ces propos de Joseph Stilglitz, Prix Nobel d'économie 2001 ?
Contester ce fait est également condamnable. Tout leur faire ? Mais oui ! Si vous avez écouté l'émission du jour du communiste Mermet sur France-Inter vous avez entendu l'un des téléphonistes affirmer : il faut couper la tête des riches qui tentent de passer la frontière comme on l'a fait pour Louis XVI. Sur une chaîne payée par les impôts des Français et notamment à 80% par les Français les plus riches on propose de leur couper la tête si l'idée leur vient de fuir leur martyre fiscal. "Il leur restera toujours plus qu'à moi, où est le mal ? Ce n'est que justice".
Remplacer "riches" par "juif" et vous tombez dans l'antisémitisme réprimé par le code pénal. Justement parceque l'enchaînement entre discours injurieux, voies de fait et crimes a déjà été beaucoup prouvé dans les 70 dernières années. Dans un pays si travaillé par l'envie et le marxisme génocidaire et depuis si longtemps, le racisme social n'est pas vu pour ce qu'il est : un racisme. Mais c'en est un avec les mêmes mécanismes mentaux et, historiquement, un nombre de victimes autrement élevé : 100 à 150 millions de morts et des milliards de vies gâchées en deux générations !
Pour le Cercle ce syndrome de racisme social répété qui se traduit par des règlements haineux a un effet global sur la prospérité. S'appuyer sur ses forces n'est pas seulement abject. C'est aussi un élément de la course sans fin vers la décrépitude économique. Une économie sans capitaux et sans capitalistes, sans entreprises et sans entrepreneurs, est vouée au déclin. ET au chômage de masse.
Nous, nous n'adorons pas ce qui nous fait du mal.
5 à 10 millions de salariés en moins que ce que les autres auraient ce n'est pas rien. Une dépense publique qui dépasse 100% la la valeur ajoutée du secteur marchand. Une dette globale qui frise les 350% dont près de 100% pour l'Etat. Ces fait sont lourds de misères. Ce sont les fruits amers d'un secteur public pléthorique et inefficace, des 35 heures, de la surprotection des salariés, d'un niveau fiscal qui est pratiquement le plus élevé du monde.
Et oui nous le disons et le répétons : il faut un pacte avec les producteurs. Donc la fin des spoliations fiscales.
Un des commentaires cite Stiglitz, économiste anti système américain. Il ne fait que reprendre les thèses de Picketty qu'il a rencontré en France après l'invitation largement rétribuée de ...Nicolas Sarkozy. Nous avons déjà répondu aux thèses de Pickpocketty sur ce blog. Il suffit de s'y référer. Quant aux avantages abusifs concernant une tranche très étroite de la population nous avons été parmi les premiers à en demander la suppression. C'est dès 98 que nous avons condamné la légéreté fiscale des stocks options dès lors qu'il ne s'agissait pas de start-up. Idem pour mille et dispositif ne concernant que quelques dizaines ou centaines de personnes mais qui étaient justifiés par la crainte des expatriations. Nous avons condamné ici même les manoeuvres très "border line" de Lafonta et Seillières. Nous avons tiré à boulet rouge sur le bouclier fiscal dès qu'il a été proposé. Nous voulons une stabilité et une sureté fiscale propices aux bons rendements, sans abus ni Ubu. Avec un niveau de pression fiscale raisonnable qui reste dans la fourchette 35-40% du PIB Marchand, comparable à celui de nos concurrents. Et nous souhaitons que la protection sociale soit transférée non pas vers la CSG mais la consommation donc la TVA. La CSG touche les plus pauvres. La TVA anti délocalisation non.
On peut souhaiter le bonheur social le plus large sans être socialiste et mieux encore en s'interdisant tout racisme et toute manipulation politique de boucs émissaires.
Déjà certains avaient fait remarquer que si le titre avait été "les juifs sont ils toujours aussi cons", JFK aurait été directement en prison pour incitation à la haine raciale. "Casse toi con de juif" aurait eu un effet identique. Le Rothschild qui dirige Libé aurait pu être sensible à la question posé par la projection de haine sur la place publique.
L'incitation à la haine sociale est prisée en France. Ellez devrait être poursuivi au même type que l'incitation à l'antisémitisme ou au racisme. Elle n'est pas le signe d'un pays dont l'inteligentsia est digne.
De toute façon être le seul pays au monde qui fait fuir ses créateurs de richesses n'est pas un très bon signe non plus.
Raisonnement spécieux :
1. Nous parlons ici des plus riches ;
2. Il est absolument impossible de les "priver de la totalité de leur revenu, voire plus de 100%"
3. Cessez de tout mélanger et de vous réfugier derrière cet argument d'antisémitisme ou de racisme, nous parlons ici d'économie.
Par contre des citoyens sont privés d'un mois, deux mois, trois mois de salaire ou plus en raison des impôts directs ou indirects ; et ceux-là, ce ne sont pas les plus riches.
Alors oui, débattons fiscalité, c'est nécessaire au redressement du pays. Il faut remettre les choses à plat et bien voir qui, en impôts, paie quoi.
Affirmer que personne ne peut payer plus de 100% d'impôts est simplement se rassurer à peu de frais. Vous ne pouvez pas imaginer que cela soit possible car sinon qu'est-ce qu'il resterait de votre croisade ? C'est de l'auto suggestion pas de l'observation des faits. L'aveuglement volontaire pour continuer à croire ne date pas d'aujourd'hui. Mais vous me faites penser à une cruche grugée par un gourou qui vient de laisser son avoir et en prime de s'être fait violer par le mage et qui se rajuste en disant : je rêve, cela ne doit pas être vrai !
Mais oui c'est vrai. Allez dans n'impôrte quel cabinet de comptable privé il vous sortira des exemples à la pelle. J'etime pour ma part, avec beaucoup de doigté et de légéreté, que ce nombre dépassera fin 2012 les 5.000 cas. En fait la fourchette de 10 à 30.000 serait plus juste si on prend la totalité des formes d'imposition.
Ce que vous ne comprendrait jamais sans doute, sauf une sacrée révolution mentale, c'est qu'on ne doit débattre que sur les faits. Commencer par mettre sa tête dans un sac pour être sûr de ne pas etre dérangé dans sa foi exclut tout débat utile. Dites-vous donc que :
- c'est vrai
- ce n'est pas exactement conforme au pacte républicain
- accepter cela est la marque d'une curieuse mentalité qui naguère n'a pas eu les plus heureux effets
A partir de là, on peut parler.
Sylvain
De quels contribuables parlez-vous exactement ?
des exemples ? les paysans de l'île de Ré, des retraités parisiens dont leur logement a vu sa valeur quadruplée et qui se font rincer par l'ISF (j'ai une personne dans ce cas dans ma famille, et pourtant, son logement est limite insalubre par rapport auxstandards modernes).
sinon, Mme Bettencourt a un taux d'imposition proche de 100 % facile à démontrer, etc etc etc ...
l faut bien comprendre que les impôts ont pour seul but le financement des biens communs.
Leur demander de la redistribution et de l'égalitarisme est anti économiques, injuste et immoral.
Anti économique car ce n'estpas en tapant sur les locomotives que le train roule plus vite,
Injuste car il y a une atteinte au droit de propriété, qui est l'autre nom de la Liberté, droit naturel fondamental (cf les droits de l'homme) que toute association (état, entreprises, syndicats, autres) se doit de respecter en tout premier sinon cette association doit être immédiatement dissoute (cf els droits de l'homme).
Je rappelle que la Justice, c'est le respect des droits fondamentaux d'autrui.
Immoral car avec ces impôts confiscatoires, on tape sur la fourmi et on encourage la cigale, ce qui nuit à la préservation de la vie et du bonheur de l'être humain (définition technique de la moralité).
"Leur demander de la redistribution et de l'égalitarisme est anti économiques, injuste et immoral." Injuste, immoral d'accord, mais alors du point de vue de ceux qui possèdent le plus et qui ont toujours la possibilité de dissimuler, de prendre la tangente et qui le feront toujours.
Mme Bettencourt étant la première contribuable française, avec plus de 105 millions d'impôts par an, on aurait du mal à dire qu'elle ne remplit pas les caisses, même si comparé à 16 millions de classes moyennes, forcément ...
Pourquoi ceuxqui possèdent le plus sont-ils tjrs susceptibles de dissimuler ou de prendre la tangente ? pourquoi un "riche" serait "a priori" plus malhonnête qu'un pauvre ? n'est pas lié et Statistiquement comme logiquement, c'est parmi les pauvres que l'on retrouve le plus de malhonnêtes (cela s'explique très bien).
Il me semble que de dire que les riches peuvent fuir, c'est reconnaître qu'ils sont libres et on les moyens d'utiliser leur liberté pour fuir une communauté qui les rejette et les spolie.
Le vrai problème c'est que les classes moyennes quui travaillent (ie payent des impôts) n'ont bien souvent pas les moyens de fuir, et sont devenues des esclaves ....
ATLAS SHRUGGED !!!
Ma fois, quand dans une république prônant l'égalité des droits fondamentaux, plus de la moitié de la population ne paye pas d'impot direct tandis qu'une minorité supporte des taux d'imposition proche de 75 à 90 %, il me semble qu'il est assez facile d'en déduire que les riches sont spoliés...
Votre affirmation des fortunes à l'abri des paradis fiscaux est fantaisiste, on ne peut mettre sa fortune dans les paradis fiscaux et rester en France, ce n'est pas possible.
D'ailleurs, d'après la dernière étude du cabinet Pricewaterhouse de 2011, la France occupe le 164 ème rang sur 183 pour le niveau des impôts, ce qui veut dire qu'il n'est pas bien difficile d'être un paradis fiscal, et d'en déduire que la France est un enfer fiscal ....
Faire de l'argent avec l'argent est un phrase qui n'a aucun sens. L'argent n'est qu'un outil monétaire qui représente du capital, cad du travail épargné. donc, par nature, on ne peut faire de l'argent (cad créer de la richesse) qu'avec de l'argent (cad du travail) (cf atlas shrugged pour la définition de l'argent).
Si vous aviez lu Atlas Shrugged, vous y verriez justement de nombreux rapports avec la France d'aujourd'hui (le discours des hommes politiques du livre ressemble étrangement aux discours de nos hommes politiques)
Je vous encourage à aller voir sur ce même blog l'analyse du livre.
enfin, vous partez du principe socialiste que les riches sont devenus riches en volant les pauvres.
Cordialement,
75 à 90 % de quoi ? de 2000 euros ? 10 000 ? 1 million ? 1 milliard ???
J'ai une notion de ce qu'est l'argent, merci. D'autant que j'en ai bien souvent manqué !
Aujourd'hui je gagne environ 2200 euros par mois et, question impôts et proportionnellement parlant, je suis bien plus taxé que Mme Bettancourt. Et ne dites pas que les paradis fiscaux n'existent pas pour les résidents français, je ne suis pas stupide à ce point.
OK, on ne peut faire de l'argent qu'avec de l'argent, et c'est bien là le problème, vu ce que rapporte le travail...
J'ai lu "Atlas Shrugged" ainsi que votre analyse sur le blog.
Vous avez un point commun semble-t-il avec l'auteur de ce livre : la haine du socialisme.
où est le problème de savoir combien on gagne ?
Si un citoyen est imposé à 90 % alors qu'un autre n'est pas imposé, c'est une flagrante injustice du point de vue de l'égalité républicaine (n'oublions pas que le seul impot juste et républicain est l'impot proportionnel, la flat tax, la progressivité est un concept marxiste, et injuste en tant que tel, relisez Von mises dans "le socialisme").
On peut même penser qu'un taux d'imposition dépassant 50 %, même s'il est égal pour tous, en temps de paix, est injuste par nature (on travaille plus pour les autres que pour soi).
Madame bettencourt est actuellement imposée sur ses revenus de dividende à 15.5 + 24 + 33 = 72.5 auquel on rajoute l'ISF, elle doit avoisiner les 80 % sur ses revenus. Et bientôt (merci Hollande) ce sera : 15.5 + 45 + 33 = 93.5 % soit presque 100 % avec l'isf. Votre taux d'imposition doit tourner autour de 12 à 15 %, c'est très largement inférieur il me semble à 93.5 % non ?
Non seulement je le dis, mais je l'affirme, il est impossible pour un résident français de bénéficier de paradis fiscaux, sauf s'il dispose de revenus dans d'autres pays, or ces revenus n'ont pas à être imposés en France (l'isf étant illégale par nature). donc mes paradis fiscaux, cela concerne seulement l'isf, et encore.
Vous n'avez pas compris ce que c'est que l'argent ... l'argent n'est qu'un outil qui représente la contrepartie du travail, on fait de l'argent avec du travail...
J'ai un point commun avec de nombreuses personnes, je déteste l'injustice. Or, le socialisme est injuste par nature, on ne peut donc que haïr le socialisme si l'on est humaniste, juste, moral, républicain, bref, libéral ...
Car comme disait Francisco D'anconia dans Atlas Shrugged, il ne peut y avoir le choix qu'entre le dollar et le sang les fusils et les fouets, (cad entre le travail honnête ou le vol du travail des autres), faites votre choix, il n'y en a pas d'autres.
Moi, j'ai choisi.
Bien cordialement,
"vous semblez avoir la haine du socialisme"
Tout à fait, et je le revendique !!
Vous n'avez pas la haine du nazisme ? donc vous devez avoir la haine du socialisme, c'est la même chose, et cela fait partie de toutes les idéologies politiques anti-humaines.
A quoi reconnait-on les idéologies politiques anti-humaines ? c'est bien simple, elles considèrent l'état comme une fin, et les citoyens comme les moyens de cette fin.
Il est difficile de dialoguer véritablement avec vous.
Dire que socialisme et nazisme, en 2012, en France, c'est la même chose !!!
Je ne suis pas un socialiste militant, mias il me semble tout de même (vous le disiez sur ce blog) que le précédent gouvernement a bien enfoncé l'économie de ce pays et que la tâche du gouvernement Hollande se révèle ardue.
Votre idélogie, c'est le libéralisme. J'affirme, moi, que le libéralisme devient une idélogie totalitaire lorsqu'il qu'il n'est pas tempéré par une approche sociale et humaniste de l'économie. Ce que justement vous qualifiez de politique anti-humaine.
Cordialement
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